Je trouve dommage que cette initiative fort intéressante reste cloisonnée au monde du logiciel libre et ne mette pas en avant d'autre mouvements alternatifs (coton biologique, commerce équitable, meilleurs conditions de travail des salariés, production locale, développement durable, travail d'insertion, le choix ne manque pas).
Financer le logiciel libre en vendant des produits issus de l'exploitation de la pauvreté et néfastes pour l'environnement (transport et produits phytosanitaires nécessaires à la culture du coton) me semble contradictoire.
Je pense que les paysans guatémaltèques se fichent pas mal du logiciel libre.