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[RFR] wml://{MailingLists/index,ports/hurd/hurd-install}.wml



Salut,

Une paire de minuscules mises à jour ont été réalisées sur le site, je
les soumet aux yeux avertis de la liste au cas où j'aurais introduit de
nouvelles fautes, par avance merci pour vos relectures.

Amicalement

David

Index: french/MailingLists/index.wml
===================================================================
RCS file: /cvsroot/webwml/webwml/french/MailingLists/index.wml,v
retrieving revision 1.26
retrieving revision 1.27
diff -u -r1.26 -r1.27
--- french/MailingLists/index.wml	21 Jan 2011 20:58:16 -0000	1.26
+++ french/MailingLists/index.wml	10 Mar 2011 16:08:51 -0000	1.27
@@ -1,5 +1,5 @@
 #use wml::debian::template title="Listes de diffusion"
-#use wml::debian::translation-check translation="1.44" maintainer="David Prévot"
+#use wml::debian::translation-check translation="1.45" maintainer="David Prévot"
 #use wml::debian::toc
 
 # Translators:
@@ -91,7 +91,7 @@
 Les listes peuvent être distribuées à d'autres endroits — veuillez vous
 assurer de ne pas envoyer de données confidentielles ou des données sans
 licence. Cela comprend des données comme les adresses électroniques. Veuillez
-noter en particulier qu'il est connu que des envois de courriels non
+noter en particulier qu'il est connu que des envois de courriers électroniques non
 sollicités, de virus, de vers, etc. utilisent de façon abusive les adresses
 postées sur nos listes de diffusion.
 </p>
@@ -321,8 +321,8 @@
 </p>
 
 
-<toc-add-entry name="ads">Politique Debian concernant la publicité sur les
-listes de diffusion</toc-add-entry>
+<toc-add-entry name="ads">Politique concernant la publicité sur les
+listes de diffusion Debian et lutte contre les indésirables</toc-add-entry>
 
 <p>
 L'envoi en masse de toute sorte de message électronique non sollicité (aussi
@@ -348,11 +348,13 @@
 <ul>
   <li>trouver une copie du message dans les <a href="http://lists.debian.org";>\
     archives des listes</a>, et nous envoyer le lien&nbsp;;</li>
-  <li>trouver une règle SpamAssassin ou une expression procmail qui permette de
+  <li>trouver une règle SpamAssassin qui permette de
     filtrer ce type de pourriel. Gardez à l'esprit que cette règle sera
     appliquée sur toutes les listes, et que nous voulons maintenir un taux
-    minimum de faux positifs&nbsp;;</li>
-  <li>envoyer un courriel à <email "report-listspam@lists.debian.org">
+    minimum de faux positifs (vous pouvez consulter notre <a 
+    href="http://svn.debian.org/viewsvn/pkg-listmaster/trunk/spamassassin_config/";>ensemble
+    de règles</a>) ;</li>
+  <li>envoyer un courrier électronique à <email "listmaster@lists.debian.org">
     contenant l'adresse exacte du message, et la règle de filtrage
     correspondante, si possible.</li>
 </ul>
@@ -373,7 +375,12 @@
 Ne permettez à aucun des messages que vous recevez d'une liste de diffusion
 Debian d'être envoyé à un système automatisé de signalement de pourriel. Cela
 est souvent mauvais pour tous les utilisateurs et nous forcera à vous empêcher
-de recevoir de courriel de toutes les listes Debian, tant que vous n'aurez pas
+de recevoir les messages de toutes les listes Debian, tant que vous n'aurez pas
 montré que vous ne le ferez plus.
 </p>
 
+<p>
+Plus d'efforts pour réduire les indésirables sur les listes et les <a 
+href="http://lists.debian.org/";>archives</a> sont disponibles sur le <a
+href="http://wiki.debian.org/Teams/ListMaster/ListArchiveSpam";>wiki</a>.
+</p>
Index: french/ports/hurd/hurd-install.wml
===================================================================
RCS file: /cvsroot/webwml/webwml/french/ports/hurd/hurd-install.wml,v
retrieving revision 1.37
retrieving revision 1.38
diff -u -r1.37 -r1.38
--- french/ports/hurd/hurd-install.wml	27 Feb 2011 12:16:42 -0000	1.37
+++ french/ports/hurd/hurd-install.wml	9 Mar 2011 02:16:40 -0000	1.38
@@ -1,6 +1,6 @@
 #use wml::debian::template title="Debian GNU/Hurd&nbsp;&ndash;&nbsp;Installation" NOHEADER="yes"
 #include "$(ENGLISHDIR)/ports/hurd/menu.inc"
-#use wml::debian::translation-check translation="1.78" maintainer="David Prévot"
+#use wml::debian::translation-check translation="1.79" maintainer="David Prévot"
 
 # Translators:
 # Jérome Abela, 1999.
@@ -720,5 +720,11 @@
 </p>
 
 <p>
-Enfin, lancez <code>startx</code>.
+Enfin, exécutez <code>startx</code>.
+</p>
+
+<h3>Derniers mots</h3>
+
+<p>
+Le <q>System V</q> rc n'est pas encore utilisé. Pour éteindre la machine utilisez simplement <code>halt</code> ou <code>reboot</code>.
 </p>
#use wml::debian::template title="Listes de diffusion"
#use wml::debian::translation-check translation="1.45" maintainer="David Prévot"
#use wml::debian::toc

# Translators:
# Christian Couder, 2001-2003, 2005
# Nicolas Bertolissio, 2003, 2007, 2008
# Simon Paillard, 2007, 2008
# David Prévot, 2011

<toc-display/>


<toc-add-entry name="intro">Introduction</toc-add-entry>

<p>
Le développement de Debian GNU/Linux est un processus mondial. C'est pourquoi,
le courrier électronique est le principal moyen de discuter des divers sujets.
La plupart des conversations entre les développeurs Debian et les utilisateurs
sont gérées par plusieurs <a
href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_diffusion";>listes de
diffusion</a>.
</p>

<p>
Il y a beaucoup de listes de diffusion d'accès libre, ce qui signifie que tout
le monde peut lire tout ce qui est posté, et participer aux discussions. Tout
le monde est encouragé à aider au développement de Debian et à faire de la
publicité pour le logiciel libre. Il y a aussi quelques listes qui sont
ouvertes uniquement aux développeurs Debian officiels&nbsp;; discuter de sujets
internes avec des non-développeurs n'a parfois pas de sens, merci donc de ne
pas l'interpréter comme du développement fermé.
</p>

<p>
Toutes les listes de diffusion Debian originales fonctionnent sur un serveur
dédié, utilisant un logiciel de gestion de courrier électronique automatique
appelé SmartList. Ce serveur est appelé <code><a
href="http://lists.debian.org/";>lists.debian.org</a></code>. Tous les messages
de requête, d'abonnement et de désabonnement doivent être envoyés à une adresse
particulière de cet hôte.
</p>


<toc-add-entry name="basics">Utilisation de base</toc-add-entry>

<p>
Chaque liste de diffusion Debian a une adresse de la forme
<kbd><var>NomDeLaListe</var>@lists.debian.org</kbd>, une adresse pour les
requêtes de contrôle de la forme
<kbd><var>NomDeLaListe</var>-request@lists.debian.org</kbd>, et une page web à
<kbd>http://lists.debian.org/<var>NomDeLaListe</var>/</kbd>.
</p>

<p>
Pour envoyer un message à une liste, envoyez-le simplement à son adresse. Pour
vous abonner à une liste afin de pouvoir lire les messages arrivant sur la
liste, ou pour vous désabonner d'une liste, utilisez l'adresse des requêtes de
contrôle (<a href="#subunsub">voir ci-dessous</a>).
</p>

<p>
La liste actuelle des listes de diffusion disponibles est à <url
"http://lists.debian.org/";>, présentée sous une forme triée par sujet et sous
une forme non triée.
</p>


<toc-add-entry name="disclaimer">Avertissement / Charte de respect de la vie privée / Informations légales</toc-add-entry>

<p>
Les listes de diffusions sont des <strong>forums publics</strong>.
</p>

<p>
Tous les messages envoyés aux listes sont distribués à la fois aux abonnés et
copiés dans l'<a href="http://lists.debian.org/";>archive publique</a>, afin que
les gens puissent y naviguer ou y <a
href="http://lists.debian.org/search.html";>faire des recherches</a> sans avoir
besoin de s'y abonner.
</p>

<p>
De plus, vous pouvez naviguer sur nos listes de discussion en tant que groupes
de nouvelles en utilisant une interface web, comme <a
href="http://groups.google.com/";>Google</a> ou <a
href="http://gmane.org/";>Gmane</a>.
</p>

<p>
Les listes peuvent être distribuées à d'autres endroits &mdash; veuillez vous
assurer de ne pas envoyer de données confidentielles ou des données sans
licence. Cela comprend des données comme les adresses électroniques. Veuillez
noter en particulier qu'il est connu que des envois de courriers électroniques non
sollicités, de virus, de vers, etc. utilisent de façon abusive les adresses
postées sur nos listes de diffusion.
</p>

<p>
Debian maintient en bonne foi les listes de diffusion et prendra les mesures
nécessaires pour minimiser tout abus notable et pour maintenir un service
normal sans interruption. Cela dit, Debian n'est pas responsable des messages
postés sur les listes de diffusion ou de ce qui pourrait survenir suite à leur
utilisation.
</p>

<p>
Veuillez vous reporter à notre <a href="disclaimer">décharge de
responsabilité</a> pour de plus amples informations.
</p>



<p>
Nous maintenons aussi des <a href="http://lists.debian.org/stats/";>statistiques
d'utilisation</a> pour les listes de diffusion&nbsp;: vérifiez le nombre moyen
de messages avant de vous inscrire à une liste afin de ne pas être noyé sous
les messages.
</p>


<toc-add-entry name="subunsub">Abonnement / Désabonnement</toc-add-entry>

<p>
N'importe qui a le droit de s'abonner/se désabonner lui-même à n'importe quelle
liste de diffusion, si la politique d'abonnement à la liste est <q>ouverte</q>
(<i>open</i>).
</p>

<p>
Vous pouvez utiliser de simples formulaires web pour vous abonner ou vous
désabonner de chaque liste individuellement, disponibles sur leurs pages web
respectives à <url "http://lists.debian.org/";>.
</p>

<p>
Pour vous abonner ou vous désabonner à plusieurs listes de diffusion à la fois,
utilisez les formulaires web d'<a href="subscribe">abonnement</a> ou de <a
href="unsubscribe">désabonnement</a>, respectivement. La première de ces pages
contient aussi pour chaque liste une description et la politique d'abonnement.
</p>

<p>
Les requêtes pour s'abonner ou se désabonner peuvent aussi être envoyées par
courrier électronique, à une adresse spéciale de contrôle, qui est légèrement
différente de l'adresse des listes. <strong>Les messages d'abonnement et de
désabonnement ne doivent PAS être envoyés à l'adresse de la liste
elle-même.</strong>
</p>

<p>
Pour vous abonner ou vous désabonner à une liste de diffusion, merci d'envoyer
un message à 
</p>

<p>
<var>&lt;nom_de_la_liste&gt;</var>-REQUEST@lists.debian.org
</p>

<p>
avec le mot <q>subscribe</q> (abonnement) ou <q>unsubscribe</q> (désabonnement)
comme objet.
</p>

<p>
<strong>Merci de penser à la partie <q>-REQUEST</q> de l'adresse.</strong>
</p>

<p>
Lors du processus d'abonnement, le logiciel gérant les listes vous enverra un
message auquel vous devrez répondre de façon à confirmer l'abonnement. C'est
une mesure de sécurité pour empêcher des gens d'abonner d'autres personnes à
leur insu.
</p>


<h3><a name="subglitches">Problèmes fréquents au cours du processus
d'abonnement (ou de désabonnement)</a></h3>

<p>
Merci de vous souvenir du fait qu'<strong>une demande de désabonnement doit
être envoyée depuis l'adresse qui est abonnée</strong>. Si ce n'est pas
possible, l'en-tête «&nbsp;Subject:&nbsp;» du message de désabonnement doit
être&nbsp;: <code>unsubscribe
<var>adresseabonnee@domaine.abonnement</var></code>.
</p>

<p>
Si vous recevez des messages d'une liste de diffusion, mais n'arrivez pas à
trouver l'adresse avec laquelle vous êtes abonné, vous pouvez utiliser les
en-têtes complets des messages que vous recevez et qui comportent quelque chose
comme&nbsp;:
</p>

<pre>
  From bounce-debian-machin=quux=exemple.com@lists.debian.org  Tue Apr 22 01:38:14 2003
</pre>

<p>
Cela vous indique de façon sûre que la liste en question est
<code>debian-machin</code> et que l'adresse d'abonnement est
<code>quux@exemple.com</code>. Dans ce cas (fictif), vous devrez alors envoyer
un courrier électronique à <kbd>debian-machin-request@lists.debian.org</kbd>
avec <kbd>unsubscribe quux@exemple.com</kbd> comme sujet.
</p>

<p>
Malheureusement il est pour l'instant impossible de s'abonner avec un nom
d'utilisateur que procmail pourrait prendre comme celui d'un démon. Ceci
signifie qu'un nom d'utilisateur ne peut pas contenir des chaînes de
caractères comme «&nbsp;mail&nbsp;», «&nbsp;admin&nbsp;», «&nbsp;root&nbsp;»,
«&nbsp;master&nbsp;» (cherchez «&nbsp;FROM_DAEMON&nbsp;» dans
<kbd>procmailrc(5)</kbd>).
</p>

<p>
Une autre limitation de notre logiciel de gestion de listes de diffusion est
que la plupart des messages rejetés sont perdus silencieusement, l'utilisateur
n'a donc pas d'indication sur ce qui s'est mal passé. Par exemple, il est
fréquent pour les gens de tenter d'abonner une adresse qui est déjà
abonnée&nbsp;: SmartList ignorera simplement leur message.
</p>

<p>
Si vous n'êtes pas sûr d'être inscrit à l'une de nos listes de diffusion,
envoyez un message à <email majordomo@lists.debian.org> avec <kbd>which
<var>votre.adresse@electronique</var></kbd> dans le corps. Des informations
supplémentaires sur ce service (le dénommé <q><a
href="http://www.infodrom.org/projects/majorsmart/";>MajorSmart</a></q>) sont
disponibles en envoyant un autre message à la même adresse avec <kbd>help</kbd>
dans le corps du message.
</p>


<toc-add-entry name="codeofconduct">Code de conduite</toc-add-entry>

<p>
Quand vous utilisez les listes de diffusion Debian, merci de suivre les règles
suivantes&nbsp;:
</p>

<ul>
  <li>
    Les listes de diffusion existent pour promouvoir
    le développement et l'utilisation de Debian.

    Veuillez vous abstenir d'envoyer des
    messages non constructifs ou hors-sujet.
  </li>
  <li>n'envoyez pas de <em><a
    href="http://foldoc.org/spam";>\
    pourriel</a></em>&nbsp;; voyez la <a href="#ads">politique concernant la
    publicité</a> ci-dessous&nbsp;;</li>
  <li>envoyez tous vos messages en anglais. N'utilisez une autre langue que sur
    les listes de diffusion où c'est explicitement permis (par exemple le
    français sur debian-user-french)&nbsp;;</li>
  <li>faites attention à bien utiliser la liste appropriée. En particulier,
    n'envoyez pas de questions concernant l'utilisation sur des listes de
    développement&nbsp;;</li>
  <li>formatez vos lignes à 80&nbsp;caractères au maximum par ligne pour la
    conversation courante. Les lignes de plus de 80&nbsp;caractères sont
    tolérées pour du contenu généré par ordinateur (par exemple, <kbd>ls
    -l</kbd>)&nbsp;;</li>
  <li>n'envoyez pas de message automatique du type <q>absent du travail</q> ou
    <q>en vacance</q>&nbsp;;</li>
  <li>n'envoyez pas de message de test pour déterminer si votre client de
    messagerie fonctionne&nbsp;;</li>
  <li>n'envoyez pas de demande d'abonnement ou de désabonnement à l'adresse de
    la liste elle même&nbsp;; utilisez les adresses <tt>-request</tt>
    correspondantes à la place&nbsp;;</li>
  <li>n'envoyez jamais vos messages au format HTML&nbsp;; utilisez à la place
    le format texte pur&nbsp;;</li>
  <li>évitez d'envoyer de gros fichiers attachés&nbsp;;</li>
  <li>ne citez pas de messages qui vous ont été envoyés par quelqu'un en privé,
    à moins d'avoir obtenu son accord avant&nbsp;;</li>
  <li>quand vous répondez à un message sur la liste de diffusion, n'envoyez pas
    de copie (CC) à l'auteur du message original sauf s'il l'a expressément
    demandé&nbsp;;</li>
  <li>si vous voulez vous plaindre de quelqu'un qui vous a envoyé une copie
    alors que vous ne l'aviez pas demandé, faites-le en privé.</li>
  <li>si vous envoyez des messages à des listes auxquelles vous n'êtes pas
    abonné, indiquez toujours cela dans le corps de votre message&nbsp;;</li>
  <li>n'utilisez pas un langage trop familier&nbsp;; en particulier, certaines
    personnes reçoivent les listes par paquets radio, où jurer est
    illégal&nbsp;;</li>
  <li>essayez de ne pas <em><a
    href="http://foldoc.org/flame";>\
    flammer</a></em>&nbsp;; ce n'est pas poli&nbsp;</li>
  <li>utilisez votre bon sens.</li>
</ul>


<toc-add-entry name="maintenance">Maintenance des listes</toc-add-entry>

<p>
Si vous souhaitez demander une nouvelle liste de diffusion, merci de lire le <a
href="HOWTO_start_list">guide</a>.
</p>

<p>
Si vous avez des problèmes pour vous abonner ou vous désabonner, merci de
vérifier que vous avez <a href="#subunsub">suivi la procédure qui convient</a>
<strong>avant</strong> d'essayer de nous contacter. Vérifiez aussi que vous
avez lu les <a href="#subglitches">problèmes concernant l'abonnement ou le
désabonnement</a>.
</p>

<p>
Pour contacter le responsable des listes, envoyez un message <strong>en
anglais</strong> à <email "listmaster@lists.debian.org">.
<br />
Ou alors, <a href="$(HOME)/Bugs/Reporting">remplissez un rapport de bogue</a>
contre le pseudo-paquet <a href="http://bugs.debian.org/lists.debian.org";>\
lists.debian.org</a>.
</p>

<p>
Si vous n'avez pas réussi à vous désabonner d'une liste de diffusion, merci
d'inclure une copie de tous les en-têtes d'un message que vous avez reçus de
cette liste à votre adresse.
</p>


<toc-add-entry name="ads">Politique concernant la publicité sur les
listes de diffusion Debian et lutte contre les indésirables</toc-add-entry>

<p>
L'envoi en masse de toute sorte de message électronique non sollicité (aussi
appelé <q>pourriel</q>) à n'importe quelle liste Debian est interdit. Ceux qui
envoient de tels messages peuvent être empêchés de poster sur les listes et/ou
dénoncés aux autorités compétentes.
</p>

<p>
Les responsables des listes de Debian font de leur mieux pour arrêter autant
que possible de tels messages. Typiquement plus de 40&nbsp;000&nbsp;messages de
ce type par jour sont arrêtés.
</p>

<p>
De nombreuses règles que nous utilisons pour arrêter les pollueurs et leurs
messages nous ont été fournies par des abonnés. Si vous souhaitez nous aider à
réduire encore plus le niveau de pourriel, votre aide sera très appréciée.
<br />
Pour signaler du pourriel correctement, vous devez faire ce qui suit&nbsp;:
</p>

<ul>
  <li>trouver une copie du message dans les <a href="http://lists.debian.org";>\
    archives des listes</a>, et nous envoyer le lien&nbsp;;</li>
  <li>trouver une règle SpamAssassin qui permette de
    filtrer ce type de pourriel. Gardez à l'esprit que cette règle sera
    appliquée sur toutes les listes, et que nous voulons maintenir un taux
    minimum de faux positifs (vous pouvez consulter notre <a 
    href="http://svn.debian.org/viewsvn/pkg-listmaster/trunk/spamassassin_config/";>ensemble
    de règles</a>) ;</li>
  <li>envoyer un courrier électronique à <email "listmaster@lists.debian.org">
    contenant l'adresse exacte du message, et la règle de filtrage
    correspondante, si possible.</li>
</ul>

<p>
Vous aurez une réponse quand nous traiterons votre envoi.
<br />
Veuillez garder à l'esprit que nous n'agissons que sur les pourriels reportés
et les correspondances qui ont été envoyés dans les dernières heures, car il
est inutile d'avoir des règles de filtrage obsolètes.
<br />
Aussi, veuillez ne pas envoyer de listes pré-empaquetées de règles que vous
auriez trouvées quelque part. Elles ne fournissent que très rarement de bons
résultats sur nos listes, car elles reçoivent un trafic assez unique.
</p>

<p>
Ne permettez à aucun des messages que vous recevez d'une liste de diffusion
Debian d'être envoyé à un système automatisé de signalement de pourriel. Cela
est souvent mauvais pour tous les utilisateurs et nous forcera à vous empêcher
de recevoir les messages de toutes les listes Debian, tant que vous n'aurez pas
montré que vous ne le ferez plus.
</p>

<p>
Plus d'efforts pour réduire les indésirables sur les listes et les <a 
href="http://lists.debian.org/";>archives</a> sont disponibles sur le <a
href="http://wiki.debian.org/Teams/ListMaster/ListArchiveSpam";>wiki</a>.
</p>
#use wml::debian::template title="Debian GNU/Hurd&nbsp;&ndash;&nbsp;Installation" NOHEADER="yes"
#include "$(ENGLISHDIR)/ports/hurd/menu.inc"
#use wml::debian::translation-check translation="1.79" maintainer="David Prévot"

# Translators:
# Jérome Abela, 1999.
# Thomas Marteau, 2002.
# Mohammed Adnène Trojette, 2005.
# Nicolas Bertolissio, 2007, 2008.
# David Prévot, 2010, 2011.

<h1>Installation non automatique de Debian&nbsp;GNU/Hurd</h1>

<p>
Ce document vise à fournir un jeu d'instructions facile et relativement peu
fastidieux sur la façon d'obtenir et de faire fonctionner Debian&nbsp;GNU/Hurd
non automatiquement avec un minimum d'efforts.

Remarquez que l'installateur Debian est dorénavant
fonctionnel,
consultez les <a href="hurd-cd">images de CD préparées</a>.

Les étapes suivantes sont ensuite nécessaires pour une configuration adéquate.
</p>

<p>
Il est basé sur le <q>Guide d'installation du Hurd</q> de Neal H. Walfield.
Merci beaucoup à Neal pour sa contribution.
</p>

#<p>
#Veuillez noter que quelques points de ce manuel sont peu commodes parce qu'ils
#prennent beaucoup de temps et peuvent causer des problèmes. Vous préférerez
#peut-être l'installation à l'aide d'<a href="hurd-cd">images de CD
#préparées</a>, particulièrement si vous êtes débutant. Même s'ils sont périmés,
#normalement, ils fonctionnent. Vous pouvez toujours obtenir des mises à jour
#depuis les dépôts mis en ligne.
#</p>

<h2>Vue d'ensemble</h2>

#<p>
#La distribution Debian&nbsp;GNU/Hurd, contrairement à des distributions
#d'autres systèmes d'exploitation, n'a pas de joli programme d'installation. Un
#jour il y en aura un, et vous aiderez peut-être à sa conception et à son
#implantation. Toutefois, en attendant ce jour, installer Debian&nbsp;GNU/Hurd
#requiert un autre système d'exploitation, plus spécifiquement un autre système
#de type Unix. Des utilisateurs ont indiqué avoir réussi des installations en
#utilisant aussi bien différentes versions de GNU/Linux que des BSD. Le minimum
#requis sur le système d'exploitation d'amorçage est la capacité&nbsp;: de créer
#des systèmes de fichiers ext2, d'y extraire une archive tar, d'installer
#GNU&nbsp;Grub.
#</p>

<p>
GNU est de nature similaire à n'importe quel système de type Unix&nbsp;: après
s'être identifié, un interpréteur de commandes et le système de fichiers
virtuel (VFS) Unix familier sont présentés à l'utilisateur. Malgré les
tentatives de GNU d'être conforme à POSIX, ce <q>n'est pas Unix</q> (<i>GNU is
Not Unix</i>). GNU/Hurd est basé sur plusieurs concepts Unix et les étend soit
en ajoutant de nouvelles fonctionnalités, soit en réparant ce qui a été perçu
comme des failles dans la conception originelle. La différence la plus
remarquable est l'existence des traducteurs, programmes de l'espace utilisateur
qui interagissent avec le VFS. Ces systèmes de fichiers n'ont besoin d'accéder
qu'au périphérique de stockage et au <code>point de montage</code>. Une autre
différence réside dans le fait que les processus, plutôt que d'avoir l'identité
d'un utilisateur unique donné au moment de la création, peuvent avoir des
identités disjointes du processus, c'est-à-dire qu'ils peuvent être ajoutés
avec la permission appropriée par une autorité, ou être détruits.
</p>

<p>
�tre familiarisé avec l'environnement Unix (et en particulier l'espace
utilisateur GNU, que l'on trouve dans des variantes populaires telles que
GNU/Linux) est un impératif pour se sentir à l'aise avec GNU. Avoir de
l'expérience avec les outils Debian sera un atout inestimable pour la
configuration et la maintenance d'une machine sous GNU/Hurd.
</p>

<p>
Ce guide s'efforce de rendre l'installation de GNU/Hurd aussi facile que
possible. S'il s'y trouve des erreurs, ce sont probablement des erreurs de
l'auteur. Veuillez les lui rapporter, ainsi que d'autres suggestions ou
critiques&nbsp;; toutes seront acceptées avec plaisir.
</p>

#<h2>2. �tat réel ou trouver un foyer</h2>
#
#<p>
#Si vous n'avez pas de partition disponible ni de disque dur supplémentaire,
#c'est peut-être l'étape la plus longue. Dans ce cas, vous devrez repartitionner
#le disque dur. Une solution est d'utiliser l'éditeur de partition de GNU, <a
#href="http://packages.debian.org/parted";>Parted</a>. Il permet non seulement
#l'édition basique de partitions, mais aussi le redimensionnement de partitions
#et leur déplacement. Son manuel est assez complet et inclut plusieurs
#didacticiels.
#
#  Remarquez que le type de partition <code>63 GNU HURD or
#  SysV</code> existe également, il ne devrait pas être utilisé
#  sinon le CD d'installation ne trouvera pas la partition.
#
#  Utilisez simplement <code>83 Linux</code>.
#</p>
#
#<p>
#Le Hurd prend en charge plusieurs extensions au format du système de fichiers
#ext2fs. Les principales d'entre elles sont les traducteurs passifs et une
#quatrième série de bits de permissions pour les utilisateurs inconnus
#(utilisateurs sans identité et non l'utilisateur <q>autre</q> des permissions
#Unix classiques). Pour utiliser ces extensions, le propriétaire de la
#partition doit être <code>hurd</code>. <code>mke2fs</code>, sauf
#mention contraire spécifiée en ligne de commande, le noyau lancé sera le
#propriétaire de la partition. Comme le Hurd respecte ce paramètre, il faut
#faire attention à le configurer de manière appropriée, sinon le Hurd échouera
#de manière subtile. Soyez conscient que même si un système de fichiers
#appartient à un noyau donné, les autres peuvent quand même l'utiliser&nbsp;;
#ils ne peuvent seulement pas utiliser certaines extensions.
#</p>
#
#<p>
#Pour créer un système de fichiers, utilisez <code>mke2fs</code> et passez-lui
#les options <var>-b 4096 -I 128 -o hurd</var> afin de désigner le Hurd comme
#propriétaire du nouveau système de fichiers. Par exemple, si la partition est
#<tt>/dev/hda1</tt>&nbsp;:
#</p>
#
#<table><tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
# \# mke2fs -b 4096 -I 128 -o hurd /dev/hda1
#</pre></td></tr></table>
#
#
#<h2>3. Le chargeur d'amorçage</h2>
#
#<p>
#Le chargeur d'amorçage du système GNU est Grub (le <i>GRand Unified Boot
#loader</i>), et sa tâche principale est de charger le cÅ?ur du système GNU (Mach
#et le Hurd). Tout chargeur d'amorçage qui gère le standard d'amorçage multiple
#pourra cependant charger Mach et le Hurd. En ce moment (à notre connaissance),
#GNU&nbsp;Grub est le seul chargeur d'amorçage qui gère ce standard.
#</p>
#
#<p>
#Un mot sur Grub. Contrairement aux chargeurs d'amorçage sur x86, comme LILO,
#Grub est très puissant. Il a une interface en ligne de commande, bootp, la
#gestion de terminal factice et pléthore d'autres fonctionnalités. De plus, il
#peut amorcer pratiquement n'importe quel noyau. Si vous avez déjà amorcé une
#machine alpha ou sparc, vous comprendrez ce que Grub peut faire. Par
#conséquent, n'ayez pas peur&nbsp;: Grub est mieux. Vous l'aimerez. Vous ne
#changerez pas d'avis.
#</p>
#
#<p>
#Il est probablement mieux d'installer <a
#href="http://packages.debian.org/grub2";>le Grub</a> avant le Hurd, mais vous
#pourrez toujours l'installer sur votre disque dur plus tard.
#</p>
#
#
#<h2>4. Installation croisée</h2>
#
#<p>
#
#L'étape suivante est d'obtenir un système de base. Il existe plusieurs
#possibilités&nbsp;: si vous utilisez un système Debian, vous pouvez utiliser le
#paquet crosshurd. Sinon, vous pouvez obtenir une archive de système de base à
#jour depuis l'un des miroirs listés à
#<url "http://wiki.debian.org/DebianPorts/Mirrors"; />.
#</p>
#
#<p>
#L'archive est configurée pour tout extraire vers le répertoire courant. Une
#fois le système de fichiers monté, l'archive peut être extraite. En supposant
#que le système de fichiers est sur <tt>/dev/hda2</tt>, que le point de montage
#est <tt>/gnu</tt> et que l'archive est dans le répertoire personnel de
#l'utilisateur courant, il est nécessaire de faire comme suit&nbsp;:
#</p>
#
#<table><tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
# \# mount -t ext2 /dev/hda2 /gnu
# \# cd /gnu
# \# tar --same-owner -xvjpf ~/gnu.tar.bz2
#</pre></td></tr></table>
#
#
#<h2>5. Amorçage du GNU/Hurd</h2>
#
#<p>
#Tout est maintenant prêt pour amorcer GNU/Hurd pour la première fois.
#
#  Remarquez que suivant la version de GRUB, de petits détails vont changer.
#
#  Veuillez vous assurez que vous utilisez soit GRUB 1
#  (alias « legacy », alias 0.95 et jusqu'à 0.97),
#  soit GRUB 2 (alias 1.95 et ultérieur).
#
#  Les exemples suivants sont fournis pour les deux
#  versions, assurez-vous de prendre les bons.
#</p>
#
#<p>
#  Veuillez également remarquer que certains problèmes ont été signalés
#  lors de démarrage avec seulement 128 Mo de mémoire, parce que
#  l'espace d'échange n'est pas encore configuré à ce niveau.
#
#  Assurez-vous de fournir au moins 256 Mo de mémoire.
#</p>
#
#<p>
#  Si GRUB est déjà installé sur votre système, redémarrez-le simplement.
#
#  Sinon, vous devez utiliser un disque d'amorçage de GRUB.
#
#  Les paquets Debian grub-disk (GRUB 1) ou grub-rescue-pc
#  (GRUB 2) fournissent des images de CD et de disquette.
#
#   Après
#avoir vérifié que le disque d'amorçage de Grub est dans le lecteur, réamorcez.
#Si tout se passe bien, soit un menu Grub, soit une ligne de commande sera
#affiché.
#
#  Si le menu a une entrée <tt><q>GNU/Hurd</q></tt>
#  vous pourrez sans doute la réutiliser pour vous
#  éviter un lourd fardeau de frappe au clavier.
#
#  Pour l'instant, si c'est un menu qui apparaît,
#  veuillez appuyer sur <kbd>c</kbd> pour
#aller sur la ligne de commande.
#</p>
#
#<p>
#D'abord, GNU&nbsp;Mach devra être chargé. Il faudra connaître le système de
#fichiers et le chemin vers GNU&nbsp;Mach. Grub utilise une nomenclature de
#partitions un peu différente de Linux comme du Hurd&nbsp;: IDE et SCSI
#sont tous les deux nommés <tt>(hdN,M)</tt>. <code>N</code> est le numéro de
#lecteur (commence à zéro) tel qu'énuméré par le BIOS. Cela étant fait,
#Grub ne fait aucune distinction entre les disques IDE et SCSI. <code>M</code>
#identifie la partition sur le lecteur.
#
#  Il est indexé à partir de zéro dans GRUB 1 mais à partir de un dans GRUB 2. 
#
#  Si
#cela vous semble confus, relaxez-vous&nbsp;: Grub va vous aider.
#</p>
#
#<p>
#Pour déterminer le système de fichiers sur lequel un fichier en particulier se
#trouve, Grub fournit la commande <code>find</code>. Quand cette commande est
#lancée avec un nom de fichier donné, Grub recherche sur chaque système de
#fichiers le fichier spécifié et affiche l'endroit où il a été trouvé. Par
#exemple, pour chercher le noyau, <tt>/boot/gnumach.gz</tt>&nbsp;:
#</p>
#
#<table>
#<tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
#   grub1&#62; find /boot/gnumach.gz
#   (hd0,0)
#</pre></td></tr>
#<tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
#   grub2&#62; search -f /boot/gnumach.gz
#   (hd0,1)
#</pre></td></tr>
#</table>
#
#<p>
#  GRUB 1 indique ici que <tt>/boot/gnumach.gz</tt> est sur <tt>(hd0,0)</tt>
#  et GRUB 2 sur <tt><q>(hd0,1)</q></tt> (rappelez-vous la différence de
#  numérotation des partitions entre GRUB 1 et GRUB 2).
#
#  Pour vous éviter de nombreuses frappes au clavier,
#  configurez la racine de GRUB à cette valeur :
#</p>
#
#<table>
#<tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
#   grub1&#62; root (hd0,0)
#</pre></td></tr>
#<tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
#   grub2&#62; set root=(hd0,1)
#</pre></td></tr>
#</table>
#
#<p>
#Avant d'amorcer le noyau, une option au moins, la partition racine, doit être
#indiquée sur la ligne de commande. Elle sera utilisée par le Hurd lui-même
#(c'est-à-dire pas par Grub). Elle doit donc être formulée en termes que le Hurd
#pourra comprendre.
#</p>
#
#<p>
#GNU&nbsp;Mach énumère les disques à partir de zéro. Les lecteurs IDE sont
#préfixés par <code>hd</code>, tandis que les disques SCSI sont préfixés par
#<code>sd</code>. Comme sur Linux, les lecteurs sont numérotés selon leur
#position sur le contrôleur. Par exemple, le maître primaire est
#<code>hd0</code> et l'esclave secondaire est <code>hd3</code>. Les partitions
#utilisent la convention de nommage de tranches de BSD et ajoutent un
#<code>sM</code> au nom de lecteur afin d'indiquer une partition. Veuillez noter
#que <code>M</code> est indexé à partir de un, et non de zéro. Le numéro de
#tranche est facile à calculer&nbsp;:
#  si vous utilisez GRUB 2, reprenez simplement le même index,
#  si vous utilisez GRUB 1, il suffit d'incrémenter celui
#  qu'utilise GRUB 1 d'une unité.
#</p>
#
#<p>
#Comme le Hurd n'a pas encore été configuré, il doit être lancé en mode
#<q>utilisateur unique</q>. Ajouter <var>-s</var> à la ligne de commande du
#noyau est tout ce qu'il y a à faire.
#</p>
#
#<p>
#  Pour résumer, en supposant que le premier lecteur (à savoir <tt>(hd0)</tt>)
#  soit le maître sur le contrôleur maître, nous aurions :
#</p>
#
#<table>
#<tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
#   grub1&#62; kernel /boot/gnumach.gz root=device:hd0s1 -s
#   [Multiboot-elf, ...]
#</pre></td></tr>
#<tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
#   grub2&#62; multiboot /boot/gnumach.gz root=device:hd0s1 -s
#</pre></td></tr>
#</table>
#
#<p>
#Ensuite, le serveur du système de fichiers racine et le serveur
#<code>exec</code> doivent être chargés. Cela est fait par le biais des
#capacités d'amorçage de module de Grub. Les ${var} sont remplies par
#GNU&nbsp;Mach. Les paramètres utilisés par le Hurd indiquent le type
#d'information fournie. Comme la ligne de commande ext2fs est très longue, elle
#peut être rallongée par des sauts de ligne protégés à la manière d'une ligne de
#commande Unix. Veillez à ce qu'il n'y ait pas d'espace après l'antislash en fin
#de ligne. Veillez aussi à distinguer <kbd>{</kbd> et <kbd>}</kbd> de
#<kbd>(</kbd> et <kbd>)</kbd>.
#
#  Souvenez-vous de la différence subtile entre GRUB 1 et GRUB 2 :
#  GRUB 2 a besoin que le nom de fichier soit répété
#  et des guillemets doivent être utilisées.
#
#  Remarquez qu'à cette étape, l'option <var>--readonly</var> de
#  <code>ext2fs.static</code> ne doit pas être passée.
#</p>
#
#<table>
#<tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
#  grub1&#62; module /hurd/ext2fs.static \
#   --multiboot-command-line=${kernel-command-line} \
#   --host-priv-port=${host-port} \
#   --device-master-port=${device-port} \
#   --exec-server-task=${exec-task} -T typed ${root} \
#   $(task-create) $(task-resume)
#    [Multiboot-module  0x1c4000, 0x2cfe6a bytes]
#  grub1&#62; module /lib/ld.so.1 /hurd/exec $(exec-task=task-create)
#    [Multiboot-module  0x494000, 0x27afe bytes]
#</pre></td></tr>
#<tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
#  grub2&#62; module /hurd/ext2fs.static ext2fs \
#   --multiboot-command-line='${kernel-command-line}' \
#   --host-priv-port='${host-port}' \
#   --device-master-port='${device-port}' \
#   --exec-server-task='${exec-task}' -T typed '${root}' \
#   '$(task-create)' '$(task-resume)'
#  grub2&#62; module /lib/ld.so.1 exec /hurd/exec '$(exec-task=task-create)'
#</pre></td></tr>
#</table>
#
#<p>
#  Sinon, ces lignes peuvent être insérées dans un fichier de configuration
#  <tt><q>menu.lst</q></tt> (GRUB 1) ou <tt><q>grub.cfg</q></tt> (GRUB 2)
#  dans la partition, et le charger en utilisant
#  <tt><q>configfile /chemin/vers/menu.lst</q></tt> (GRUB 1) ou
#  <tt><q>configfile /chemin/vers/grub.cfg</q></tt> (GRUB 2)
#  depuis l'invite de commande de GRUB.
#
#  Vous pouvez aussi tout à fait installer GRUB dans
#  une table de partitions et le faire pointer dessus.
#</p>
#
#<p>
#GNU/Hurd peut maintenant être amorcé&nbsp;:
#</p>
#
#<table><tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
#grub&#62; boot
#</pre></td></tr></table>
#
#<p>
#Si GNU/Hurd ne parvient pas à s'amorcer, cela peut être dû à des interruptions
#partagées&nbsp;: GNU&nbsp;Mach ne se sert pas très bien de celles-ci. Vous
#pouvez vérifier votre situation en regardant, par exemple, le fichier
#<tt>/proc/interrupts</tt> sous GNU/Linux. Aussi, comme GNU&nbsp;Mach ne gère
#pas les modules chargeables du noyau, de nombreux pilotes sont compilés dans le
#noyau par défaut. S'il y a d'anciens périphériques, cela peut être un
#problème&nbsp;: un périphérique pourra répondre incorrectement à une requête
#faite à un périphérique qui n'a rien à voir et ainsi entraîner un arrêt
#inopiné. Construire un nouveau noyau seulement avec les pilotes des
#périphériques requis résoudra normalement ce problème. GNU&nbsp;Mach peut être
#facilement compilé de manière croisée. Si vous utilisez Debian, installez le
#paquet <tt>mig</tt> et votre <tt>gcc</tt> standard devrait fonctionner.
#</p>
#
#<p>
#Si cela ne vous aide pas, veuillez demander sur la liste de diffusion
#appropriée.
#</p>
#
#
#<h2>6. Installation native</h2>
#
#<p>
#Une fois qu'une invite d'interpréteur de commandes vous est affichée, et quand
#le Hurd est en mode utilisateur unique, il est nécessaire de déterminer le type
#de terminal&nbsp;:
#</p>
#
#<table><tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
# \# export TERM=mach
#</pre></td></tr></table>
#
#<p>
#Attention&nbsp;: <kbd>CONTROL-C</kbd> et compagnie ne marcheront pas en mode
#utilisateur unique.
#</p>
#
#<p>
#Nous pouvons maintenant lancer le script <code>native-install</code>. Cela
#configurera les paquets et installera les traducteurs importants&nbsp;:
#</p>
#
#<table><tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
# \# ./native-install
#</pre></td></tr></table>
#
#<p>
#  Avant la fin de l'exécution du script, celui-ci indiquera que vous
#  pouvez maintenant redémarrer et entrer en mode multiutilisateur.
#
#  Faites-le, et bienvenue sous le Hurd !
#</p>


<h2>Configuration</h2>


<h3>Le réseau</h3>

<p>
D'abord, assurez-vous que la carte réseau est reconnue par GNU Mach :
</p>

<table><tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
 \# devprobe eth0
 eth0
</pre></td></tr></table>

<p>
Si <code>devprobe eth0</code> ne renvoie pas <code>eth0</code>, le noyau
n'a pas détecté la carte réseau et vous devez essayer une autre carte.

Par exemple, la carte e1000 de QEMU n'est pas prise en charge, la rtl8139
devrait fonctionner : <code>-net nic,model=rtl8139 -net user</code>.
</p>

<p>
Pour configurer le réseau, le traducteur pfinet doit être configuré.

Cela peut se faire en utilisant <code>inetutils-ifconfig</code>
du paquet <code>inetutils-tools</code>.

Vous pouvez aussi exécuter la commande <code>settrans</code>
vous-même qui attache un traducteur à un nÅ?ud
de système de fichiers donné. Quand les programmes accéderont au nÅ?ud, par
exemple en envoyant un RPC, le système d'exploitation lancera de manière
transparente le serveur afin de prendre en charge la requête.
</p>

<table><tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
 \# settrans -fgap /servers/socket/2 /hurd/pfinet -i eth0 \
   -a a.b.c.d -g e.f.g.h -m i.j.k.l
</pre></td></tr></table>

<p>
Ici, <code>settrans</code> reçoit plusieurs options. Les deux premières,
<var>fg</var>, forcent tous les traducteurs existants à disparaître. Les deux
suivantes, <var>ap</var>, créent les traducteurs actifs et passifs. En
rendant un traducteur actif, nous verrons immédiatement tous les messages
d'erreur sur <tt>stderr</tt>. Ce dernier sauvegarde le traducteur et ses
paramètres dans le nÅ?ud de façon à pouvoir le relancer plus tard de manière
transparente (c'est-à-dire en ayant des paramètres persistants même après un
réamorçage). Les options sont suivies d'un nÅ?ud auquel le traducteur sera
attaché, puis du programme (c'est-à-dire le traducteur) à lancer et de tous les
paramètres à lui passer. L'option <var>-i</var> est l'interface sur laquelle
<code>pfinet</code> écoutera, <var>-a</var> est l'adresse IP, <var>-g</var>
la passerelle et <var>-m</var> le masque de sous-réseau.
</p>

<p>
Veillez à ajouter des serveurs de nom de domaines à votre fichier
<tt>/etc/resolv.conf</tt>&nbsp;:
</p>

<table><tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
  nameserver 192.168.1.1
</pre></td></tr></table>

<p>
Pour tester la configuration, veuillez taper <code>ping -c2 gateway</code>. Le
<var>-c</var> est important pour limiter le nombre de pings&nbsp;;
rappelez-vous, <kbd>CONTROL-C</kbd> ne fonctionne pas en mode utilisateur
unique.
</p>

<p>
DHCP ne fonctionne pas encore sous le Hurd. C'est dû à des limites de
pfinet&nbsp;: il est basé sur le code TCP/IP de Linux et est incapable
d'écouter sur <tt>0.0.0.0</tt>.
</p>

<p>
Il est possible d'obtenir de l'aide sur <code>settrans</code> en lui passant l'option
<var>--help</var>. Il en va de même concernant un traducteur donné en
l'invoquant depuis la ligne de commande avec ce même paramètre, par
exemple&nbsp;:
</p>

<table><tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
 \# /hurd/pfinet --help
</pre></td></tr></table>

<p>
Comme la sortie peut être importante, pensez à la traiter à travers un visionneur
de texte tel que <code>less</code>.
</p>


<h3>Autres systèmes de fichiers</h3>

<p>
Ensuite, veuillez éditer <tt>/etc/fstab</tt> en y ajoutant tous les systèmes de
fichiers supplémentaires ainsi que l'espace d'échange. Il est <em>très
important</em> que l'espace d'échange soit utilisé&nbsp;; le Hurd sera plus
stable. Notez que le Hurd peut partager une partition d'échange de
manière transparente avec Linux, mais pourra sans problème paginer sur quelque
périphérique que ce soit, y compris une partition brute comme votre partition
home. Par défaut, <code>nano</code> est le seul éditeur de texte installé par
la distribution de base.
</p>

<p>
Voici un exemple de fichier <tt>/etc/fstab</tt>&nbsp;:
</p>

<table><tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
\# &#60;file system&#62; &#60;mount point&#62;   &#60;type&#62;  &#60;options&#62;  &#60;dump&#62;  &#60;pass&#62;
/dev/hd0s1      /               ext2    rw         0       1
/dev/hd0s2      /home           ext2    rw         0       2
/dev/hd0s3      none            swap    sw         0       0
</pre></td></tr></table>

<p>
N'oubliez pas de créer tous les périphériques avec la commande
<code>MAKEDEV</code>&nbsp;:
</p>

<table><tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
 \# cd /dev
 \# ./MAKEDEV hd0s1 hd0s2 hd0s3
</pre></td></tr></table>

<p>
Pour monter un système de fichiers NFS, le traducteur <code>/hurd/nfs</code> est
utilisé. Quand il n'est pas lancé par le superutilisateur, le traducteur se
connecte au serveur en utilisant un port au-dessus de&nbsp;1023. Par défaut,
GNU/Linux rejettera cela. Pour dire à GNU/Linux d'accepter les connexions
provenant d'un port non réservé, veuillez ajouter l'option
<var>insecure</var> à la ligne d'export. Voici un exemple de fichier
<tt>/etc/exports</tt> supposant que l'adresse IP du client est
<tt>192.168.1.2</tt>&nbsp;:
</p>

<table><tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
  /home  192.168.1.2(rw,insecure)
</pre></td></tr></table>

<p>
Pour monter ceci sur une machine GNU et en supposant que l'adresse IP du
serveur NFS est <tt>192.168.1.1</tt>&nbsp;:
</p>

<table><tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
\# settrans -cgap /mount/point /hurd/nfs 192.168.1.1:/home
</pre></td></tr></table>


#<h3>7.3 Réamorçage</h3>
#
#<p>
#Enfin, réamorcez en mode multiutilisateur, c'est-à-dire de la même manière que
#pour le mode utilisateur unique, sans l'option <var>-s</var> de chargement du
#noyau. Pour de plus amples informations, veuillez vous référer à la
#section&nbsp;5. Amorçage du GNU/Hurd.
#</p>
#
#<p>
#Bon bidouillage&nbsp;!
#</p>

<h2>Derniers mots</h2>

#<h3>8.1 Le menu de Grub</h3>
#
#<p>
#Charger le noyau manuellement à chaque fois peut se révéler très fastidieux.
#Veuillez adapter le fichier <tt>/boot/grub/menu.lst</tt> pour GRUB 1 ou
#<tt><q>/boot/grub/grub.cfg</q></tt> pour GRUB 2 de manière
#appropriée&nbsp;; l'amorçage sera plus rapide et plus facile.
#</p>
#
#
#<h3>8.2 Ajouter des périphériques</h3>
#
#<p>
#Par défaut, quelques périphériques seulement sont créés dans le répertoire
#<tt>/dev</tt>. Veuillez utiliser le script <code>MAKEDEV</code> pour créer tous
#les nÅ?uds de périphériques nécessaires.
#</p>

<h3>Installer plus de paquets</h3>

<p>
Il y a plusieurs manières d'ajouter des paquets. Télécharger et utiliser
<code>dpkg -i</code> fonctionne mais est très peu pratique. La méthode la plus
simple est d'utiliser <code>apt-get</code>. Veuillez éditer
<tt>/etc/apt/sources.list</tt> et ajouter l'une des entrées non publiées
à partir de
<url "http://wiki.debian.org/DebianPorts/Mirrors";>&nbsp;:
</p>

<table><tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
deb http://ftp.debian-ports.org/debian unreleased main
</pre></td></tr></table>

<p>
<url "http://ftp.debian-ports.org/"; /> et ses miroirs contiennent des paquets
qui ont été modifiés ou des corrections qui n'ont pas encore été intégrées en
amont ou dans Debian.
</p>

<p>
Et la distribution instable à partir de l'un des miroirs de Debian (voir la
liste complète <url "http://www.debian.org/mirror/list"; />) contenant cette
architecture&nbsp;:
</p>

<table><tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
deb http://ftp.fr.debian.org/debian unstable main
</pre></td></tr></table>

<p>
Si GNU/Mach ne reconnaît pas votre carte réseau ou si vous utilisez un modem,
le seul moyen de mettre à jour sera de télécharger les paquets, de les
transférer ensuite sur le système GNU. Le moyen le plus facile de faire ceci
est d'utiliser apt en mode déconnecté. Veuillez vous référer à
<tt>/usr/share/doc/apt-doc/offline.text.gz</tt> pour des instructions
détaillées.
</p>


<h3>La console Hurd</h3>

<p>
Outre la console Mach que vous rencontrez pendant l'installation, GNU/Hurd
possède une puissante console en espace utilisateur qui fournit des terminaux
virtuels. Actuellement, vous devez lancer la console Hurd manuellement avec la
commande suivante&nbsp;:
</p>

<table><tr><td>&nbsp;</td><td class=example><pre>
 \# console -d vga -d pc_mouse --repeat=mouse -d pc_kbd --repeat=kbd -d generic_speaker -c /dev/vcs
</pre></td></tr></table>

<p>
Ou plus simplement (et durablement), activez la console et
ses options à partir de <tt>/etc/default/hurd-console</tt>.
</p>

<p>
Dans la console Hurd, vous pouvez passer d'un terminal virtuel à un autre
<i>via</i> <kbd>ALT+F1</kbd>, <kbd>ALT+F2</kbd> et ainsi de suite.
<kbd>ALT+CTRL+BACKSPACE</kbd> détache la console Hurd et vous ramène à la
console Mach, depuis laquelle vous pouvez vous rattacher à nouveau avec la
commande ci-dessus.
</p>


<h3>X.Org</h3>

<p>
X.Org a été porté.

Toutes les cartes vidéo qu'il gère sans nécessiter de
module ou de drm du noyau devraient fonctionner.
</p>

<p>
Vous devez déjà être en train d'exécuter la console Hurd et avoir
configuré les répétiteurs comme indiqué dans la section précédente.
</p>

<p>
Vous aurez besoin de plusieurs paquets de X. Vous pouvez commencer par
<code>xorg</code>, <code>rxvt</code> et <code>twm</code>,
<code>fvwm</code> ou <code>wmaker</code>.
</p>

<p>
X.Org devrait fonctionner sans configuration directement après l'installation.

Vous risquez néanmoins de devoir utiliser le pilote VESA dans certains cas.
</p>

<p>
Enfin, exécutez <code>startx</code>.
</p>

<h3>Derniers mots</h3>

<p>
Le <q>System V</q> rc n'est pas encore utilisé. Pour éteindre la machine utilisez simplement <code>halt</code> ou <code>reboot</code>.
</p>

Attachment: signature.asc
Description: OpenPGP digital signature


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