[DDR] rescue-boot.sgml
Salut,
Sync. avec 1.102. J'ai intégré les rustines de Philippe. À ce sujet,
j'ai deux remarques :
log -> fichier-journal
workstation -> poste de travail
Pour le 1), pourquoi pas : je mettais juste journal mais c'est plus
explicite. Par contre, pour le 2), je suis un peu dubitatif :
travaillant beaucoup avec des SUN et tout ce genre de truc, on emploie
plutôt « station de travail ». Y a-t-il quelqu'un avec un avis éclairé
sur la traduction (et/ou avec le contexte : il est possible qu'en
architecture PC, on dise poste de travail...).
Pour le moment, je laisse la correction de Philippe : recorriger ne
sera pas long le cas échéant...
De plus, dans la partie rapport de bogue, j'ai ajouté un paragraphe
spécifique de demande d'écriture du-dit rapport en anglais. Peut-être
faudrait-il l'ajouter aussi dans la partie anglaise.
PK
PS: je passe à hardware : j'ai une rustine de Phillipe à intégrer :
désolé Denis, cela m'avait échapper...
--
|\ _,,,---,,_ Patrice KARATCHENTZEFF
ZZZzz /,`.-'`' -. ;-;;,_ mailto:p.karatchentzeff@free.fr
|,4- ) )-,_. ,\ ( `'-' http://p.karatchentzeff.free.fr
'---''(_/--' `-'\_)
<!-- original version: 1.102 -->
<!-- Transl. update by Sébastien Kalt <ustilago@bigfoot.com> -->
<!-- Transl. update by Patrice Karatchentzeff <p.karatchentzeff@free.fr> -->
<chapt id="rescue-boot">
<heading>Amorçage du système d'installation</heading>
<p>
Avec des limitations dans certains cas, vous pouvez amorcer le
système d'installation à partir d'un cédérom &debian;,
de disquettes, d'une partition de disque dur ou d'une autre machine à
travers un réseau local.
<![ %alpha [
<sect id="alpha-firmware">Le microprogramme Alpha Console
<p>
Le microprogramme console est stocké dans une ROM flash et est
lancé lorsqu'un système Alpha est allumé ou remis à zéro. Il y a
deux sortes de spécifications utilisées sur les systèmes Alpha et
ainsi deux classes de microprogramme console disponibles :
<list>
<item>
La <em>console SRM</em> basée sur une spécification du
sous-système console Alpha et qui fournit un environnement
opérationnel pour OpenVMS, Tru64 UNIX et les systèmes
d'exploitations de type Linux ;
<item>
Les <em>consoles ARC, AlphaBIOS</em> ou <em>ARCSBIOS</em>,
basées sur les spécifications «nbsp;Advanced RISC
Computing » (ARC) qui fournissent un environnement
opérationnel pour Windows NT.
</list>
<p>
D'un point de vue de l'utilisateur, la plus grosse différence
entre SRM et ARC est que le choix de la console induit le schéma
de partitionnement de disque sur le disque dur sur lequel vous
choisirez d'amorcer
<p>
ARC requiert l'utilisation d'une table de partition MS-DOS
(comme la crée <prgn>cfdisk</prgn>) pour le disque
amorçable. Les tables de partition MS-DOS sont donc les formats
de partition « natifs » lorsque l'on amorce avec
ARC. En effet, depuis que AlphaBIOS contient un utilitaire de
partition de disque, il se peut que vous préfériez
partitionner vos disques depuis le menu du microprogramme avant
d'installer Linux.
<p>
Inversement, SRM est <em>incompatible</em> avec les tables de
partition de MS-DOS. <footnote>Précisément, le format du secteur
d'amorçage requis par la spécification du sous-système console
entre en conflit avec le placement de la table de partition
MS-DOS.</footnote> Depuis que Unix Tru64 utilise le format
d'étiquette de disque BSD, c'est le format « natif »
de partition pour les installations à partir de SRM.
<p>
Puisque GNU/Linux est le seul système d'exploitation sur Alpha
qui peut être amorcé à partir des deux types de console, le
choix va aussi dépendre de quel autre type de système
d'exploitation vous souhaitez utiliser sur la même machine. Tous
les autres systèmes d'exploitation de type Unix ((Unix Tru64,
FreeBSD, OpenBSD et NetBSD) et OpenVMS peuvent amorcer à partir
de SRM alors que Windows NT ne peut amorcer que depuis ARC.
<p>
Le tableau suivant résume les combinaisons type de
système-console disponibles et supportés (<em>cf.</em> <ref
id="supported-cpus"> pour les noms des types de système). Le mot
« ARC » ci-dessous désigne toute console compatible
avec ARC.
<p>
<example>
Type de système Type console supporté
=============== ======================
alcor ARC ou SRM
avanti ARC ou SRM
book1 SRM seulement
cabriolet ARC ou SRM
dp264 SRM seulement
eb164 ARC ou SRM
eb64p ARC ou SRM
eb66 ARC ou SRM
eb66p ARC ou SRM
jensen SRM seulement
lx164 ARC ou SRM
miata ARC ou SRM
mikasa ARC ou SRM
mikasa-p SRM seulement
nautilus ARC seulement (voir le manuel de la carte-mère)
noname ARC ou SRM
noritake SRM seulement
noritake-p SRM seulement
pc164 ARC ou SRM
rawhide SRM seulement
ruffian ARC seulement
sable SRM seulement
sable-g SRM seulement
sx164 ARC ou SRM
takara ARC ou SRM
xl ARC seulement
xlt ARC ou SRM
</example>
<p>
D'une façon générale, aucune de ces consoles ne peut amorcer
Linux directement ; il est donc nécessaire d'avoir recours
à un chargeur d'amorçage intermédiaire. Il en existe deux
principaux pour Linux : <prgn>MILO</prgn> et
<prgn>aboot</prgn>.
<p>
<prgn>MILO</prgn> est lui-même une console, qui remplace ARC ou
SRM en mémoire. <prgn>MILO</prgn> peut être amorcé à la fois par
ARC et SRM et c'est même la seule façon de démarrer Linux à
partir d'une console ARC. <prgn>MILO</prgn> est dépendant de la
plateforme (un programme différent de <prgn>MILO</prgn> est
nécessaire pour chaque système) et n'existe, pour le support
ARC, que pour les systèmes listés ci-dessus. Référez-vous aussi
à <url id="&url-milo-howto;" name="MILO HOWTO">, malheureusement
plus très à jour.
<p>
<prgn>aboot</prgn> est un petit chargeur d'amorçage, indépendant
de la plateforme et qui fonctionne uniquement avec
SRM. Référez-vous à <url id="&url-srm-howto;" name="SRM HOWTO">
(malheureusement plus très à jour) pour obtenir plus
d'informations sur <prgn>aboot</prgn>.
<p>
Vous pouvez donc être confronté à trois types de scénario
possible, selon le microprogramme de la console du système
et selon que <prgn>MILO</prgn> est disponible ou non :
<example>
SRM -> aboot
SRM -> MILO
ARC -> MILO
</example>
<p>
La carte-mère UP1000 (nom de sous-architecture
« nautilus ») de<em>Alpha Processor, Inc </em>, est
différente de toutes les autres en ce sens qu'elle utilise un
chargeur d'amorçage qui utilise le microprogramme AlphaBIOS.
<p>
Comme <prgn>MILO</prgn> n'est disponible pour aucun des systèmes
Alpha actuellement en production (jusqu'en février 2000) et
comme il n'est pas nécessaire d'acheter une licence OpenVMS ou
Unix Tru64 pour avoir le microprogramme sur votre vieil Alpha,
il est recommandé d'utiliser SRM et <prgn>aboot</prgn> pour une
nouvelle installation de GNU/Linux, à moins que vous ne
désiriez un amorçage double avec Windows NT.
<p>
La majorité des AlphaServer, tous les serveurs et tous les postes de
travail contiennent à la fois SRM et AlphaBIOS dans leur
microprogramme. Pour les machines « half-flash » comme
les nombreuses cartes d'évaluation, il est possible de passer
d'une version à l'autre par flashage du microprogramme. Ainsi,
lorsque SRM est installé, il est possible d'exécuter
ARC/AlphaBIOS depuis une disquette (en utilisant la commande
« arc »). Pour les raisons mentionnées précédemment,
nous recommandons de passer à SRM avant d'installer Debian.
<p>
Comme pour toutes les autres architectures, vous devez installer
la révision la plus récente du microprogramme <footnote>À
l'exception de Jensen, où les versions du microprogramme plus récentes
que la version 1.7 ne reconnaissent pas linux
&mdash <em>cf.</em> <url id="&url-jensen-howto;"> pour
avoir plus d'informations.</footnote> avant d'installer
Debian. Pour les Alpha, la mise à jour du microprogramme peut
s'obtenir à partir de <url id="&url-alpha-firmware;" name="Alpha
Firmware Updates">.
<sect id="booting-from-milo">Amorcer avec MILO
<p>
Le programme MILO, contenu dans le média d'amorçage, est configuré
pour amorcer automatiquement Linux. Si vous désirez
intervenir, il vous suffit d'appuyer sur la touche d'espacement
durant le compte à rebours de MILO.
<p>
Si vous désirez spécifier les bits explicitement (pour fournir
par exemple des paramètres supplémentaires), vous pouvez
utiliser une commande de ce type :
<example>
MILO> boot fd0:linux.bin.gz root=/dev/fd0 load_ramdisk=1 <!-- arguments -->
</example>
<p>
Si vous amorcez sur un autre support qu'une disquette,
substituez <file>fd0</file> dans l'exemple ci-dessus par le nom
de périphérique approprié dans la nomenclature Linux. La
commande <prgn>help</prgn> vous fournira un rapide aperçu des
commandes MILO.
]]>
<![ %m68k [ Dans le cas des Macintosh, vous devez garder le
système Mac d'origine et amorcer à partir de lui.]]>
<sect id="boot-parms">Arguments des paramètres d'amorçage
<p>
Les paramètres d'amorçage sont ceux du noyau Linux et sont
utilisés généralement pour s'assurer que ces périphériques
seront traités correctement. Dans la plupart des cas, le noyau
peut auto-détecter l'information sur vos périphériques. Parfois,
dans certains cas, vous aurez à l'aider un petit peu.
<p>
<![ %m68k [
<p>
Les paramètres d'amorçage se trouvent sous l'onglet
« paramètres » options « tab » ]]>
<![ %alpha [
Cela dépendra du microprogramme console à partir duquel vous
allez initialiser le système car il existe différentes
méthodes pour passer les paramètres au noyau. Ces différentes
méthodes seront décrites plus bas et séparément pour chacune
d'entre elles.
]]>
<![ %supports-syslinux [
Si vous amorcez à partir de la &RESCUE-FLOPPY; <![
%supports-bootable-cd [ ou du cédérom ]]> il vous sera présenté
une invite d'amorçage, <tt/boot:/. Plus de détails sur
l'utilisation des paramètres de démarrage avec la
&RESCUE-FLOPPY; peuvent être trouvés dans <ref
id="boot-from-floppies">. Si vous amorcez à partir d'un système
d'exploitation pré-installé, vous aurez à utiliser une autre
méthode pour spécifier les paramètres d'amorçage. <![ %i386 [
Si vous installez à partir de DOS, par exemple, vous pouvez
modifier le fichier <file/install.bat/ avec un éditeur de
texte. ]]> ]]>
<![ %mips [
Sur les SGI Indy, vous pouvez ajouter des paramètres d'amorçage
après la commande <tt>bootp():</tt> dans le moniteur de
commandes.
<p>
Après la commande <tt>bootp():</tt>, vous pouvez ajouter le
chemin et le nom du fichier à amorcer si vous ne donnez pas un
nom explicite via votre serveur BOOTP/DHCP. Par exemple :
<tt>bootp():/boot/tftpboot.img</tt>
]]>
<![ %s390 [
<p>
Sur les S/390, vous pouvez passer les paramètres d'amorçage dans
le fichier « parm ». Ce fichier peut être au choix en
ASCII ou au format EBCDIC. Veuillez lire <url
id="&url-s390-devices" name="Device Drivers and Installation
Commands"> pour avoir plus d'informations au sujet des
paramètres d'amorçage spécifiques à S/390.
]]>
<p>
Toutes les informations nécessaires sur les paramètres
d'amorçage sont disponibles dans le <url
id="&url-boot-prompt-howto;" name="Linux BootPrompt HOWTO">; la
présente section contient seulement un résumé des paramètres les
plus utilisés.
<p>
Si vous installez le système pour la
première fois, utilisez les paramètres par défaut (c'est-à-dire,
n'ajoutez aucun paramètre) et voyez si cela fonctionne
correctement. Cela sera vraisemblablement le cas. Sinon, vous
pourrez redémarrer ultérieurement avec les paramètres appropriés
à votre matériel.
<p>
Lorsque le noyau démarre, un message <tt>Memory:
<var>avail</var>k/<var>total</var>k available</tt> doit être
affiché assez tôt durant le processus. <var>total</var> doit
correspondre à la quantité de mémoire vive (exprimée en
kilo-octets) que contient votre machine. Si la quantité de
mémoire vive détectée ne correspond pas à la quantité de mémoire
contenue dans votre machine, vous devrez utiliser le paramètre
<tt>mem=<var>ram</var></tt>, où <var>ram</var> est la taille
mémoire de votre machine, suivie par « k » pour
kilo-octets ou « m » pour méga-octets. Par exemple,
<tt>mem=65536k</tt> et <tt>mem=64m</tt> sont équivalents pour
forcer l'utilisation de 64 Mo de mémoire vive.
<![ %i386 [
<p>
Certains systèmes ont un lecteur de disquettes avec « DCLs
inversés ». Si vous obtenez des erreurs lors de la lecture
de disquettes, même lorsque vous savez que les disquettes sont
« bonnes », essayez le paramètre
<tt>floppy=thinkpad</tt>.
<p>
Sur certains systèmes, tels que les IBM PS/1 ou ValuePoint (qui
ont des pilotes de disques ST-506), le disque IDE peut ne pas
être reconnu. Encore une fois, essayez d'abord sans paramètre
supplémentaire pour voir si votre disque IDE est reconnu
correctement. Si ce n'est pas le cas, déterminez la géométrie du
disque (cylindres, têtes et secteurs) et utilisez le paramètre
<tt>hd=<var>cylindres</var>,<var>têtes</var>,<var>secteurs</var></tt>.
]]>
<![ %m68k [
<p>
Si l'ordinateur se bloque au moment où apparaît l'écran, vous
demandant de choisir entre noir & blanc ou couleur, passez
simplement à la seconde console virtuelle (Alt + F2 ou Option +
F2 sur Mac) et démarrez manuellement <prgn>dbootstrap</prgn>. Ce
bogue a l'air d'être réglé, mais il refait surface de temps à
autre. ]]>
<![ %powerpc [
<p>
SI vous avez un PowerMac avec un disque IDE et que vous receviez
des messages d'erreurs mystérieux du noyau lors de l'accès au
disque, vous êtes en droit de penser qu'il s'agit d'un bogue du
noyau lors de l'utilisation des pilotes IDE sur votre
matériel. Essayez d'utiliser l'argument d'amorçage suivant, en
supposant que votre lecteur IDE est <file>/dev/hda</file> :
<tt>hda=noautotune</tt>. ]]>
<p>
Si votre moniteur est noir & blanc, utilisez le paramètre
<tt>mono</tt>. Sinon, votre installation se fera en couleur, ce
qui est l'option par défaut.
<![ %supports-serial-console [
<p>
Si vous démarrez avec une console série, en général, le noyau la
détecte automatiquement <![ %mipsel [(sauf pour les
DECstations)]]> . Si vous avez une carte vidéo
(« framebuffer ») et un clavier également connectés à
l'ordinateur que vous voulez démarrer à l'aide de la console
série, vous devrez peut-être passer l'option
<tt>console=<var>device</var></tt> au noyau, où
<var>device</var> est votre interface série, c'est-à-dire <![
%sparc [ « ttya » ou « ttyb » pour
&arch-title;, ou autrement ]]> quelque chose comme
« ttyS0 ». <![ %sparc [Alternativement, mettez les
variables OpenPROM <var>input-device</var> et
<var>output-device</var> à « ttya ». ]]> ]]>
<p>
De nouveau, tous les détails sur les paramètres d'amorçage
peuvent être trouvés dans le <url id="&url-boot-prompt-howto;"
name="Linux BootPrompt HOWTO">, y compris les astuces pour le
matériel peu courant. Quelques pièges courants sont inclus
ci-dessous dans la section <ref id="boot-troubleshooting">.
<sect1 id="dbootstrap-args">Arguments de <tt>dbootstrap</tt>
<p>
Le système d'installation reconnaît quelques arguments qui
peuvent être utiles. Les effets de <tt>quiet</tt> et
<tt>verbose</tt> sont décrits dans <ref id="verbose-quiet">.
<taglist>
<tag>quiet (silencieux)</tag>
<item>
Oblige le système d'installation à supprimer les messages
de confirmation et à essayer de faire les choses
correctement sans faire d'histoires. Si vous êtes
familier et à l'aise avec ce que le système
d'installation va faire alors c'est une option
intéressante pour rendre silencieux le processus ;
<tag>verbose (verbeux)</tag>
<item>
Pose encore plus de questions qu'habituellement ;
<tag>debug (déboguer)</tag>
<item>
Émet des messages de débogage supplémentaires dans le
journal du système d'installation (consultez <ref
id="dbootstrap-shell-log">), incluant toutes les
commandes exécutées ;
<tag>bootkbd=<var>...</var></tag>
<item>
Présélectionne le clavier que vous voulez utiliser, par
exemple <tt>bootkbd=qwerty/us</tt> ;
<tag>mono</tag>
<item>
Utilise le mode monochrome plutôt que couleur.
</taglist>
<sect id="install-cd">Amorcer depuis un cédérom
<p>
<![ %supports-bootable-cd [
La voie la plus facile pour la plupart des gens est d'utiliser
<url id="&url-debian-cd-vendors;" name="le jeu de cédéroms
Debian">.<![ %m68k [ Ceci est particulièrement vrai pour les
systèmes VMEBus BVME4000/6000.]]> Si vous avez un jeu de
cédéroms, et si votre machine supporte l'amorçage depuis un
cédérom, ce sera parfait ! <![ %i386 [ Configurez
simplement votre système pour amorcer depuis un cédérom tel
qu'il l'est décrit à <ref id="boot-dev-select">, ]]> insérez
simplement votre cédérom, réamorcez et sautez au chapitre
suivant.
<![ %i386 [
<p>
Il se peut que vous ayez à configurer votre matériel comme
indiqué dans <ref id="boot-dev-select">. ]]> Ensuite, insérez le
cédérom dans le lecteur et réamorcez. Le système devrait
s'amorcer et vous devriez apercevoir l'invite <tt>boot:</tt>. À
partir de là, vous pouvez entrer les arguments d'amorçage ou
bien simplement taper sur la touche <em>Entrée</em>.
<p>
Le cédérom n° 1 du jeu officiel de cédérom pour
&arch-title; vous présentera une invite <tt>boot:</tt> sur la
plupart des matériels. Appuyez sur <tt>F3</tt> pour afficher la
liste des options du noyau disponibles à partir desquelles
amorcer. Tapez simplement le nom de la saveur ((idepci, vanilla,
compact, bf24) après l'invite de <tt>boot:</tt> et validez par
un retour chariot.
<p>
Si votre matériel ne supporte pas l'amorçage d'images multiples,
insérez un des autres cédéroms dans le lecteur. Les cédéroms
numéro 2 à 5 amorceront chacun sur une saveur différente
dépendant du cédérom inséré. <em>cf.</em> <ref
id="kernel-choice"> pour une discussion pour sur les différentes
saveurs. Voici comment sont disposées les saveurs sur les
différents cédéroms :
<taglist>
<tag>Cédérom 1</tag>
<item>
Sur les nouveaux matériels, il permet une sélection
d'images de noyau à amorcer. Sur les vieux matériels, il
amorcera le noyau en saveur « idepci » ;
</item>
<tag>Cédérom 2</tag>
<item>
Amorce la saveur « vanilla » ;
</item>
<tag>Cédérom 3</tag>
<item>
Amorce la saveur « compact » ;
</item>
<tag>Cédérom 4</tag>
<item>
Amorce la saveur « idepci » ;
</item>
<tag>Cédérom 5</tag>
<item>
Amorce la saveur « bf2.4 ».
</item>
</taglist>
<p>
Si votre système ne peut s'amorcer directement depuis un cédérom
ou tout simplement ne semble pas fonctionner, ne désespérez
pas ; vous pouvez simplement lancer
<file>E:\install\boot.bat</file> sous DOS (remplacez <tt>E:</tt>
par la lettre que MS-DOS assigne à votre lecteur de cédérom)
pour lancer le processus d'installation.
<p>
Si vous tentez aussi d'installer depuis une partition FAT
(MS-DOS), vous avez une option d'amorçage de l'installateur
depuis le disque dur <em>cf.</em> <ref id="install-from-dos">
plus bas pour plus d'informations sur l'installation via cette
méthode.
<p>
]]>
<![ %alpha [
<sect1>Amorcer depuis un cédérom avec une console SRM
<p>
Tapez
<example>
>>> boot xxxx -flags 0
</example>
où <file>xxxx</file> est votre lecteur de cédérom en notation
SRM.
<p>
<sect1>Amorcer depuis un cédérom avec une console ARC ou AlphaBIOS
<p>
Pour amorcer un cédérom depuis la console ARC, trouvez le nom de
code de votre sous-architecture (voyez <ref
id="supported-cpus">) puis entrez <file>\milo\linload.exe</file>
comme chargeur d'amorçage et
<file>\milo\<var>subarch</var></file>' (où <var>subarch</var>
est le nom de la sous-architecture propre) comme un chemin vers
le système d'exploitation (« OS Path », NdT) dans le
menu « OS Selection Setup ». Les «voyous-» font
exception : vous aurez besoin d'utiliser
<file>\milo\ldmilo.exe</file> comme chargeur d'amorçage.
]]>
<![ %powerpc [
Aujourd'hui, les seules sous-architectures &arch-title; qui
supportent l'amorçage depuis le cédérom sont les PReP et les
PowerMac NewWorld. Sur les PowerMAc, appuyez sur la touche
« c » lors de l'amorçage pour amorcer sur le cédérom.
<p>
Si votre système ne s'amorce pas à partir d'un cédérom, vous
pouvez quand même l'utiliser pour installer votre système. Vous
pouvez aussi utiliser une commande du microprogramme pour
amorcer le cédérom manuellement. Suivez les instructions de<ref
id="boot-newworld"> pour amorcer depuis le disque dur à
l'exception de l'utilisation du chemin vers <prgn>yaboot</prgn>
sur le cédérom à l'invite de OF, commme :
<example>
0 > boot cd:,install\powermac\yaboot
</example>
]]>
<![ %sparc [
La plupart des versions d'OpenBoot accepte la commande <tt>boot
cdrom</tt> qui est un simple alias pour amorcer sur le
périphérique SCSI n°6 (ou le second maître pour les systèmes à
base d'IDE). Il se peut que vous ayez à passer le véritable nom
du périphérique pour les vieilles versions d'OpenBoot qui ne
proposent pas cette commande.
<p>
Attention, il a été reporté des problèmes sur Sun4m
(<em>i.e.</em>, SPARC 10s et SPARC 20s) lors de l'amorçage
depuis un cédérom ]]>
<!-- end supports-bootable-cd --> ]]>
<![ %m68k [
Aujourd'hui, la seule sous-architecture &arch-title; qui
supporte l'amorçage depuis le cédérom est la BVME6000. La
solution la plus simple dans ce cas de figure sera d'utiliser le
<url id="&url-debian-cd-vendors;" name="set of Debian
CDs">. Insérez simplement votre cédérom, réamorcez et sautez au
chapitre d'après.]]>
<p>
Notez que certains lecteurs de cédéroms peuvent demander des
pilotes particuliers, et sont donc inaccessibles au tout début de
l'installation. Si cette façon d'installer, en
amorçant depuis un cédérom échoue, veuillez relire ce
chapitre et la partie sur les autres noyaux et sur d'autres méthodes
d'installation susceptibles de fonctionner chez vous.
<p>
Même si vous ne pouvez amorcer depuis un cédérom, vous pouvez
probablement installer les composants du système Debian et
n'importe quels paquets à partir du cédérom. Amorcez simplement
à partir d'un autre média, comme les disquettes. Lorsqu'arrivera
le moment d'installer le système d'exploitation, le système de
base et n'importe quel paquet supplémentaire, faîtes pointer le
système d'installation sur le lecteur de cédérom.
<p>
Si vous avez des problèmes lors de l'amorçage, voyez <ref
id="boot-troubleshooting">.
<sect id="boot-from-floppies">Amorcer depuis des disquettes
<![ %i386 [
<p>
Amorcer depuis des disquettes est supporté pour &arch-title;..
<p>
Vous devez avoir déjà téléchargé les images de disquettes dont
vous aurez besoin et créé les disquettes à partir des images de
<ref id="create-floppy">. Si vous le désirez, vous pouvez aussi
modifier la disquette de secours ; <em>cf.</em> <ref
id="rescue-replace-kernel">.
<p>
Amorcer depuis la disquette de secours est très facile :
placez la disquette dans le premier lecteur de disquette,
éteignez la machine comme vous le faites habituellement puis
rallumez-la.
<p>
Remarquez bien que sur certaines machines
<tt>Control-Alt-Suppr</tt> ne remet pas proprement à zéro la
machine. Un réamorçage « en dur » est alors
recommandé. Si vous installez depuis un système d'exploitation
déjà existant, (<em>i.e</em> à partir d'une boîte MS-DOS), vous
n'aurez pas le choix. Sinon, veuillez réamorcer en dur pour
amorcer l'installateur.
<![ %supports-syslinux [
<p>
On suppose la disquette fonctionnelle ; vous devriez
apercevoir un écran introduisant la disquette de secours avec
à la fin une invite <tt>boot:</tt>.
<p>
Si vous amorcez le système d'une autre manière,
suivez les instructions et attendez l'apparition de l'invite
<tt>boot:</tt>. Si vous amorcez depuis des disquettes plus
petites que 1,44 Mo, <![ %rescue-needs-root-disk [ ou, en
fait, chaque fois que amorcez depuis des disquettes sur
votre architecture, ]]> vous aurez à utiliser une méthode
d'amorçage sur disque virtuel et vous aurez besoin de la
disquette Root.
<p>
Vous pouvez faire deux choses à l'invite <tt>boot:</tt>. Vous
pouvez presser les touches de fonctions de <em>F1</em> jusqu'à
<em>F10</em> pour visualiser quelques pages supplémentaires
d'information ou vous pouvez amorcer le système.
<p>
Les informations sur les paramètres d'amorçage qui peuvent être
utiles peuvent être visualisées en pressant les touches
<em>F4</em> et <em>F5</em>. Si vous ajoutez des paramètres à la
ligne de commande d'amorçage, assurez-vous de taper la méthode
d'amorçage (la valeur par défaut est <tt>linux</tt>) et un
espace avant le premier caractère (par exemple, <tt>linux
floppy=thinkpad</tt>). Si vous pressez simplement sur la touche
&enterkey;, cela reviendra au même que de taper <tt>linux</tt>
sans autre paramètre.
<p>
Cette disquette est appelée disquette de secours parce que vous
pouvez l'utiliser pour amorcer votre système et le réparer si
par hasard un problème rendait le disque dur non
amorçable. Ainsi, vous devez sauvegarder cette disquette une
fois votre système installé. Presser sur <em>F3</em> vous
fournira plus d'informations sur l'utilisation de cette
disquette de secours.
<p>
Une fois que vous avez appuyé sur &enterkey;, vous devez voir le
message <tt>Loading...</tt> suivi par <tt>Uncompressing
Linux...</tt> et ensuite un écran rempli d'informations sur le
matériel de votre système. Vous pouvez trouver un complément
d'information sur cette phase plus loin dans <ref
id="kernel-msgs">.
<p>
Si vous ne choisissez pas la méthode par défaut, par exemple le
disque virtuel ou la disquette, il vous sera demandé d'insérer
la disquette Root. Insérez cette disquette dans le premier
lecteur de disquette puis appuyez sur &enterkey; (si vous avez
choisi « floppy1 », insérez la disquette Root dans le
second lecteur de disquettes).
]]> <!-- end of %supports-syslinux -->
<p>
Après avoir amorcé la disquette de secours, <![
%rescue-needs-root-disk [ la disquette Root est
démandée. Insérez-la puis pressez la touche &enterkey; et ]]> le
contenu est chargé en mémoire. Le programme d'installation
<prgn>dbootstrap</prgn> est automatiquement lancé.
<!-- end of %i386 --> ]]>
<![ %hppa [
<p>
L'architecture &arch-title; ne supporte pas l'amorçage depuis
une disquette.
]]>
<![ %mipsel [
<p>
L'architecture &arch-title; ne supporte pas encore l'amorçage
depuis une disquette.
]]>
<![ %mips %s390 %ia64 %arm [
<p>
L'architecture &arch-title; ne supporte pas encore l'amorçage
depuis une disquette.
]]>
<![ %m68k [
<p>
La méthode recommandée pour la plupart des architectures 68k
est d'amorcer depuis un système de fichiers local.
<p>
Amorcer depuis la disquette de secours n'est supporté que par
Atari et VME (avec le lecteur de disquettes SCSI pour les VME)
à ce jour. Sur les Macintosh, vous pouvez amorcer à partir de
l'image de la disquette HFS fournie comme image de format de
DiskCopy, qui est une disquette de données brutes contenant
une image de disquettes de secours.
]]>
<![ %powerpc [
<p>
Amorcer depuis des disquettes est supporté pour &arch-title;,
bien que cela ne soit généralement appliqué que pour les
systèmes OldWorld. Les systèmes NewWorld ne sont habituellement
pas équipés de lecteurs de disquettes.
<p>
Vous aurez besoin d'avoir déjà téléchargé les images de
disquettes dont vous aurez besoin à partir des images présentes
dans <ref id="create-floppy">.
<p>
Pour amorcer à partir de la disquette boot-floppy-hfs,
placez-la dans le lecteur de disquettes après avoir coupé le
système et avant d'avoir pressé le bouton de mise en route.
<p>
Après l'amorçage, la disquette root.bin est requise. Insérez la
disquette Root et pressez &enterkey;. Le programme
d'installation <prgn>dbootstrap</prgn> est automatiquement
lancé à la suite du chargement en mémoire du système de root.
]]>
<![ %sparc [
<p>
La nouvelle architecture Sun4u (ultra) n'accepte pas
l'amorçage depuis une disquette. En outre, un
certain nombre de modèles Sun4c (comme les IPX) ne supporte
pas les images compressées trouvées sur les disques et ne sont
donc pas supportés.
<p>
Certaines SPARC (comme par exemple les Ultra 10) ont un bogue
OBP qui les empêchent d'amorcer (au lieu de ne pas supporter
l'amorçage du tout). La mise à jour appropriée de OBP peut être
téléchargé comme produit ID 106121 à partir de <url
id="http://sunsolve.sun.com">.
<p>
Pour amorcer depuis une disquette sur une SPARC, utilisez
<tt>Stop-A -> OpenBoot: "boot floppy"</tt>.
]]>
<![ %alpha [
<sect1>Amorcer à partir de disquette avec la console SRM
<p>
À l'invite (<prgn>>>></prgn>) de SRM, exécutez la
commande suivante :
<example>
>>> boot dva0 -flags 0
</example>
en remplaçant <file>dva0</file> avec le périphérique en service
sur votre machine. D'habitude, <file>dva0</file> est le lecteur
de disquette ; tapez
<example>
>>> show dev
</example>
pour afficher la liste des périphériques (si vous désirez
amorcer par exemple depuis un cédérom). Remarquez que si vous
amorcez via MILO, l'argument <prgn>-flags</prgn> est ignoré,
donc vous pouvez simplement taper <prgn>boot dva0</prgn>.
<p>
Si tout se déroule normalement, vous devriez voir l'amorçage
du noyau Linux.
<p>
Si vous désirez spécifier des arguments au noyau en amorçant
via <prgn>aboot</prgn>, utilisez la commande suivante :
<example>
>>> boot dva0 -file linux.bin.gz -flags "root=/dev/fd0 load_ramdisk=1 arguments"
</example>
(tapez sur une seule ligne) en substituant, si nécessaire, le
nom de périphérique d'amorçage SRM utilisé pour
<file>dva0</file>, le nom de périphérique d'amorçage de Linux
pour <file>fd0</file> et les paramètres noyaux désirés pour
<file>arguments</file>.
<p>
SI vous désirez spécifier des paramètres au noyau lors d'un
amorçage via <prgn>MILO</prgn>, il vous faudra interrompre le
chargement une fois entré dans MILO. Voyez <ref
id="booting-from-milo">.
<sect1>Amorcer depuis les disquettes avec la console ARC ou ALphaBIOS
<p>
Dans le menu de « OS selection », choisissez
<prgn>linload.exe</prgn> comme chargeur d'amorçage et
<prgn>milo</prgn> comme chemin vers le système
d'exploitation. L'amorçage se fera depuis cette nouvelle
entrée.
<sect1>Amorcer depuis les disquettes avec le chargeur d'amorçage APB (UP1000)
<p>
Pour amorcer sur cette plateforme, exécutez
<prgn>\apb\apb.exe</prgn> depuis le menu « Utility/Run
Maintenance Program et tapez
<example>
boot debian_install
</example>
à l'invite de APB.
]]>
<![ %supports-floppy-boot [
<p>
Si vous avez des problèmes d'amorçage, voyez <ref
id="boot-troubleshooting">. ]]>
<![ %bootable-disk [
<sect id="install-drive">Amorçage depuis un disque dur
<p>
Dans certains cas, vous pourriez avoir envie de démarrer le
système à partir d'un autre système d'exploitation
existant. Sur certains systèmes, c'est même la seule méthode
d'installation.
<p>
Pour amorcer l'installateur depuis un disque dur, vous
devrez avoir déjà téléchargé complètement et déposé les
fichiers nécessaires dans <ref id="boot-drive-files">.
<![ %i386 [ <sect1 id="install-from-dos">Amorcer depuis une partition MS-DOS
<p>
Démarrez sous MS-DOS (pas sous Windows) sans charger de
pilotes. Pour faire cela, il faut presser <em>F8</em> au bon
moment (et éventuellement sélectionner l'option « safe
mode command prompt only » : « mode DOS sans
échec »).
<p>
Mettez vous dans le sous-répertoire de la saveur que vous
avez choisie, par exemple <tt>cd c:\debian\compact</tt>.
Ensuite exécutez <file>install.bat</file> à partir de ce
répertoire MS-DOS. Le noyau se chargera et lancera
l'installateur.
<p>
Veuillez noter qu'il y a aujourd'hui un problème avec
<prgn>loadlin</prgn> (n°142421) qui empêche le fichier
<file/install.bat/ d'être utilisé par la saveur bf2.4. Le
message d'erreur symptomatique de cet état est
« invalid compressed format »
]]>
<![ %m68k [
<sect1>Amorcer sur AmigaOS
<p>
Dans le <prgn>Workbench</prgn>, lancez le processus
d'installation de Linux en double-cliquant sur l'icône
« StartInstall » dans le répertoire
<file>debian</file>.
<p>
Vous devrez sans doute enfoncer deux fois la touche &enterkey;
après que le programme d'installation d'Amiga aura
affiché des informations de déboguage dans une
fenêtre. Après cela, l'écran deviendra gris, il faudra
attendre quelques secondes, puis un écran noir avec du texte
en blanc devrait apparaître et afficher toutes sortes
d'informations de débogage du noyau. Ces messages pourraient
défiler trop vite pour pouvoir être lus,
mais ce n'est pas grave. Après quelques secondes, le
programme d'installation devrait démarrer automatiquement et
vous pourrez continuer plus bas, à <ref id="init-config">.
<sect1>Amorcer sur Atari TOS
<p>
Sur le bureau GEM, lancez le processus d'installation en
double-cliquant sur l'icône « bootstra.prg » dans
le répertoire <file>debian</file> et en cliquant sur
« OK » dans la boîte de dialogue d'options.
<p>
Vous devrez sans doute enfoncer la touche &enterkey;
après que le programme d'installation d'Atari aura affiché
des informations de débogage dans une fenêtre. Après
cela, l'écran deviendra gris, il faudra attendre quelques
secondes, puis un écran noir avec du texte en blanc devrait
apparaître et afficher toutes sortes d'informations de
débogage du noyau. Ces messages pourraient défiler trop vite
pour pouvoir être lus, mais ce n'est pas
grave. Après quelques secondes, le programme d'installation
devrait démarrer automatiquement et vous pourrez continuer
plus bas, à <ref id="init-config">.
<sect1>Amorcer sur MacOS
<p>
Sur le bureau MacOS, lancez le processus d'installation de
Linux en double-cliquant sur l'icône « Penguin
Prefs » dans le dossier <file>debian</file>. L'outil de
d'amorçage de Linux va s'exécuter. Allez dans
« Paramètres », dans le menu
« Fichiers » et sélectionnez le noyau et les
images de disque virtuel sous l'onglet « kernel »
dans le dossier <file>debian</file> en cliquant sur les
boutons correspondant dans le coin supérieur droit et en se
déplaçant dans les dialogues de choix de fichier afin de
localiser les fichiers. Fermez la boîte de dialogue
« Paramètres », sauvegardez les réglages et
démarrez le programme d'installation en utilisant
« Boot Now » dans le menu « Fichiers ».
<p>
Le programme <prgn>Penguin booter</prgn> affichera
quelques infos de débogage dans une fenêtre. Après cela,
l'écran deviendra gris et il y aura une pause de quelques
secondes. Ensuite, un écran noir avec du texte blanc devrait
apparaître et afficher toute sorte d'informations de
débogage du noyau. Ces messages pourraient défiler trop vite
pour que vous ayez le temps de les lire. Ce n'est pas grave.
Après quelques secondes, le programme d'installation devrait
démarrer automatiquement, et vous pouvez continuer à <ref
id="init-config">.
]]>
<!-- end %bootable-disk --> ]]>
<![ %powerpc [
<sect1>Amorcer CHRP à partir d'OpenFirmware (OF)
<p>
<![ %FIXME; [
<em>Not yet written.</em> ]]>
<sect1>Amorcer les PowerMAC OldWorld à partir de MacOS
<p>
Si vous configurez BootX dans <ref id="files-oldworld">,
vous pouvez l'utiliser pour amorcer le système
d'installation. Double-cliquez sur l'icône de l'application
<prgn/BootX/. Cliquez sur le bouton de l'option
« Options » et sélectionnez « Utiliser un
disque virtuel spécifié ». Cela vous laissera la
possibilité de sélectionner le fichier
<file/ramdisk.image.gz/. Il se peut que, suivant votre
matériel, vous ayez à sélectionner l'option « Pas de
pilote vidéo ». Ensuite, cliquez sur le bouton
« Linux » pour éteindre MacOS et lancer
l'installateur.
<sect1 id="boot-newworld">Amorcer les MAc NewWolrd depuis le microprogramme Open Firmware
<p>
Vous devez déjà avoir placé les fichiers linux.bin, yaboot,
yaboot.conf et root.bin de <ref id="files-newworld"> à la
racine de votre partition HFS. Redémarrer votre ordinateur
et immédiatement après le carillon, appuyez simultanément
sur les touches « Option », « Command »
(touche trèfle/Apple), « o » et
« f ». Vous aurez l'invite du microprogramme Open
Firmware au bout de quelques secondes :
<example>
0 >
</example>
À l'invite, tapez
<example>
0 > boot hd:x,yaboot
</example>
en remplaçant x par la numéro de la partition HFS où se
trouvent le noyau et les fichiers de yaboot, le tout suivi
par &enterkey;. Après quelques secondes, vous devriez voir
apparaître l'invite de yaboot.
<example>
boot:
</example>
À l'invite <tt/boot:/ de yaboot, tapez soit <tt/install/
soit <tt/install-safe/ suivi d'un retour chariot. L'option
« safe » utilise l'argument <tt/video=ofonly/ pour
une compatibilité maximale ; vous pouvez l'essayer si
l'argument <tt/install/ échoue.
<sect1>Amorcer PReP à partir d'OpenBug
<p>
<![ %FIXME; [
<em>Not yet written.</em> ]]>
]]>
<![ %sparc [
<sect id="install-nfs">Amorcer depuis NFS
<p>
Pour installer le système via NFS, sélectionnez simplement
<tt>NFS</tt> pour l'emplacement des images et des fichiers et
suivez les instructions proposées. Vous apercevrez l'invite
<tt>server:/directory</tt> lorsque les images seront
localisées.
<p>
Si vous avez des problèmes d'amorçage, voyez <ref
id="boot-troubleshooting">.
]]>
<![ %supports-tftp [
<sect id="boot-tftp">Amorcer depuis TFTP
<p>
Amorcer depuis un réseau suppose que vous ayez une fonction de
connexion réseau supporté par les disquettes d'amorçage, à la
fois pour une adresse réseau statique ou un serveur DHCP, un
serveur <![ %supports-rarp [ RARP ou ]]> DHCP et un serveur
TFTP.
<![ %powerpc [ Aujourd'hui, les systèmes PReP et PowerMac
NewWorld supportent l'amorçage depuis le réseau. ]]>
<![ %hppa [ Les vieux systèmes comme le 715 peuvent demander
l'utilisation d'un serveur RBOOT à la place d'un serveur
BOOTP. ]]>
La méthode d'installation pour supporter l'amorçage depuis
TFTP est décrite dans <ref id="install-tftp">.
<![ %arm [ Les serveurs RARP et BOOTP ne sont pas nécessaires
pour les machines NetWinder.
<p>
Pour ces machines, la carte 10 Mb/s compatible NE2000 a
pour interface eth0 et la carte Tulip en 100 Mb/s a pour
interface eth1. NOTE : vous aurez besoin de
NeTTrom 2.2.1 ou suivant pour amorcer le système
d'installation. NeTTrom 2.2.3 est recommandé. Vous pouvez
l'obtenir à partir de <url
id="ftp://ftp.netwinder.org/pub/netwinder/firmware/"> :
<url id="ftp://ftp.netwinder.org/pub/netwinder/firmware/">:
<list> <item><file/nettrom-2.3-3.armv4l.rpm/
<item><file/nettrom-2.3.3.bin/
<item><file/nettrom-2.3.3.bin.md5sum/
</list>
<p>
Après avoir réamorcé et interrompu le processus d'amorçage
pendant la phase de compte à rebours, vous devez configurer le
réseau avec l'adresse statique :
<example>
NeTTrom command-> setenv eth0_ip 192.168.0.10/24
</example>
où 24 est le nombre de bits du masque réseau ou bien avec une
adresse dynamique :
<example>
NeTTrom command-> boot diskless
</example>
<p>
Il se peut que vous ayez aussi à configurer les réglages de
<tt>route1</tt> si le serveur TFTP n'est pas sur le
sous-réseau local. Le reste de la configuration est tout à
fait standard (l'étape de sauvegarde de l'ensemble est
optionnel) :
<example>
NeTTrom command-> setenv kerntftpserver 192.168.0.1
NeTTrom command-> setenv kerntftpfile tftpboot.img
NeTTrom command-> save-all
NeTTrom command-> setenv netconfig_eth0 flash
NeTTrom command-> setenv kernconfig tftp
</example>
<p>
Seules les deux dernières commandes interfèrent avec
l'amorçage normal des disques donc il est prudent de tout
sauvegarder soigneusement avant de le faire, ce qui permettra
de sauvegarder les réglages réseau au cas où vous auriez à
réamorcer depuis le réseau. Utilisez la commande
<prgn>printenv</prgn> pour réafficher vos réglages
d'environnement. Finalement, si la variable de NeTTrom
« cmdappend » a l'option « noinitrd » (qui
est nécessaire à l'amorçage des noyaux 2.4), vous devrez la
supprimer pour que le noyau puisse amorcer avec ses disques
virtuelles en attache.
<p>
Sur les machines CATS, utilisez <tt>boot de0:</tt> ou quelque
chose de similaire à l'invite de Cyclone.
]]>
<![ %sparc [ Sur les machines avec OpenBoot, entrez simplement
dans le moniteur d'amorçage sur la machine sur laquelle vous
voulez faire l'installation (<em>cf.</em> <ref
id="invoking-openboot">) et utilisez la commande <tt>boot
net</tt>. Certaines anciennes versions d'OpenBoot nécessitent
d'utiliser le nom du périphérique, comme <tt>boot le()</tt>. ]]>
<![ %powerpc [ Sur les machines avec Open Firmware, comme les
Macs NewWorld Power, entrez simplement dans le moniteur
d'amorçage (<em>cf.</em> <ref id="invoking-openfirmware">) et
utilisez la commande <tt>boot enet:0</tt>. Les boîtes PReP et
CHRP peuvent avoir une façon différente d'adresser le réseau.
<![ %FIXME [ De plus amples informations de la part des
utilisateurs de ces machines est nécessaire. ]]> Sur une machine
PReP, vous pouvez essayer <tt>boot
<var>server_ipaddr</var>,<var>file</var>,<var>client_ipaddr</var></tt>.
]]>
<![ %alpha [ Pour SRM, les interfaces Ethernet sont nommées
avec le préfixe <tt>ewa</tt> et seront affichées en sortie de
la commande <tt>show dev</tt>, comme ceci :
<example>
>>>show dev
ewa0.0.0.9.0 EWA0 08-00-2B-86-98-65
ewb0.0.0.11.0 EWB0 08-00-2B-86-98-54
ewc0.0.0.2002.0 EWC0 00-06-2B-01-32-B0
</example>
<p>
Vous devez commencer par configurer le protocole
d'amorçage :
<example>
>>> set ewa0_protocol bootp
</example>
puis vérifier que le type du média est correct :
<example>
>>> set ewa0_mode <var>mode</var>
</example>
Vous pouvez obtenir une liste de modes valides avec <tt>>>>set
ewa0_mode</tt>.
<p>
Ensuite, pour amorcer sur la première interface Ethernet, vous
devrez taper :
<example>
>>>boot ewa0
</example>
<p>
Si vous souhaiter utiliser une console série, vous
<em>devez</em> passer le paramètre <tt>console=</tt> au
noyau. Cela peut être fait avec l'argument <tt>-flags</tt> de
la commande SRM <tt>boot</tt>. Les ports séries portent le
même nom que leur fichier correspondant dans
<tt>/dev</tt>. Par exemple, pour amorcer depuis <tt>ewa0</tt>
en utilisant la console sur le premier port série, vous devrez
taper :
<example>
>>>boot ewa0 -flags console=ttyS0
</example>
]]>
<![ %m68k [ Après l'amorçage des systèmes VMEbus, vous aurez
l'invite <tt>LILO Boot:</tt>. Tapez à la suite un des
arguments suivants pour amorcer Linux et commencer
l'installation dans de bonnes conditions du logiciel Debian
en utilisant l'émulation de terminal vt102 :
<list>
<item>
type ``i6000 &enterkey;'' pour l'installation des BVME4000/6000
<item>
type ``i162 &enterkey;'' pour l'installation de MVME162
<item>
type ``i167 &enterkey;'' pour l'installation des MVME166/167
</list>
<p>
Vous pouvez aussi ajouter la chaîne « TERM=vt100 »
pour utiliser une émulation de terminal vt100, par exemple,
« i6000 TERM=vt100 &enterkey; ».
]]>
]]>
<![ %mips [ Une fois entré dans le moniteur de commandes,
utilisez
<example>
bootp(): root=/dev/ram0
</example>
sur les stations SGI Indy pour amorcer Linux et commencer
l'installation de Debian. Pour ce faire, il sera peut-être
nécessaire de déconfigurer la variable d'environnement
netaddr. Tapez
<example>
unsetenv netaddr
</example>
dans le moniteur de commandes pour le faire.
]]>
<sect id="boot-troubleshooting">Dysfonctionnement pendant la procédure d'installation
<p>
<sect1>Fiabilité des disquettes
<p>
Le plus gros problème pour les gens qui installent Debian
pour la première fois semble venir de la fiabilité des
disquettes.
<p>
La disquette de secours est celle qui pose le plus de
problème car c'est elle qui accède directement au matériel
avant que Linux ne se charge. Souvent, le matériel n'est pas
détecté aussi sûrement qu'avec un lecteur de disquette Linux et
peut s'arrêter sans message d'erreur quand il lit
des données incorrectes. Il peut aussi y avoir des erreurs
dans les &DRIVER-FLOPPY; et la plupart d'entre elles peuvent
se deviner à cause d'erreurs disque d'entrées/sorties.
<p>
Si vous êtes bloqué pendant l'installation avec une disquette
particulière, la première chose à faire est de télécharger à
nouveau l'image de la disquette et de la réécrire sur une
<em>nouvelle</em> disquette. Reformater simplement l'ancienne
disquette peut être insuffisant, même si la disquette est
reformatée et écrite sans erreur. Il est parfois utile
d'écrire les disquette sur un autre système.
<p>
Un utilisateur a rapporté une fois qu'il a dû réécrire les
images sur la disquettes <em>trois</em> fois avant qu'elle
fonctionne ; ensuite, tout s'est bien déroulé avec cette
troisième disquette.
<sect1>Configuration d'amorçage
<p>
Si vous avez des problèmes et que le noyau se bloque pendant
la phase d'amorçage, qu'il ne reconnaisse pas vos
périphériques ou bien que les pilotes ne soit pas
parfaitement fonctionnels, la première chose à faire est de
vérifier les paramètres d'amorçage, ainsi qu'il a été
discuté à <ref id="boot-parms">.
<p>
Si vous amorcez avec votre propre noyau plutôt que celui
fourni par l'installateur, assurez-vous que
<tt>CONFIG_DEVFS</tt> ne soit pas dans le
noyau. L'installateur n'est pas compatible avec
<tt>CONFIG_DEVFS</tt>.
<p>
Les problèmes peuvent être souvent résolus en retirant
périphériques et rajouts et en essayant d'amorcer de
nouveau. <![ %i386 [ Modems internes, cartes son et
périphériques Plug'n Play peuvent être particulièrement
problématiques. ]]>
<p>
Il existe en tout état de cause des limitations dans notre
jeu de disquettes d'amorçage en ce qui concerne le
matériel. Certaines plateformes supportées par Linux ne le
seront pas directement par nos disquettes. Si c'est le cas,
vous aurez à créer votre propre disquette de
secours (voir <ref id="rescue-replace-kernel">) ou rechercher
vers une installation en réseau.
<p>
Si vous avez une machine avec beaucoup de mémoire, plus de
512 Mo, et que l'installateur se bloque lors de
l'amorçage du noyau, vous serez amené à inclure comme
argument d'amorçage la limite du total de la mémoire que le
noyau devra voir, comme <tt>mem=512m</tt>.
<![ %i386 [
<p>
Si vous avez une très vieille machine et que le noyau gèle
après avoir renvoyé <tt>Checking 'hlt' instruction...</tt>,
alors vous devez passer l'argument d'amorçage <tt>no-hlt</tt>
qui désactive ce test. ]]>
<![ %sparc [
<p>
Si vous ne pouvez pas amorcer parce que vous avez des messages au
sujet d'un problème avec l'« IDPROM », alors il est
possible que la batterie de la NVRAM, qui permet de garder en
mémoire l'information de configuration de votre
microprogramme, soit épuisée. <em>cf.</em> <url
id="&url-sun-nvram-faq;" name="Sun NVRAM FAQ"> pour plus
d'informations.
<p>
Si vous amorcez depuis une disquette et que vous aperceviez
des messages comme
<example>
Fatal error: Cannot read partition
Illegal or malformed device name
</example>
alors, il est tout simplement possible que l'amorçage depuis
une disquette ne soit pas possible sur votre machine. Voyez
<ref id="boot-from-floppies">. ]]>
<sect id="kernel-msgs">Comprendre les messages de démarrage du
noyau
<p>
Durant la séquence de démarrage, vous pourriez voir beaucoup
de messages du genre <tt>can't find something</tt>, ou
<tt>something not present</tt>, <tt>can't initialize
something</tt>, ou même <tt>this device driver depends on
something</tt>. La plupart de ces messages sont sans
conséquence. Vous les voyez parce que le noyau du système
d'installation est conçu pour tourner sur des ordinateurs
avec un grand nombre de périphériques très
différents. Évidemment, aucun ordinateur ne possède tous les
périphériques possibles, et le système d'exploitation pourrait
se plaindre parce qu'il recherche un périphérique que vous
ne possédez pas. Vous pourriez également voir le système
s'arrêter pendant un moment. Cela arrive quand il attend une
réponse d'un périphérique qui n'est pas présent sur votre
système. Si vous trouvez le temps de démarrage du système
exagérément long, vous pourrez créer un noyau personnalisé
plus tard (voyez <ref id="kernel-baking">).
<sect1 id="problem-report"><prgn>dbootstrap</prgn> : rapport de problèmes
<p>
Si vous parvenez à la fin de la phase d'amorçage mais que
vous ne parveniez pas à la fin de l'installation complète,
le menu « Rapport de problèmes » de
<prgn>dbootstrap</prgn> peut vous aider. Il crée un
fichier <file>dbg_log.tgz</file> sur une disquette, un
disque dur ou un système de fichier monté.
<file>dbg_log.tgz</file> détaille l'état du système
(<file>/var/log/messages</file>,
<file>/proc/cpuinfo</file> etc.).
<file>dbg_log.tgz</file> peut fournir des indications sur
ce qui s'est mal déroulé et comment le résoudre. Si vous
soumettez un rapport de bogue, vous devrez attacher ce
fichier au rapport.
<sect1 id="submit-bug">Soumettre un rapport de bogue
<p>
Si vous avez toujours des ennuis, veuillez soumettre un
rapport de bogue. Envoyez un courriel à
<email>submit@bugs.debian.org</email>. Vous <em>devez</em>
inclure les lignes suivantes en tête de votre
message :
<example>
Package: boot-floppies
Version: <var>version</var>
</example>
Assurez-vous que le champ <var>version</var> soit bien
identique avec la version des disquettes d'amorçage que
vous utilisez. Si vous ne connaissez pas la
<em>version</em>, donnez la date du téléchargement des
disquettes et indiquez la distribution à partir de
laquelle vous les avez obtenues (par exemple,
« stable », « frozen » ou
« woody »).
<p>
Vous devrez aussi inclure les informations suivantes dans
votre rapport de bogue :
<example>
<![ %i386 [flavor: <var>saveur de l'image que vous utilisez</var> ]]>
architecture: &architecture;
model: <var>votre modèle et fabricant de matériel</var>
memory: <var>quantité de RAM</var>
scsi: <var>adapteur SCSI, s'il y en a</var>
cd-rom: <var>modèle de cédérom et type d'interface, par exemple atapi</var>
network card: <var>carte d'interface réseau, si nécessaire</var>
pcmcia: <var>détails des périphériques PCMCIA</var>
</example>
<p>
Suivant la nature du bogue, il peut être souhaitable
d'indiquer si vous installiez sur des disques IDE ou SCSI
ou bien les autres périphériques comme l'audio, la taille
des disques et le modèle des cartes vidéo.
<p>
Dans le rapport de bogue, décrivez le problème en incluant
les derniers messages visibles du noyau dans le cas d'un
gel du noyau. Décrivez les étapes que vous avez effectuées
pour arriver dans cet état.
<!-- add-on for french ! -->
<p>
Veuillez <em>dans la mesure du possible</em> rédigez le
rapport de bogue en anglais.
<sect id="dbootstrap-intro">Introduction to <prgn>dbootstrap</prgn>
<p>
<prgn>dbootstrap</prgn> est le nom du programme qui est
lancé après que vous êtes entré dans l'installation du
système. Il est responsable de la configuration initiale du
système et de l'installation du « système de
base ».
<p>
Le principal travail de <prgn>dbootstrap</prgn> et
l'objectif principal de votre système de configuration
initial est de configurer les éléments essentiels de votre
système. Par exemple, il se peut que vous ayez à utiliser
certains modules du noyau, alors même que ces pilotes sont
liés dans le noyau. Ces modules comptent parmis les pilotes
de matériel de stockage, les pilotes de réseau, le support
d'un langage donné et le support pour d'autres périphériques
qui ne sont pas automatiquement inclus dans le noyau que
vous utilisez.
<p>
Le formatage et le partitionnement du disque, ainsi
que la configuration du réseau, sont facilités par
<prgn>dbootstrap</prgn>. Ce réglage fondamental est fait en
premier car il est souvent nécessaire au bon fonctionnement
de votre système.
<p>
<prgn>dbootstrap</prgn> est une application simple, orientée
caractères et conçue pour offrir un maximum de compatibilité
dans toutes les situations (comme une installation depuis
une ligne série). Il est très facile à utiliser. Il vous
guidera pas à pas dans chaque étape du processus d'installation.
Vous pouvez aussi revenir en arrière et
répéter des étapes si vous pensez avoir fait une erreur.
<p>
Pour vous déplacer à l'intérieur de <prgn>dbootstrap</prgn>,
utilisez :
<list>
<item>
La flèche de droite ou la touche de tabulation pour
avancer en avant et la flèche gauche ou la touche
Shift-tab pour vous déplacer en arrière entre les boutons
et les sélections dans l'écran courant.
<item>
La flèche haut et bas permet de sélectionner différents
éléments dans une liste à défilement et de faire défiler
la liste elle-même.
<item>
La barre d'espacement permet la sélection d'articles
comme dans une boîte de sélection.
<item>
La touche &enterkey; sert à valider les choix.
</list>
<sect1 id="dbootstrap-shell-log">
<heading>Utiliser le shell et visualiser les fichiers-journaux</heading>
<p>
Si vous êtes un utilisateur expérimenté d'Unix ou de Linux,
pressez <em>Left Alt-F2</em> <![ %m68k %powerpc [ (sur un
clavier de Mac, <em>Option-F2</em>) ]]> pour obtenir une
seconde <em>console virtuelle</em>. C'est la touche
<em>Alt</em> placée à gauche de la barre d'espacement et la
touche de fonction <em>F2</em>, pressées en même
temps. C'est une fenêtre distincte dans laquelle tourne un
clone de shell Bourne appelé <prgn>ash</prgn>. À ce moment,
vous avez amorcé à l'intérieur du disque virtuel et vous
avez à disposition un nombre limité d'outils Unix. Vous
pouvez connaître les programmes disponibles en tapant
<tt>ls /bin /sbin /usr/bin /usr/sbin</tt>. Utilisez les
menus pour exécuter une tâche qui est prévue pour
— l'interpréteur de commandes et les
applications ne sont là qu'au cas où quelque chose
tournerait mal. En particulier, vous devez toujours
utiliser le menu, et non pas le shell, pour activer une
partition d'échange parce que le logiciel sous le menu
n'est pas capable de détecter que vous l'avez fait depuis
l'interpréteur de commandes. Pressez <em>Left Alt-F1</em>
pour revenir aux menus. Linux fournit jusqu'à 64 consoles
virtuelles mais la disquette de secours n'en utilise qu'une
partie.
<p>
Les messages d"erreur sont redirigés vers la troisième
console (connue comme <em>tty3</em>). Vous pouvez y accéder
en pressant <em>Left Alt-F3</em> (gardez la touche
<em>Alt</em> enfoncé pendant que vous appuyez sur la touche
de fonction<em>F3</em>). Revenez en arrière sur
<prgn>dbootstrap</prgn> avec <em>Left Alt-F1</em>.
<p>
Ces messages se retrouvent aussi dans
<file>/var/log/messages</file>. Après l'installation, ce
fichier-journal est copié dans <file>/var/log/installer.log</file>
sur votre système.
<p>
Pendant l'installation de base, les messages de dépaquetage
des paquets et de configuration sont redirigés vers
<tt>tty4</tt>. Vous pouvez y accéder en tapant <em>Left
Alt-F4</em>Revenez en arrière sur <prgn>dbootstrap</prgn>
avec <em>Left Alt-F1</em>.
<p>
Ces messages sont ensuite sauvegardés par debootstrap dans
<file>/target/tmp/debootstrap.log</file> lorsque
l'installation est achevé depuis une console série.
<![ %supports-lang-chooser [
<sect id="dbootstrap-lang-chooser">Choisir la langue
<p>
Votre architecture peut être <em>internationalisée</em>. Ainsi,
comme première étape de l'installation, sélectionnez la
langue dans laquelle le procesus d'installation va se
dérouler.
<p>
Certaines langues ont des variantes disponibles et vous
verrez apparaître l'invite « Choisir la variante de
langue » après avoir sélectionné votre
langue. Sélectionnez la variante adéquate
à votre région géographique.
<p>
Les réponses que vous avez données aux deux questions
précédentes vont être utilisées pour sélectionner la langue
que l'installateur utilisera, pour installer un bon clavier et,
plus tard dans le
processus, pour sélectionner le serveur miroir Debian
par défaut en fonction de votre situation géographique.
Dans tous les cas, vous pouvez passer outre ces
réglages si vous le désirez.
]]>
<sect id="dbootstrap-welcome">&Release-Notes;
<p>
Le premier écran <![ %supports-lang-chooser [ après
« Choisir la langue » ]]> que
<prgn>dbootstrap</prgn> vous présentera est les
&Release-Notes;. Cet écran donne la
version du logiciel <package>boot-floppies</package> que
vous utilisez et fournit une brève introduction sur les
développeurs Debian.
<sect id="dbootstrap-title">&MSG-TITLE-MENU;
<p>
Il se peut que vous voyiez une boîte de dialogue avec
&MSG-WAIT-STATE;. Sur certains systèmes, cela passe trop
rapidement pour être lisible. Vous verrez cette boîte de
dialogue entre chaque étape dans le menu principal. Le
programme d'installation, <prgn>dbootstrap</prgn>,
vérifiera l'état du système à chaque étape. Ces
vérifications vous permettent de redémarrer votre machine
sans perdre le travail que vous avez déjà fait au cas où
vous auriez à arrêter votre système en cours
d'installation. Si vous avez à redémarrer votre système,
vous aurez à relancer l'installation, à configurer votre
clavier, réactiver la partition d'échange et remonter les
disques qui ont été initialisés. Tout ce que vous avez déjà
fait avec le système d'installation a été sauvegardé.
<p>
Pendant tout le processus d'installation, vous verrez dans
le menu principal &MSG-TITLE-MENU;. Les choix en haut du
menu changeront pour indiquer la progression dans
l'installation du système. Phil Hughes écrivait dans le
<url id="&url-linux-journal;" name="Linux Journal"> qu'un
<em>poussin</em> bien éduqué pourrait installer
Debian ! Il voulait dire que l'installation se résume la
plupart du temps à appuyer <em>machinalement</em> sur la
touche &enterkey; Le premier choix dans le menu
d'installation représente l'action suivante car le système
détecte ce que vous avez déjà fait. Il devrait dire
&MSG-NEXT; et à ce moment, l'étape suivante d'installation
sera choisie.
<sect>&MSG-CONFIGURE-KEY;
<p>
Assurez-vous que la mise en relief est sur l'élément
&MSG-NEXT; et pressez sur &enterkey; pour aller dans le
menu de configuration du clavier. Sélectionnez un clavier
conforme à l'usage de votre langue nationale ou bien
sélectionnez quelque chose d'approchant s'il n'existe rien
d'exactement conforme. Une fois l'installation du système
terminée, il vous sera proposé une disposition de
clavier à partir d'un choix très large (lancez
<prgn>kbdconfig</prgn> en tant que root lorsque vous avez
terminé l'installation).
<p>
Déplacez la mise en relief vers la sélection de clavier qui
vous convient et pressez sur &enterkey;. Utilisez les
flèches du clavier pour déplacer la mise en relief
— ;elles sont à la même place pour toutes les
dispositions de clavier et sont donc indépendantes de sa
configuration. Un clavier « étendu » est un
clavier possédant les touches F1 à F10 sur la
rangée du haut.
<![ %mipsel [
<p>
Pour les DECstation, il n'y a pas à ce jour de disposition
de clavier chargeable donc vous devez garder la disposition
par défaut (LK201 US). Cela pourra changer dans l'avenir et
dépend du développement du noyau Linux/MIPS. ]]>
<![ %powerpc [
<p>
Il y a deux dispositifs de clavier pour les claviers
US ; le dispositif qwerty/mac-usb-us (Apple USB)
positionne la fonction ALT sur la touche Command/Apple
(dans le dispositif du clavier, c'est juste après la barre
d'espacement, comme la touche ALT des claviers de PC) alors
que le dispositif qwerty/us (Standard) positionne la
fonction ALT sur la touche Option (surgravé par
« alt » sur la plupart des Mac). Sur les autres
aspects, les deux dispositions sont similaires. ]]>
<![ %supports-nfsroot [
<p>
SI vous installez un poste de travail sans disque, les deux étapes
suivantes seront supprimées car il n'y a pas de disque
local à partitionner. Dans ce cas, votre étape suivante
sera <ref id="configure-network">. Après cela, on vous
demandera de monter votre partition NFS racine dans <ref
id="mount-already-inited">. ]]>
<sect>Dernière chance !
<p>
Avons-nous dit que vous deviez sauvegarder vos
disques ? C'est la dernière occasion de le faire. Si
vous n'avez pas sauvegardé tous vos diques, retirez la
disquette du lecteur, remettez à zéro le système et lancez
vos sauvegardes.
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