JF Straeten a écrit :
Re, On Wed, Oct 22, 2014 at 04:16:42PM +0200, BERTRAND Joël wrote: [...]Les niveaux d'exécution ne me dérangent pas plus que celaJ'admets que l'idée sous-jacente n'est pas mauvaise, mais les 9/10eme du temps, même si ça ne gêne pas, ça ne sert à rien, en tout cas ici... Donc, pourquoi les garder ?
Ça permet d'avoir des fonctionnements différents. init 5 avec X, init 2 ou 5 en fonctionnement serveur classique, 2a avec un fonctionnement classique plus un serveur de fax par exemple...
Pour un poste de travail, ça ne sert à rien. Pour un serveur, ça peut être utile.
[...]Aujourd'hui, j'ai commencé à migrer mes machines vers autre chose que du Linux. [...]Ce serait indiscret de demander quoi ? :-)
Pas du tout. Pour les serveurs, je laisse les Linux mourir de leur belle mort et lorsque je remplace un serveur, c'est par un NetBSD. Pour les postes de travail, en fonction de l'architecture, c'est du Net ou du Free. Je bricole aussi avec du L4 ou du VMS, mais c'est un autre sport :-P
[...] Je pense que systemd est assez symptomatique de la dérive de Linux en général.Là, t'y vas fort ;)
On en reparlera dans quelques années. Le noyau Linux ne ressemble plus à rien, il faut 1 Go de mémoire pour booter n'importe quelle distribution avec un bureau léger... J'ai un K6-III qui ne me sert que pour avoir accès à un scanner SCSI. Il est muni de 256 Mo de mémoire. C'est devenu inutilisable avec :
- Linux récent (debian stable dégraissée au maximum) - Xorg (carte matrox G200) - comptes en NFSAu démarrage, tu charges tout un tas de saletés dont tu n'as que faire. Et comme le noyau sait mieux que toi comment il doit gérer la mémoire, il préalloue des tas de zones et se met à swapper immédiatement alors même que tu lui as indiqué une valeur swapiness intéressante. En fait, Linux à la fin des années 1990 était vendu comme un système léger et fiable. Il est encore à peu près fiable (sur x86) mais plus du tout léger.
Cordialement, JKB