Le 02.09.2004 22:40:12, Denis Barbier a écrit :
On Wed, Sep 01, 2004 at 09:36:05AM +0000, Jean-Luc Coulon (f5ibh) wrote: [...]Le cas traité par Denis va bien au-delà : il s'agit d'une traductionparticulière, gérée de manière particulière pour une fonction majeuredu système et sur laquelle on ne pourra pas revenir faire de corrections aisément pas la suite.Non, il s'agit d'une traduction comme d'autres : le site web, le manuel d'installation, ou certains programmes qui ont plusieurs traducteurs pour des parties connexes. On a un accès très aisé aux sources, contrairement à de nombreux autres domaines, car beaucoup de personnes ont un accès en écriture.Dans ce cadre, je pense qu'il est nécessaire qu'il y ait un (un seul)coordinateur pour cette traduction (que son nom apparaisse ou pas estàmon avis secondaire : le but étant avant tout d'avoir une tradcutiondequalité). Si c'est nécessaire à certains, on peut sans doute ajouterquelque par les noms de ceux ont eu la responsailité de porter cettetraduction, les « credits » sont aussi fait pour ça. Mais tout lemondesait l'investissement des uns et des autres. Mais coordinateur neveutpas dire celui_qui_fait_le_boulot....C'est selon moi un des points importants de désaccord, alors je vais clarifier ma pensée, en me concentrant sur quelques points précis. On avait une traduction gérée à plusieurs, chaque traducteur étant clairement identifié. Le débat a duré 24 h pendant le mois d'août, et la bascule vers un fichier unique a été faite sans que la date ait été clairement annoncée à l'avance. Depuis des années, les contributeurs se plaignent du manque de reconnaissance du travail de l10n au sein de Debian, voir par exemple http://lists.debian.org/debian-l10n-french/2003/08/msg00147.html Le fait que des non-DD soient responsables de certaines traductions allait selon moi dans le bon sens, en fournissant une certaine reconnaissance. Mis à part les problèmes liés à la compromission des serveurs en fin d'année dernière, il me semble que de plus en plus de contributeurs ont un accès direct en écriture. Cela va plus loin que la mention du nom du traducteur ; selon nos usages, celui-ci est responsable de ses traductions au même titre que le développeur est responsable de ses paquets. Cette bascule a selon moi plusieurs aspects négatifs : 1. Les personnes qui étaient impliquées peuvent trouver la méthode cavalière et ae demander quelle sera la prochaine étape. Le site web ? L'ensemble des fichiers po-debconf ? 2. Ceux qui prétendent qu'il y a deux classes de traducteurs (ceux qui sont développeurs Debian et les autres) sont confortés dans leur opinion. La question principale est donc la suivante : est-ce qu'on veut que les traducteurs soient responsables de leurs documents, ou on considère que la liste est collectivement responsable de tout ?
Si la question est posée aussi clairement, la réponse ne peut être que oui : les traducteurs doivent être responsables de leur traduction. Une liste ne peut avoir de responsabilité. Ce n'est ni une personne physique, ni une personne morale...
Jean-Luc
La 1re approche me semble meilleure dans notre contexte car elle fournit une plus grande forme de reconnaissance aux traducteurs. Denis
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