Re, On Tue, Jul 06, 2010 at 08:54:20AM +0200, Yves Rutschle wrote: > > - la certitude (technique) de l'envoi : le doc est craché directement > > sur l'appareil destinataire, sans intermédiaire qui induit un risque > > dans la chaîne de transmission ; > > Sauf cas de réception logicielle, par ex. chez Free tu peux > recevoir un fax qui t'est ensuite transmis en PDF. Ou > appareil de réception defectueux qui marche suffisament pour > recevoir le doc et pas assez pour l'imprimer. Ou attaquant > qui se place entre ton fax et le destinataire et se fait > passer pour celui-ci. > > Je ne vois pas comment on peut être certain de quoi que ce > soit. Oui, dans l'absolu, tu as entièrement raison. J'aurais dû préciser que ça offrait des certitudes *suffisantes* (ou que c'est regardé comme une certitude...) dans le milieu et pour l'usage précis auxquels les faxs sont destinés. Sorry, j'ai glissé, Chef ;-) (La réception logicielle y reste d'ailleurs largement méconnue, ce qui participe à la certitude ambiante.) > > - la preuve (technique et juridique) de l'envoi : grâce au rapport de > > transmission. > > Certainement pas une preuve technique, et uniquement un > preuve juridique parce que les juristes ne comprenent pas > très bien la technique peut-être. > Après tout, ces gens-là trouvent qu'une signature au stylo peut > prouver qqch :) Excellent :-) Voilà une petite phrase qui tourne en bourrique de savants traités... Si c'est libre de droits, je la garde sous le coude pour une occasion bien mise :-) > > À y regarder un peu, c'est plus fiable que le recommandé postal. > > Je ne suis pas convaincu. Dans l'hypothèse d'une réception "machine" traditionnelle, on évite une série d'intermédiaires postaux qui peuvent chacun faire foirer la chaîne de transmission. C'est ce que je voulais dire. A+ -- JFS.
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