Re: boot entièrement graphique sous Debian Testing
Comput unicum 1113935240 (Tue, 19 Apr 2005 20:27:20 +0200),
mess-mate a écrit :
>
> Sylvain Sauvage <Sylvain.Sauvage@metanoesis.net> wrote:
> | Comput unicum 1113840464 (Mon, 18 Apr 2005 18:07:44 +0200),
> | mess-mate a écrit :
> | >[...]
> | > Je pensais que c'était plustôt quelque chose du genre Mandrake avec
> | > un peu de couleurs. ( enfin je sais plus comment c'est fait
> | > actuellement sous mandrake)
> |
> | C'est pas un « boot graphique », c'est un « boot en couleur », nuance
> | ;o)
> Ben, c'est ce que je viens de dire, non ?
Oui et non. Oui car tu as bien dit « boot en couleur » et non parce que
splashy/bootsplash/gensplash/... sont des boots graphiques, comme le dit
le sujet du fil.
C'est ma faute, ma phrase était ambiguë : le « c' » de « c'est » porte sur
le boot de Mandrake (qui est en couleur et pas graphique), pas sur le
sujet du fil (qui est graphique et pas en couleur).
> Un beau petit boot en couleurs, joli non?
Sûrement. C'est d'ailleurs comme ça que je reconnaissais les Redhat au
boot : les ok en vert et les erreurs en rouge (si je me souviens bien).
> | Je ne crois pas que ça existe.
> | Ça ne sert qu'à ceux qui redémarre leur PC souvent, ça... ;oP
> |
> Moi je démarre mon pc quand j'en ai besoin; économie d'énergie ( et
> risque d'incendie éventuel ?).
Économie : oui. (Et le micro-onde qui ne fait qu'afficher l'heure, tu le
débranches ?)
Incendie : bof, pas plus qu'un magnétoscope ou qu'un réfrigérateur.
Sinon, ce qui fatigue le plus le matériel, ce sont les démarrages.
> C'est moi qui paie; pas vous ?
Si, mais le mien utilise software suspend2. Du coup, les messages de boot
avec lancement des serveurs et chargement des modules, je ne les vois pas
souvent, et puis on s'habitue à leur rudesse.
Ce qui m'intéresse surtout dans splashy, c'est de pouvoir l'utiliser pour
des débutants (ou qui seraient effrayés ou dubitatifs devant le boot
verbeux).
D'ailleurs, même si les boot en couleurs sont moins verbeux et ont l'air
plus structurés, ils sont difficiles à lire : trop rapides.
--
Sylvain Sauvage
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