Bonjour, Vous trouverez ci-joint ma relecture chapitre 3 du debian-guide. (sur la base de la disponibilité de ce chapitre indiquée sur la page de Denis) Quelques commentaires généraux : * Il me semble important de définir le <<sexe>> de Debian, le document n'est pas homogène de ce point de vue... il serait plus clair d'utiliser systématique <<le système Debian>. ou <<la distribution Debian>> selon le contexte... * C'est une relecture franco/francaise, i.e je me suis concentré sur le style français tel que perçu par un lecteur ... francophone Je ne me suis pas intéressé à la question de valider telle ou telle traduction... * Ne sachant pas trop que choisir comment technique de relecture/soumission, j'ai utiliser une technique que je considère simple : - ouverture de la page html d'en un éditeur html (celui de netscape par ex) - indication <<intuitive>> des corrections *** suggérées *** - texte barré pour les suppression - texte rouge pour la suggestion/correction - un peu de gras pour les remarques persos... - envoi de la page html PS : je fais pas souvent cette manip (partir de l'editeur Netscape) donc .... ??? Ps2 : la prochaine fois, je tente de renommer le fichier attaché avant envoi... ;-) Voilà voilà... A+ -- # Georges MARIANO tel: (33) 03 20 43 84 06 # INRETS, 20 rue Elisee Reclus fax: (33) 03 20 43 83 59 # 59650 Villeneuve d'Ascq mailto:georges.mariano@inrets.fr # FRANCE. # http://www3.inrets.fr/Public/ESTAS/Mariano.Georges/ # http://www3.inrets.fr/B-Bibliography/Title: Guide d'introduction à Debian GNU-Linux - Introduction
il serait utile de définir si on parle
de la distribution Debian ou du système Debian (la Debian ou le
Debian)
Confusion de genre dans la suite du document
Nous sommes heureux d'avoir la chance de vous présenter la
distribution Debian. Avant d'entamer la discussion sur GNU-Linux, nous
aimerions
d'abord parler un peu de ce qu'est exactement Debian - ce qu'elle
fait et qu'elle sont ses buts dans le monde vaste du Logiciel Libre.
Une autre facette d'un système d'exploitation est la partie logiciels applicatifs: ce sont les programmes qui vous aident dans votre travail, de l'édition de documents en passant par les jeux jusqu'à l'écriture d'autres programmes. Debian rassemble plus de 1500 paquets (ce sont des logiciels pré-empaquetés (préconditionnés ? sinon on tourne en rond paquet/empaqueté) dans un format pratique pour l'installation sur votre machine) tous libres.
Le système Debian ressemble un peu à une pyramide. À la base se trouve le noyau Linux. Juste au-dessus se trouve les outils de base, la plupart en provenance du mouvement GNU. Ensuite, on trouve les logiciels applicatifs que vous utilisez sur votre ordinateur; la plupart d'entre eux sont aussi d'origine GNU. Les développeurs Debian agissent comme des architectes et des coordinateurs: ils organisent avec soin le système en ajustant l'ensemble dans un système d'exploitation cohérent et stable: Debian GNU-Linux.
La philosophie d'un système GNU-Linux est de répartir ses fonctionnalités en un ensemble de petites tâches élémentaires. De cette façon, il est aisé d'ajouter une nouvelle fonctionnalité en combinant les petits bouts de programmes de nouvelle façon. Debian est un jeu de construction: vous pouvez construire toutes sortes de choses avec.
Lorsque vous utilisez votre système d'exploitation, vous désirez
réduire la quantité de travail pour effectuer une tâche
donnée. Debian vous fournit quantité d'outils pour vous aider
mais seulement si vous connaissez ce que font ces outils. Perdre une heure
à faire fonctionner quelque chose pour l'abandonner ensuite n'est
pas très productif. Ce guide a pour but de vous apprendre ces outils
de base qui sont le coeur de Debian: quels outils utilisés dans
certains cas et comment les combiner.
Ce guide a pour but de vous apprendre ce que
sont et ce que font les outils de base constituant le coeur de Debian :
quels outils, dans quels cas et comment les combiner,.
Ces volontaires travaillent de concert en respectant un ensemble de
directives dans la façon d'assembler un sur
la technique de (mise en/construction de) paquet. Ces directives
sont développées en coopération sur Internet lors
de discussions dans des listes de diffusion.
Ceci veut donc dire que Debian possède des avantages que les précédents systèmes n'ont pas. Il autorise un nombre important de personnes à utiliser le système en même temps, tant que chaque utilisateur possède son propre terminal. [1] Pour autoriser de nombreux utilisateurs à travailler simultanément, Debian doit gérer de nombreux programmes et applications en même temps. Cette faculté s'appelle le multi-tâches.
Une grande partie de la puissance (et de la complexité) des systèmes
GNU-Linux proviennent provient de ces deux fonctionnalités.
Par exemple, le système doit avoir une solution pour empêcher
un utilisateur de détruire accidentellement les fichiers d'un autre
utilisateur. Le système d'exploitation doit aussi coordonner les
nombreux programmes tournant en même temps s'exécutant
simultanément et s'assurer qu'ils n'utilisent pas la même
ressource, comme le disque dur, ensemble.
Si vous gardez à l'esprit la raison pour laquelle Debian a été
créée, de nombreux nombre
de ses aspects vont alors avoir plus de sens. Vous apprendrez à
tirer parti de la puissance de ces fonctionnalités.
Il se peut que vous vous demandiez pourquoi certaines personnes prennent sur leur temps libre et passent des heures à écrire des logiciels et les empaqueter soigneusement juste pour les donner. Les réponses à cette question sont aussi variées que les contributeurs.
Beaucoup d'entre-eux croient au partage
de l'information et à la liberté de coopérer avec
quelqu'un d'autre et ils pensent que le logiciel libre encourage
cette pratique. Une Cette
longue tradition de mise en avant de ces valeurs, parfois appelée
l'Éthique du Hacker[4],
a commencé dans les années cinquante. Le Projet Debian GNU-Linux
a été fondé sur les bases de l'éthique de liberté
des logiciels libres, sur le partage et la coopération.
D'autres encore désirent apprendre
davantage sur les ordinateurs. De plus en plus de gens recherchent des
solutions pour éviter les prix sans cesse croissants
échapper à la hausse continuelle des
prix des logiciels propriétaires. C'est une communauté
grandissante d'utilisateurs qui ne cesse d'apprécier tous les logiciels
libres qu'elle a reçu d'autres personnes.
De nombreuses personnes dans les universités créent des logiciels libre pour favoriser la diffusion de leurs résultats de leur recherche dans des domaines non exploités. Certaines entreprises aident à maintenir certains logiciels libres et ont ainsi leur mot à dire dans la direction du développement - il n'y a pas de solutions plus rapide pour obtenir une nouvelle fonctionnalité que de l'implémenter vous-même ou d'embaucher un consultant pour le faire. Les entreprises sont aussi intéressées par la plus grande souplesse et la possibilité de choisir entre plusieurs vendeurs pour le (ou <<fournisseur de>>) support.
Quelques autres personnes D'autres encore voient les
logiciels libres comme un bienfait social
qui démocratise l'accès à l'information et prévient
préserve d'une centralisation excessive
de l'infrastructure de l'information mondial. Bien sûr, beaucoup
d'entre nous trouve cela tout simplement sympa.
Debian est tant à
ce point rattachée au logiciel libre que nous avons pensé
qu'il serait bien de tout formaliser dans un document. Notre Contrat
Social (http://www.debian.org/social_contract) nous promet que
Debian sera toujours composée à
100% de logiciels libres. Lorsque vous installez un paquet de la distribution
partie main de
la distribution Debian, vous pouvez être certain qu'il respecte
nos Directives du Logiciel Libre.
Bien que Debian croit aux logiciels libres, il y a des cas où certaines personnes désirent ajouter des logiciels propriétaires sur leurs machines. Dans la mesure du possible, Debian le supporte; bien que les logiciels propriétaires ne soient pas inclus dans la partie main de la distribution Debian, on peut parfois les trouver sur le site ftp dans le répertoire non free. Et il y a un nombre croissant de paquets dont le but unique est d'installer des logiciels propriétaires que nous ne sommes pas autorisés nous-mêmes à distribuer !
Il est important de bien distinguer les logiciels (dits)
commerciaux de ceux
des logiciel
(dits) propriétaires. Les logiciels propriétaires
ne sont pas des logiciels libres; les logiciels commerciaux sont des logiciels
vendus contre de l'argent. Debian autorise les logiciels commerciaux, mais
pas les propriétaires, à faire partie de la distribution
à être diffusés dans la partie
main de la distribution. Rappelez-vous bien que l'_expression_
logiciel
libre ne se rapporte pas au prix; il est parfaitement possible de vendre
un logiciel libre. Pour un peu plus de clarification sur la terminologie
employée, voir
http://www.fsf.org/philosophy/categories.html.
De façon générale, ce tutoriel essaie de vous aider à comprendre ce qui se passe à l'intérieur d'un système Debian. L'idée est de vous rendre apte à résoudre de nouveaux problèmes et de tirer le meilleur parti de votre ordinateur. Ainsi, vous rencontrerez plein de théories et de faits amusants dans les différents aspects des « How To[5] » de ce manuel. (Incompréhensible)
Nous aimerions recevoir vos commentaires sur ce livre ! Vous pouvez joindre les auteurs debian-guide_fr-1.0_chap1.sgmlà debian-guide@complete.org. Nous sommes tout particulièrement intéressés par le fait de savoir comment ce livre a pu vous aider et comment le rendre meilleur. Si vous avez des commentaires ou bien que vous pensez que ce livre est la meilleure chose depuis l'apparition du pain brioché, alors, s'il vous plaît, envoyez-nous un courriel.
N'envoyez pas s'il vous plaît de questions techniques concernant
Debian aux auteurs car il y a plein quantité
de forum pour cela. Allez au chapitre 17 pour obtenir de l'information
ou de l'aide. N'envoyez des courriels qu'au sujet du livre à proprement
parlé à l'adresse ci-dessus.
Debian n'est pas aussi intuitive que certains
autres systèmes d'exploitation. Il vous sera certainement nécessaire
de lire au moins quelques chapitres de ce livre. La puissance et la complexité
de GNU-Linux le rendent difficile au premier abord mais bien plus rentable
puissant et efficace par la suite.
Pour apprendre, nous vous suggérons de lire un petit peu, et
de jouer ensuite un petit peu. Continuez de bidouiller
tatonner jusqu'à ce que vous soyez
à l'aise avec les concepts, et alors ensuite
seulement poursuivez la lecture du livre. Vous trouverez une variété
diversité importante de sujets traités
parmi lesquels certains vous intéresseront. Après quelque
temps, vous serez assez confiant pour utiliser des commandes sans savoir
exactement ce qu'elles font. Ce sera une bonne chose. NON CE N'EST
PAS UNE BONNE CHOSE !! STUPIDITÉ DANS LE DOC ORIGINAL .....
Si jamais vous vous trompez en tapant une commande ou que ne savez pas
comment sortir d'un programme, appuyez sur CTRL-c (la touche Ctrl
et la lettre minuscule c doivent être pressées simultanément).
Cela stoppe la plupart du temps le programme.
Quand vous aurez à presser simultanément plusieurs touches, une notation comme CTRL-a sera utilisée. Cela signifie « pressez la touche Ctrl et pressez la touche de la lettre minuscule a ». Certains claviers ont à la fois la touche Alt et Meta; la plupart des ordinateurs n'ont que la touche Alt mais celle-ci va simuler le comportement de la touche Meta. Donc, si vous n'avez pas de touche Meta, utilisez la touche Alt à la place.
Les touches comme Alt et Meta sont appelées des
modificateur
parce qu'elles change modifient
le mécanisme des touches standard C'EST QUOI LES PAS STANDARD ??
comme la lettre A. Parfois, il est nécessaire d'avoir
recours à plusieurs modificateurs simultanément. Par exemple,
Meta-Ctrl-a signifie d'appuyer simultanément sur les touches
Meta, Ctrl et a minuscule.
(Probalement remplacer "mécanisme des
touches standard" par "mécanisme standard des touches")
Quelques touches ont une notation spéciale. Par exemple, Entrée (RET, la touche avec une flèche descendante et allant à gauche), Suppr (Suppr ou quelque fois le retour arrière (la touche avec une flèche vers la gauche)), Échap (Échappement ou Esc). Ces touches portent généralement un nom bien explicite.
Les espaces utilisés dans les expressions indiquent une frappe
séquentielle/distincte des touches signifient d'appuyer
sur les touches séquentiellement. Par exemple, CTRL-a
x RET signifie d'appuyer simultanément sur Ctrl et a,
puis sur la lettre x et enfin sur la touche Entrée.
Dans certaines sections, le texte en caractère gras servira
à marquer le texte de l'utilisateur, celui en italique des
commentaires sur un point donné de la partie et tout autre type
de texte servira au renvoi de la commande. Pour certaines commandes très
courtes, vous pourrez rencontrer un autre format, en surimpression avec
un espacement fixe.