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Bonjour,

On Wed, Mar 20, 2013 at 09:32:20AM +0100, Baptiste wrote:
> Bonjour,

> Le 19/03/2013 22:20, Cédric Boutillier a écrit :

> >J'ai ajouté aussi la partie "réfutation". Merci d'avance pour vos
> >relectures.

> Propositions sur la partie "réfutations".

> Baptiste

J'ai tout pris, merci beaucoup.

Je renvoie le fichier complet. Merci d'avance pour vos dernières
relectures.

Amicalement,

Cédric
#use wml::debian::template title="Programme de Gergely Nagy" BARETITLE="true" NOHEADER="true"
#include "$(ENGLISHDIR)/vote/style.inc"
#use wml::debian::translation-check translation="1.4" maintainer="Cédric Boutillier"

<p>
L'année dernière, je vous invitais tous à 
<a href="$(HOME)/vote/2012/platforms/algernon">marcher sur la
planche</a> avec moi, à suivre, sur une route dont je n'étais pas sûr de
connaître la destination. J'avais une vision, des idées, mais peu à
montrer pour un projet. Pire même, je me suis rendu compte cette année
que certaines de mes idées, certaines choses que je pensais savoir, se
sont révélées fausses. Alors que mon plan initial était d'atteindre les
objectifs que je m'étais fixé dans mon programme précédent, je n'ai
rien fait de cela, et avant que j'en vienne au cœur du programme, je
vous dois une explication : après avoir marché sur la planche savonneuse
l'année dernière, j'ai passé du temps à nager vers la berge, déterminé
coûte que coûte à atteindre mes objectifs. Mais comment faire ? Quand,
et avec qui ? Ces questions nécessitaient une réponse, et j'ai pris
l'habit d'un bidouilleur ordinaire, et entrepris un voyage pour trouver les
réponses.
</p>
<p>
C'est ainsi que j'ai passé l'année passée : en observant et en apprenant.
Je suivais, et suis toujours, les listes de diffusion majeures de Debian,
je suis présent sur IRC, absorbant toute l'information qui loge dans mon
petit esprit. Je vois maintenant qu'il y a bien plus à faire que je ne le
pensais l'année dernière, et que certaines des hypothèses que j'avais faites
étaient fausses. Après avoir passé une longue période à apprendre, j'espère
avoir appris et cette fois, les projets que je propose vont servir le même
objectif que l'année dernière, mais mieux.
</p>
<p>
Cet objectif est aussi simple que faire croître Debian d'une communauté de
personnes surtout techniques en quelque chose de plus grand : une communauté
d'enthousiastes aux yeux qui brillent, et qui veulent jouer leur rôle pour
rendre le monde meilleur. Mots ambitieux, tâche ambitieuse.
</p>
<!-- more -->

<h2 id="the-problem">Le problème</h2>
<p>
L'un des problèmes les plus fondamentaux avec le projet est qu'il est
vieux, mais qu'il n'est pas encore devenu adulte. Nous sommes encore
très focalisés sur le mérite technique. N'interprétez pas mal mes mots :
c'est aussi très important, mais on peut faire bien plus que ça ! Nous
avons d'énormes quantités de talent, mais à peu près toutes les équipes
souffrent d'un manque de personnel, et nous semblons lents et
inefficaces dans le recrutement de nouveaux contributeurs (que ce soit
au sein même du projet, ou à l'extérieur), et même encore moins bons
pour les garder motivés. Ce n'est pas nouveau : cela me préoccupait <a
href="$(HOME)/vote/2012/platforms/algernon">l'année dernière</a>, et je
ne suis pas le seul à voir les choses ainsi. Des membres respectables du 
projet ont aussi 
<a href="http://www.perrier.eu.org/weblog/2013/02/16#dpl-game";>exprimé
leur pessimisme</a> publiquement.
</p>
<p>
C'est notre plus gros problème. Nous pouvons être excellents au niveau
technique, mais ne pas être capables de garder les gens motivés, ne pas
réussir à trouver de nouveaux contributeurs nous fait de plus en plus de
mal, et mon intime conviction est que, sans de rapides progrès dans ce
domaine, ce ne sera pas seulement moi qui marcherai virtuellement sur la
planche savonneuse.
</p>
<p>
De l'autre côté, nous possédons tous les outils pour
aller dans une meilleure direction, plus claire. Nous avons
d'excellents bidouilleurs, nous avons des personnes formidables pour la
communication, nous avons des gens qui sont des sources d'inspiration
pour les autres (regardez juste le motif pour le 
<a href="http://blog.zouish.org/posts/dpl_game/";>jeu du chef de
projet</a> !), nous avons tout ce dont nous avons besoin. Lisez la
suite, chères lectrices et lecteurs, et voyez mon plan !
</p>

<h1 id="dancing-on-a-tightrope">Danser sur une corde raide</h1>
<p>
Pour prendre un chemin qu'on n'avait pas pris de manière si consciente
avant, nous avons besoin d'avoir une vision à laquelle on aspire. Une
vision du projet dans son ensemble, une vision de nous-mêmes, pour voir
où nous souhaiterions être dans quelques années.
</p>
<p>
Comme Stefano l'écrivait si bien dans son <a
href="$(HOME)/vote/2012/platforms/zack">programme l'année dernière</a>,
Debian est une entité unique dans l'écosystème plus large du logiciel
libre. Allez lire sa description, elle peut difficilement être mieux
écrite. C'est cette même vision que je partage, où Debian grandit pour
devenir bien plus que des centaines de personnes talentueuses assemblant
les morceaux pour créer une distribution. Je veux voir Debian devenir
plus que ça, quelque chose qui attire non seulement les génies
techniques, mais aussi ceux qui manient le pouvoir du verbe et de
l'inspiration, car ces qualités vont rarement ensemble.
</p>
<p>
Je vois un projet où les gens reconnaissent les forces des autres et
utilisent ces forces, un projet où nous pouvons — et allons — nous tourner
les uns vers les autres et travailler ensemble pour atteindre un tel
équilibre de savoir-faire, de même que nous avons déjà
réussi à créer et maintenir la distribution elle-même.
</p>

<h2 id="lets-dance">Dansons !</h2>
<p>
Mais hélas, une vision est inutile sans un plan. C'est l'erreur que j'ai
commise l'année dernière, et que je répéterai pas. Les approches que
j'ai choisies peuvent sembler étranges ou bizarres à première vue, mais
soyez certains qu'elles ont été soigneusement soupesées et que la
plupart ont été testées dans un cadre plus restreint.
</p>

<h3>
Communication
</h3>

<p>
Ce que j'ai vu et ce dont j'ai fait l'expérience l'année passée (et en
réfléchissant, bien plus que ça, je ne savais où mettre l'expérience à
l'époque) est que la communication écrite est rarement le meilleur moyen
pour atteindre les gens. De nos jours, les textes écrits atteignent ceux
qui sont déjà curieux. Ils n'atteignent jamais ceux qui attendent
passivement l'illumination. Et même s'ils les atteignaient,
la plupart du temps, il n'y a pas de canal direct entre l'auteur et le
lecteur, ce qui pénalise non seulement la latence de la communication,
mais aussi la qualité. Sans compter que, aussi triste que cela puisse
paraître, le lecteur est souvent trop timide pour s'engager.
</p>
<p>
Ce qui aide, c'est le temps passé en tête à tête. Des événements où on
peut atteindre des gens, et recevoir un retour immédiat, où on peut
remarquer les timides, et les aider, où on peut immédiatement s'adapter
aux attentes.
</p>
<p>
Pour cette raison, je sens le besoin d'encourager et d'aider les équipes
locales de toutes les manières possibles, pour organiser des hackfests
(fêtes de la bidouille), séminaires de code, et toutes sortes
d'événements pouvant attirer d'après elles la jeunesse aux yeux
brillants (à 20 ou 80 ans, ce qui compte, c'est la jeunesse d'esprit)
dont on a tellement besoin.  Ces événements n'ont pas du tout besoin
d'être techniques : des sessions au sujet de la publicité autour de
Debian, sur la façon de représenter le projet dans la presse ou à des
conférences, seraient tout aussi utiles (sinon plus). En parallèle avec
ces hackfests, nous pourrions — et devrions — avoir des événements
focalisés sur la façon d'améliorer notre communication, car c'est tout
aussi important.
</p>
<p>
Avec une forte attention sur les questions non techniques, je crois que
nous pouvons prendre le chemin d'un progrès rapide : mon expérience
montre qu'une personne technique et une non technique peuvent s'inspirer
l'une l'autre, mieux que le feraient deux personnes techniques.
Avec une attention portée sur les domaines où nous sommes insuffisants,
nous améliorons indirectement ceux dans lesquels nous sommes déjà bons.
</p>

<h3>
Inspiration et motivation
</h3>

<p>
Mais trouver de nouveaux contributeurs, qu'ils soient techniques ou non,
n'est qu'une partie, et la plus facile, du problème. Il est bien plus
difficile de garder les personnes intéressées pour une longue période
que d'avoir à en trouver.
</p>
<p>
D'une part, je voudrais m'appuyer sur ces membres de notre
communauté, pour qui nous avons une haute estime (en particulier, mais
pas seulement ceux qui ont été mentionnés pendant le
<a href="http://blog.zouish.org/posts/dpl_game/";>jeu du chef de
projet</a>). Ils savent ce qui les fait continuer, ils savent ce qui les
fait fuir, et nous avons besoin de l'intégrer.
J'aimerais les entendre parler plus souvent à des conférences, car
ils sont, je le crois, une source bien plus crédible que n'importe quel
représentant officiel élu, au moins dans certaines situations.
</p>
<p>
J'aimerais aussi entendre la voix de chacun, des membres les plus
anciens aux plus jeunes. J'aimerais lire — et si nécessaire conduire —
des entretiens avec des personnes devenues récemment développeur
Debian, afin de recueillir leur expérience, d'apprendre ce qu'ils
pensent qui est bien ou mal, car une vision fraîche est tout aussi
importante qu'une expérience acquise en une décennie.
</p>
<p>
D'autre part, nous devons aussi faire quelque chose pour les problèmes
déjà soulevés. Nous savons déjà que beaucoup de difficultés sont dues au
manque de temps, à la surcharge de travail et finalement à l'épuisement.
Nous connaissons la solution à cela : recruter plus de gens et utiliser
mieux les ressources que nous avons. Une partie peut être résolue en
augmentant notre taille, mais pour l'autre part, des changements plus
profonds peuvent s'avérer nécessaires. Je ne saurais dire quels
devraient être ces changements maintenant : il n'y avait simplement pas
assez de temps pour creuser la question plus profondément et je risque
de ne pas être non plus la meilleure personne pour les entreprendre.
Je suis cependant confiant que nous découvrirons la solution au
cours de notre voyage.
</p>
<p>
La première étape est l'augmentation de connaissances, sans lequel aucun plan
supplémentaire ne peut être fait.
</p>

<h3>
Recrutement
</h3>

<p>
J'ai déjà abordé ci-dessus le sujet du recrutement, au moins le
<em>comment</em> de l'approche. Je voudrais m'étendre sur le
<em>pourquoi</em>, en particulier :
pourquoi encourager le recrutement de contributeurs non empaqueteurs
alors que nous construisons une distribution et nous manquons aussi de
main d'œuvre ?
</p>
<p>
Je répondrai à ces questions séparément.
</p>
<p>
Tout d'abord, j'aime toujours à penser — mais peut-être ai-je tort — que
nous avons une quantité de main d'œuvre d'empaquetage incroyable, que
nous n'arrivons pas à utiliser au maximum de sa capacité. Nous pouvons
l'utiliser plus, nous pourrons toujours le faire. Mais cela aide si nous
réussissons à faire meilleur usage de nos ressources existantes.
</p>
<p>
Et c'est là qu'interviennent les contributions des non empaqueteurs. Si
nous améliorons nos compétences dans les domaines où nous sommes
insuffisants, cela améliorera en contrepartie la qualité générale du
projet, qui en retour améliorera le moral, et une communauté vibrante,
accueillante et qui fonctionne bien attire encore plus de gens, et nous
garde aussi motivés pendant plus longtemps.
</p>

<h1 id="mouse-on-the-tightrope">Une souris sur la corde raide</h1>
<p>
Après tout ça, vous pouvez vous demander qui je peux bien être, et
pourquoi vous n'avez pas vu mon nom dans les listes de diffusions au
cours des dernières années. Je ne suis plus une personne très bavarde, ni
l'adolescent à la tête chaude que j'étais il y a une dizaine d'années.
La plupart d'entre vous me connaissent par le surnom que j'utilise en
ligne, <em>algernon</em>, et dans la plupart des cas, je préfère qu'on
m'appelle ainsi aussi dans la vie réelle, pour des raisons stupides dans
lesquelles je préfère ne pas me plonger (la première étant que les gens
ont du mal à prononcer correctement mon prénom, et que j'ai du mal à
reconnaître mon prénom, sauf s'il est prononcé comme je l'ai appris).
Néanmoins, je m'appelle <em>Gergely Nagy</em>, et je suis un bidouilleur
en convalescence, qui a l'intention d'obtenir une licence de lettres,
avec des dominantes en grammaire hongroise et en littérature, dans les
trois à cinq prochaines années.
</p>
<p>
Au cours de l'année dernière, je me suis efforcé d'observer et
d'apprendre de dirigeants exceptionnels dans mon travail, car j'avais la
chance de les rencontrer en personne et d'interagir avec eux
quotidiennement. Heureusement pour moi, j'ai beaucoup appris de certains
sur la motivation, mais aussi sur la politique dans les coulisses.
</p>
<p>
Et bien que j'aie encore une immense quantité de choses à apprendre,
j'aime à croire que je peux y arriver. Je sais que je peux apprendre les
sujets techniques extrêmement rapidement (mon travail en dépend, et
je n'aurais plus d'emploi si je n'y arrivais pas). Je suis confiant que
je peux faire la même chose pour d'autre domaines, au moins aussi
longtemps que ça n'implique pas des quantités énormes d'économie. Cela
s'est avéré être une barrière importante par le passé.
</p>
<p>
Mais retournons au point le plus important : mes compétences
d'organisation, de présentation et de gouvernance.
Je suis co-organisateur des <a
href="http://www.meetup.com/Budapest-Clojure-User-Group/";>rendez-vous du
groupe d'utilisateurs de Clojure de Budapest</a>, j'ai commencé à
encourager la participation à l'été du code Google à mon travail <a
href="http://en.opensuse.org/Archive:GSOC_ideas_2012#syslog-ng";>l'année
dernière</a> (nous avons participé grâce à <a
href="http://en.opensuse.org/Main_Page";>OpenSuSE</a> qui nous a donné un
créneau), et je coordonne les efforts <a
href="https://github.com/balabit/GSoC2013/wiki/Idea-&amp;-Project-list";>cette
année</a>, afin de devenir organisation encadrante. Je donne
régulièrement des exposés et des présentations à des séminaires de code,
des rassemblements, et d'autres événements du même type, où je peux à la
fois pratiquer et apprendre l'art d'interagir avec les gens, ainsi que
celui d'organiser des événements.
</p>

<h1 id="rebuttals">Réfutations</h1>

<p>
Il est de coutume pendant <a href="$(VOTE)/2013/vote_001">les élections pour
le chef de projet</a> d'écrire une réfutation au programme des autres candidats.
Cependant, c'est très difficile à faire cette année, car cette fois il y a
beaucoup de chevauchement entre les programmes, les buts et les idées
proposées. Il est difficile de réfuter un autre programme sans réfuter
le sien. Donc, au lieu de mettre en relief les points de désaccord (s'il
y en a, ils sont peu nombreux), je souhaiterais souligner ce qui me
semble faire défaut dans les autres programmes.
</p>
<p>
Bien entendu, ces notes sont principalement basées sur les programmes
car j'ai malheureusement du retard dans ma lecture de la liste de
diffusion <a
href="http://lists.debian.org/debian-vote/2013/03/threads.html";>debian-vote@</a>.
De plus, à cause du haut degré de similarité entre les programmes, je ne
pointerai pas toujours un seul programme, mais mentionnerai plutôt ce que j'ai
trouvé troublant ou insuffisant en général. Donc sauf indication contraire,
mes propos ci-dessous s'appliquent à la fois au programme de 
<a href="$(VOTE)/2013/platforms/moray">Moray</a> et de
<a href="$(VOTE)/2013/platforms/lucas">Lucas</a>.
</p>

<p>
La chose qui me frappe le plus dans ces deux programmes est l'absence de
propositions pour les membres non empaqueteurs du projet, point sur
lequel j'ai fortement insisté dans mon <a
href="$(VOTE)/2013/platforms/algernon">propre</a> programme. De même,
bien que Moray indique vouloir encourager plus d'événements locaux, je
trouve que ces rares paragraphes sont un peu insuffisants. Lucas ne
mentionne même pas les équipes locales dans son programme, alors même
qu'elles forment une part très, très importante de la communauté Debian
et un outil formidable à notre disposition. Ils peuvent largement
étendre notre portée ! Étant donnée leur importance, trop peu a été dit aussi
bien sur les équipes locales que les événements locaux, même lorsque les
autres candidats reconnaissent explicitement leur importance.
</p>
<p>
D'autre part, Lucas parle de l'innovation dans Debian (ce qui fait
défaut à mon avis dans le programme de Moray), mais bien qu'il soulève
le problème, j'ai malheureusement trouvé la section qu'il y consacre
vague, une erreur que j'avais moi-même commise l'année dernière et que
je me suis forcé d'éviter cette fois, en faisant explicitement la liste
de quelques unes de mes idées sur la façon dont je pense inspirer et
motiver les gens, qui à leur tour vont promouvoir l'innovation au sein du
projet.
</p>
<p>
D'après ce que j'ai vu — je peux me tromper et je suis évidemment
biaisé — les deux programmes sont raisonnablement explicites lorsqu'il
s'agit de sujets plus faciles, les choses connues pour 
fonctionner et que l'on continuera de faire dans le même esprit que
notre prédécesseur. Mais lorsqu'il s'agit d'expérimenter de nouvelles
idées, j'ai trouvé les programmes trop vagues. Il y a des exceptions,
bien sûr : l'idée des stagiaires de Moray par exemple est expliquée
du mieux possible avec les contraintes du programme.
Je n'ai rien trouvé de semblable dans le programme de Lucas. Cependant,
la majorité des idées qu'il a présentées sont techniques et sont les
domaines dans lesquels nous sommes assez bons, et où nous avons
une chance raisonnable de nous améliorer, et sont donc des sujets plus
faciles. J'étais surpris par le programme de Lucas car bien qu'il
mentionne le besoin d'expérimentation comme étant important, les idées
vraiment expérimentales faisaient défaut. J'en ai trouvées plus dans
celui de Moray.
</p>
<p>
Pour résumer, j'ai trouvé les discussions sur <a
href="http://lists.debian.org/debian-vote/2013/03/threads.html";>debian-vote@</a>
bien plus utiles jusqu'à maintenant que les programmes. Beaucoup de
questions ont été posées et auxquelles des réponses ont été apportées,
et qui n'étaient même pas abordées par les programmes.
</p>

Attachment: signature.asc
Description: Digital signature


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