Re: make-kpkg et méthode classique
On Wed, 8 Jan 2003 07:21:59 +0100
Erwan David <erwan@rail.eu.org> wrote:
> Je comprends pour les drivers de périphériques qui ne sont pas ouverts
> en permanence, mais du moment que le module sera là en permanence, à
> part la perte de quelques kO par module je ne vois absolument pas ce
> qu'ils apportent. Par exemple que les sockets du domaine unix soient
> en module dans les noyaux debian (module unix) me semble plus de
> l'intégrisme moduliste que le résultat d'une réflexion.
C'est parce que tu fais l'erreur de croire que chaque case cochée
(module/pas module) fais l'objet d'une réflexion spécifique. Ce qui est
faux.
(j'ai fais la même erreur => pas content, j'ai réfléchi un peu => zen...
;-)
a1) il est préférable d'avoir un noyau de petite taille (problème
disquette boot par ex)
a2) il est préférable de diffuser des noyaux avec le maximum de choses
potentiellement activées afin de couvrir le maximum de besoin
a1 + a2 donne
a3) tout ce qui peut être mis en modules "doit" l'être
a3') donc, ce qui _peut_ être mis en module va l'être, car sinon trolls
interminables sur pourquoi truc est en module et pas machin?
Même remarque sur le fait (qui m'horripilait) de l'activation de
l'initrd. Ce n'est pas une réflexion ponctuelle sur le ramdisk (vu que
nous avons bien du mal à nous convaincre de son utilité ;-) mais une
réflexion globale sur la fourniture de noyau.
Si on s'en tient à ça, on est tout de suite plus zen... pas forcément
convaincu mais zen...
A+
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