Re: boot entièrement graphique sous Debian Testing
Sylvain Sauvage <Sylvain.Sauvage@metanoesis.net> wrote:
..snip..
| > Ben, c'est ce que je viens de dire, non ?
|
| Oui et non. Oui car tu as bien dit « boot en couleur » et non parce que
| splashy/bootsplash/gensplash/... sont des boots graphiques, comme le dit
| le sujet du fil.
|
| C'est ma faute, ma phrase était ambiguë : le « c' » de « c'est » porte sur
| le boot de Mandrake (qui est en couleur et pas graphique), pas sur le
| sujet du fil (qui est graphique et pas en couleur).
|
| > Un beau petit boot en couleurs, joli non?
|
| Sûrement. C'est d'ailleurs comme ça que je reconnaissais les Redhat au
| boot : les ok en vert et les erreurs en rouge (si je me souviens bien).
|
| > Moi je démarre mon pc quand j'en ai besoin; économie d'énergie ( et
| > risque d'incendie éventuel ?).
|
| Économie : oui. (Et le micro-onde qui ne fait qu'afficher l'heure, tu le
| débranches ?)
Eh non; n'importe comment l'affichage est là; heure ou pas :(
Sinon il faut enlever la fiche du courant :)
| Incendie : bof, pas plus qu'un magnétoscope ou qu'un réfrigérateur.
|
| Sinon, ce qui fatigue le plus le matériel, ce sont les démarrages.
Bon à savoir.
|
| > C'est moi qui paie; pas vous ?
|
| Si, mais le mien utilise software suspend2. Du coup, les messages de boot
| avec lancement des serveurs et chargement des modules, je ne les vois pas
| souvent, et puis on s'habitue à leur rudesse.
Suspend2 ?? Pas trouvé dans debian/sarge. Ca fait quoi ? Et consommation él.
??
| Ce qui m'intéresse surtout dans splashy, c'est de pouvoir l'utiliser pour
| des débutants (ou qui seraient effrayés ou dubitatifs devant le boot
| verbeux).
| D'ailleurs, même si les boot en couleurs sont moins verbeux et ont l'air
| plus structurés, ils sont difficiles à lire : trop rapides.
|
| --
| Sylvain Sauvage
|
|
amicalement
mess-mate
--
Like an expensive sports car, fine-tuned and well-built, Portia was sleek,
shapely, and gorgeous, her red jumpsuit moulding her body, which was as warm
as seatcovers in July, her hair as dark as new tires, her eyes flashing like
bright hubcaps, and her lips as dewy as the beads of fresh rain on the hood;
she was a woman driven -- fueled by a single accelerant -- and she needed a
man, a man who wouldn't shift from his views, a man to steer her along the
right road: a man like Alf Romeo.
-- Rachel Sheeley, winner
The hair ball blocking the drain of the shower reminded Laura she would never
see her little dog Pritzi again.
-- Claudia Fields, runner-up
It could have been an organically based disturbance of the brain -- perhaps a
tumor or a metabolic deficiency -- but after a thorough neurological exam it
was determined that Byron was simply a jerk.
-- Jeff Jahnke, runner-up
Winners in the 7th Annual Bulwer-Lytton Bad Writing Contest. The contest is
named after the author of the immortal lines: "It was a dark and stormy
night." The object of the contest is to write the opening sentence of the
worst possible novel.
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