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Re: [DDR] boot-floppies/documentation/fr/boot-new.sgml



 Pierre Machard <pmachard@tuxfamily.org> écrivait :
  « Bonjour à tous,
  « 
  « voici la nouvelle version du boot-new.sgml. Cette version se base sur la
  « dernière mise à jour. (1.24)

Voici ma relecture.

  « « to IPL Linux from DASD »

ipl = {Initial Program Loader}, d'où  : charger linux depuis un lecteur DASD 
(selon Patrice)

Un problème pour les utilisateurs de mac :
On trouve les 5 séquences suivantes :

_ .. the nvram, type bye at the Open Firmware ...
_ .. an OpenFirmware prompt..
_ .. the OpenFirmware nvram..
_ .. the OpenFirmware boot-device variable
_ .. the OpenFirmware..

J'ai proposé de traduire : le micropramme en nvram. 
?

D'autre part, l'original ne semble pas terminé (deux phrases inachevées) et
il y quelques problèmes de ponctuation.

a+  

-- 
philippe batailler
in girum imus nocte et consumimur igni
--- boot-new.sgml	Fri Apr 12 15:16:00 2002
+++ boot-new-relu.sgml	Sat Apr 13 14:32:56 2002
@@ -10,31 +10,31 @@
 
 <![ %i386 %sparc %alpha %hppa %s390 %mips %mipsel %arm [
       <p>
-	Si vous choisissez de démarrer linux directement depuis le 
-        disque dur,<![%supports-nfsroot [ et que vous n'effectuez pas une 
-        installation sur une station de travail sans lecteur de disquette, 
-        ]]> on vous demandera d'installer un secteur d'amorce principal 
+	Si vous choisissez de démarrer Linux directement depuis le 
+        disque dur,<![%supports-nfsroot [ et si vous n'installez pas une 
+        un poste de travail sans disque, 
+        ]]> on vous demandera d'installer un secteur d'amorcage principal 
         (<i>master boot record</i>). Si vous n'utilisez pas de gestionnaire 
-        de démarrage (il est alors probable que vous ne sachiez pas ce 
-        qu'est un gestionnaire de démarrage) et que vous n'avez pas d'autre 
-        système d'exploitation sur la même machine, répondez &MSG-YES; à 
+        de démarrage (c'est probablement le cas si vous ne savez pas ce 
+        qu'est un gestionnaire de démarrage) et si vous n'avez pas d'autre 
+        système d'exploitation sur cette machine, répondez &MSG-YES; à 
         cette question.
 
-<![ %i386 [ Notez que si vous répondez &MSG-YES;, vous ne pourrez plus 
-démarrer DOS sur votre machine dans l'immédiat. Faîtes attention, et regardez
-<ref id="reactivating-win">.]]>
+<![ %i386 [ Notez que si vous répondez &MSG-YES;, vous ne pourrez plus, par 
+exemple, démarrer normalement MS-DOS sur votre machine . Faites attention, et 
+lisez <ref id="reactivating-win">.]]>
 	<p>
-	  Si vous répondez &MSG-YES;, à la question suivante on vous 
-          demandera si vous souhaitez automatiquement démarrer Linux 
-          depuis le disque dur de votre système. La partition root de 
-          Linux deviendra alors <em>la partition de démarrage</em>&mdash; 
-          Celle qui sera lancée depuis le disque dur.
+	  Si vous répondez &MSG-YES;, on vous demandera ensuite si 
+          vous souhaitez lancer automatiquement Linux  
+          depuis le disque dur au démarrage du système. La partition root de 
+          Linux deviendra alors <em>la partition de démarrage</em>&mdash;,  
+          celle qui sera chargée depuis le disque dur.
     	<p>
 	  Notez que le démarrage de plusieurs systèmes d'exploitation 
           sur une simple machine relève pour ainsi dire de la magie noire. 
           Ce document ne cherche même pas à documenter les divers 
-          gestionnaire de démarrage («&nbsp;boot manager&nbsp;»&mdash;
-          «&nbsp;boot loader&nbsp;»), qui peuvent varier suivants les 
+          gestionnaires de démarrage («&nbsp;boot manager&nbsp;»&mdash;
+          «&nbsp;boot loader&nbsp;»), qui peuvent varier suivant les 
           architectures et même d'une sous-architecture à l'autre. Vous 
           devriez regarder la documentation de votre gestionnaire de 
           démarrage pour de plus amples informations. Souvenez-vous&nbsp;: 
@@ -51,46 +51,46 @@
 	  Le gestionnaire de démarrage standard pour &architecture;
           s'appelle «&nbsp;LILO&nbsp;». C'est un programme complexe, 
           qui offre de nombreuses fonctionnalités, parmi lesquelles 
-          la gestion de démarrage de DOS, NT et OS/2. Veuillez-lire 
+          la gestion du démarrage de MS-DOS, NT et OS/2. Veuillez lire 
           attentivement les instructions contenues dans le répertoire 
           <file>/usr/share/doc/lilo/</file> si vous avez des besoins 
-          spécifiques&nbsp;; et regardez aussi le 
+          spécifiques&nbsp;; et lisez aussi le 
           <url id="&url-lilo-howto;" name="LILO mini-HOWTO">.
     	<p>
-	  Vous pouvez sauter cette étape pour l'instant et déterminer la 
-	  partition de démarrage plus tard grâce au programmes GNU/Linux 
+	  Vous pouvez sauter cette étape pour l'instant, et déterminer 
+          plus tard la partition de démarrage, grâce aux programmes GNU/Linux 
 	  <prgn>fdisk</prgn> ou <prgn>activate</prgn>.
 	<p>
 	  Si vous commettez une erreur et que vous ne pouvez plus démarrer 
-          DOS, vous devrez utiliser un disque de démarrage DOS et utiliser 
-          la commande <tt>fdisk /mbr</tt> pour réinstaller le secteur 
-          d'amorce principal de DOS (<i>master boot record</i>)&mdash; En 
-          outre, cela signifie que vous devrez trouver un moyen pour 
+          MS-DOS, vous devez utiliser un disque de démarrage MS-DOS et 
+          utiliser la commande <tt>fdisk /mbr</tt> pour réinstaller le secteur 
+          d'amorcage principal de MS-DOS (<i>master boot record</i>)&mdash;.
+          mais cela signifie que vous devez aussi trouver un moyen pour 
 	  retourner à Debian&nbsp;! Pour plus d'information, référez-vous à 
           <ref id="reactivating-win">. ]]>
 
 <![ %m68k [ 
          <p>
-           Pour les systèmes Machintosh, Atari et Amiga, le système 
+           Pour les systèmes Macintosh, Atari et Amiga, le système 
            d'exploitation d'origine devra être conservé tel quel&nbsp;; il 
            sera utilisé pour lancer GNU/Linux. Cette étape n'est pas 
 	   possible pour ces architectures. ]]>
 
 <![ %alpha [
         <p>
-          Si vous avez démarré à partir de SRM et si vous avez sélectionné 
-          cette option, le programme d'installation écriera 
+          Si vous avez choisi l'option de démarrer à partir de SRM,
+          le programme d'installation écrira 
           <prgn>aboot</prgn> sur le premier secteur du disque où vous avez 
-          installé Debian. Soyez <em>Très</em> prudent car il n'est 
+          installé Debian. Soyez <em>très</em> prudent car il n'est 
           <em>pas</em> possible de démarrer plusieurs systèmes 
           d'exploitation (Par exemple&nbsp;: GNU/Linux, 
-          Free/Open/NetBSD, OSF/l aussi connu sous le nom de Digital Unix 
+          Free/Open/NetBSD, OSF/l (connu sous le nom de Digital Unix, 
           ou encore Tru64 Unix, ou OpenVMS) à partir du même disque. Si 
-          vous possédez également un système d'exploitation sur le même 
+          vous possédez un système d'exploitation sur le même 
           disque que celui où vous avez installé Debian, vous devrez 
           démarrer Debian à partir d'une disquette.
         <p>
-          Si vous avez démarrez depuis MILO, le programme 
+          Si vous avez démarré depuis MILO, le programme 
           d'installation essayera de trouver une partition au format 
           FAT et y copiera <file>linload.exe</file> et le binaire 
           <file>MILO</file>. ]]>
@@ -105,22 +105,22 @@
            exceptions près. D'abord, <prgn>SILO</prgn> permet de lancer
            n'importe quelle image de noyau se trouvant sur votre disque, 
            même si elle n'est pas listée dans 
-           <file>/etc/silo.conf</file>. Cela parce que <prgn>SILO</prgn> 
-           peut en fait lire les partitions Linux. De plus,
+           <file>/etc/silo.conf</file>. Cela, parce que <prgn>SILO</prgn> 
+           peut lire les partitions Linux. De plus,
            <file>/etc/silo.conf</file> est lu au démarrage, aussi 
            il n'est pas nécessaire de relancer <prgn>silo</prgn> 
-           après l'installation d'un nouveau noyau comme se serait le 
+           après l'installation d'un nouveau noyau, comme ce serait le 
            cas avec <prng>LILO</prgn>. <prgn>SILO</prgn> peut également 
            lire les partitions UFS, ce qui signifie qu'il peut 
            tout aussi bien démarrer les partitions SunOS/Solaris. 
-           C'est pratique si vous souhaitez installer Linux aux côtés 
-           de SunOS/Solaris. ]]>
+           C'est pratique si vous souhaitez installer Linux à côté de 
+           SunOS/Solaris. ]]>
 
 <![ %powerpc [
-    <sect1>«&nbsp;OldWorld&nbsp;» PowerMacs
+    <sect1> PowerMacs d'antan
          <p>
-           Le gestionnaire de démarrage pour les machines Power Machintosh
-           d'anciennes générations («&nbsp;OldWorld&nbsp;») est 
+           Le gestionnaire de démarrage pour les machines Power Macintosh
+           d'antan est 
            <prgn>quick</prgn>. Vous pouvez également l'utiliser avec CHRP. 
            Le programme d'installation essayera de configurer 
            <prgn>quick</prgn> automatiquement au moment du 
@@ -129,72 +129,76 @@
            Powermacs 7200, 7300 et les 7600, et sur certains clones 
            Power Computing. Il est sûr et certain que cette 
            installation échouera sur les G3 beiges. Pour tous 
-           les autres PowerPC d'anciennes générations, tel qu'Apsus, 
+           les autres vieux PowerPC, tel qu'Apsus, 
            Be-Box, MBX et PReP, il faudra 
            utiliser un gestionnaire de démarrage générique.
          <p>      
-           Si le démarrage de la machine échoue après la finalisation 
-           de l'installation et s'arrête avec un prompt 
-           «&nbsp;boot:&nbsp;», essayer de taper <tt>linux</tt> suivi 
-           de la touche &enterkey; (La configuration de démarrage par défaut 
+           Si la machine ne démarre pas quand l'installation est terminée, 
+           et s'arrête avec un prompt de type 
+           «&nbsp;boot:&nbsp;», tapez <tt>linux</tt> suivi 
+           de la touche &enterkey; (la configuration de démarrage par défaut 
            contenue dans <file>quik.conf</file> est étiquetée linux). 
            Les étiquettes définies dans <file>quik.conf</file> seront 
            affichées si vous pressez la touche <tt>Tab</tt> à 
-           l'affichage de «&nbsp;boot:&nbsp;». Vous pouvez aussi essayer 
-           de démarrer sur le programme d'installation, et éditer 
+           l'invite «&nbsp;boot:&nbsp;». Vous pouvez aussi essayer 
+           de démarrer sur le programme d'installation et modifier
            le fichier <file>/targer/etc/quick.conf</file> qui aura 
            été placé à cet endroit au cours de l'étape 
            précédentes&nbsp;: &Make-Linux-Bootable-Directly-From-Hard-Disk;
            Des informations pour travailler avec <prgn>quick</prgn> sont 
            disponibles à <url id="&url-powerpc-quik-faq;">.
          <p>
-           Pour démarrer de nouveau sous MacOS sans ré-initialiser la nvram, 
-           tapez «&nbsp;bye&nbsp;» au prompt de l'Open Frimware (ce 
-           qui suppose que MacOS n'ait pas été enlevé de la machine). Pour 
-           obtenir un prompt OpenFirware, appuyez simultanément sur les 
+           Pour démarrer de nouveau sous MacOS sans réinitialiser le 
+           microprogramme en nvram, tapez «&nbsp;bye&nbsp;» à l'invite (en 
+           supposant que MacOS n'a pas été enlevé de la machine). Pour 
+           obtenir une invite du microprogramme, appuyez simultanément sur les 
            touches «&nbsp;command option o f&nbsp;» lors d'un démarrage
-           à froid de la machine.
+           à froid de la machine. Si vous avez besoin de réinitialiser le 
+           microprogramme en nvram avec les valeurs par défaut de MacOS pour 
+           pouvoir démarrer à nouveau sous MacOS, appuyez simultanément sur 
+           les touches «&nbsp;command option p r&nbsp;» lors d'un démarrage à 
+           froid de la machine.
 
-    <sect1>PowerMacs «&nbsp;NewWorld&nbsp;»
+    <sect1>PowerMacs modernes
       <p>
         Les PowerMacs récents (à partir de 1998) utilisent 
         <prgn>yaboot</prgn> comme gestionnaire de démarrage. Le programme 
-        d'installation configurera <prgn>yahoo</prgn> automatiquement, 
-        aussi tout ce que vous avez à faire c'est d'exécuter 
-        l'étape &Make-Linux-Bootable-Directly-From-Hard-Disk; si 
-        celle-ci s'achève avec succès, votre système devrait alors 
-        être capable de démarrer et OpenFirware sera configuré pour 
-        lancer &debian;.
+        d'installation configurera <prgn>yaboot</prgn> automatiquement&nbsp;; 
+        aussi, tout ce que vous avez à faire, c'est d'exécuter 
+        l'étape &Make-Linux-Bootable-Directly-From-Hard-Disk;. Si 
+        elle s'achève avec succès, votre système devrait alors 
+        être capable de démarrer et le microprogramme en nvram sera configuré 
+        pour lancer &debian;.
        <p>
-        Sur les machines de types G4 et iBooks, vous pouvez 
+        Sur les machines de type G4 et iBooks, vous pouvez 
         maintenir la touche «&nbsp;option&nbsp;» enfoncée pour 
-        obtenir un écran graphique avec un bouton pour chaque système 
+        obtenir un écran graphique, avec un bouton pour chaque système 
         d'exploitation bootable&nbsp;; pour &debian; il s'agit d'un 
-        bouton avec une petite icône de pingouin.
+        bouton avec une icône de petit pingouin.
        <p>
-        Si vous avez conservé MacOS et qu'à un moment ou un autre 
-        cela a changé la variable OpenFirmware du périphérique de 
-        démarrage vous devrez restaurer la configuration par défaut 
-        d'OpenFirmware. Pour effectuer cela, maintenez enfoncées les 
+        Si vous avez conservé MacOS et qu'à un moment ou à un autre 
+        il a modifié la variable concernant le microprogramme de démarrage, 
+        vous devrez restaurer la configuration par défaut 
+        de ce microprogramme. Pour cela, maintenez enfoncées les 
         touches «&nbsp;command option p r&nbsp;» lors du démarrage à froid de 
         la machine.
        <p>
         Les étiquettes définies dans <file>yaboot.conf</file> seront 
-        affichées si vous appuyez sur la touche <tt>Tab</tt> lors 
-        de l'affichage de «&nbsp;boot:&nbsp;».
+        affichées si vous appuyez sur la touche <tt>Tab</tt> à 
+        l'invite «&nbsp;boot:&nbsp;».
        <p>
-        La ré-initialisation de l'OpenFirmware sur les matériels G3 et G4
-        les fera démarrer par défaut sur &debian; (à condition d'avoir
+        La ré-initialisation du microprogramme en nvram sur les matériels G3 
+        et G4 les fera démarrer par défaut sur &debian; (à condition d'avoir
         effectué un partitionnement correct et placé la partition 
         Apple_Bootstrap en premier). Si &debian; se trouve sur un disque 
         SCSI et que MacOS se trouve sur un disque IDE, il est possible 
-        que cela ne fonctionne pas et que vous deviez entrer dans 
-        OpenFirmware et déclarer le périphérique de démarrage 
-        manuellement&nbsp; en principe <prgn>ybin</prgn> doit le faire 
+        que cela ne fonctionne pas et vous devrez lancer  
+        le microprogramme et déclarer le périphérique de démarrage 
+        manuellement&nbsp; en principe <prgn>ybin</prgn> le fait 
         automatiquement).
        <p>
         Après avoir lancé &debian; pour la première fois, vous pourrez 
-        ajouter autant d'options additionnelles que vous le 
+        ajouter autant d'options que vous le 
         souhaitez (telles que les options de démarrage double) dans 
         le fichier <file>/etc/yaboot.conf</file> et démarrer 
         <prgn>ybin</prgn> pour mettre à jour votre partition de démarrage
@@ -207,8 +211,9 @@
 <prgn>PALO</prgn> est similaire dans sa configuration et dans son usage à 
 <prgn>LILO</prgn>, à quelques exceptions près. D'abord, <prgn>PALO</prgn>
 vous permet de lancer n'importe quelle image de noyau sur votre partition
-de démarrage. Cela est dû au fait que <prgn>PALO</prgn> peut en fait
-lire des partitions Linux. 
+de démarrage. Cela est dû au fait que <prgn>PALO</prgn> sait 
+lire les partitions Linux. 
+hppa FIXME ( besoin de plus d'infos )
 ]]>
 
 <![ %s390 [
@@ -226,19 +231,19 @@
         <p>
          Le gestionnaire de démarrage sur les DECstations est 
          <prgn>DELO</prgn>. Il doit être installé sur le même 
-         disque sur que le noyau (ce qui est fait automatiquement 
+         disque que le noyau (ce qui est fait automatiquement 
          par le programme d'installation). <prgn>DELO</prgn>
-         supporte différentes configurations qui sont définies dans 
+         accepte différentes configurations, définies dans 
          <file>/etc/delo.conf</file>. Chaque configuration possède un 
          nom unique&nbsp;; l'installation par défaut, créée par le 
-         programme d'installation est «&nbsp;linux&nbsp;». Après que 
-         DELO ait été installé, le système peut être lancé à partir 
+         programme d'installation, est «&nbsp;linux&nbsp;». Après que 
+         DELO a été installé, le système peut être lancé à partir 
          du disque dur en entrant
         <p>
          <tt>boot <var>#</var>/rz<var>id</var> 
          <var>partnr</var>/<var>name</var></tt>
         <p>
-         au prompt du firware.
+         au prompt du Firmware.
         <p>
    <taglist>
     <tag> <var>#</var> </tag>
@@ -258,7 +263,7 @@
    </taglist>
       Dans le cas où <file>/etc/delo.conf</file> se trouve sur la 
       première partition du disque dur, et que la configuration par 
-      défaut doit-être lancée, il est suffisant d'utiliser
+      défaut doit être lancée, il est suffisant d'utiliser
      <p>
         <tt>boot <#>/rz<var>id</var></tt>
      <p>
@@ -266,9 +271,9 @@
 
 <![ %supports-nfsroot [
     <p>
-     Si vous êtes en train d'installer une station de travail sans disque,
-     évidement, démarrer depuis le disque local n'a pas de sens, et 
-     cette étape devra être sautée.
+     Si vous installez un poste de travail sans disque,
+     démarrer depuis le disque local n'a évidemment pas de sens, et 
+     cette étape sera sautée.
      <![ %sparc [ Vous pouvez configurer l'OpenBoot pour démarrer
      depuis le réseau par défaut&nbsp;; regardez 
      <ref id="boot-dev-select-sun">. ]]> ]]>
@@ -278,26 +283,26 @@
       Même si vous avez l'intention de démarrer votre système 
       depuis le disque dur, il est conseillé de créer une disquette 
       de démarrage. La raison est qu'il est possible que le secteur 
-      d'amorce du disque dur soit mal installé, alors qu'une disquette 
+      d'amorcage du disque dur soit mal installé, alors qu'une disquette 
       de démarrage fonctionnera pratiquement tout le temps.
 
 <![ %m68k %powerpc [ Malheureusement, cette option n'est pas disponible sur
-les modèles Machintosh.]]>
+les modèles Macintosh.]]>
 
 Sélectionnez &MSG-FLOPPY-BOOT; depuis le menu et insérez une disquette
-vierge comme indiqué. Assurez-vous que la disquette n'est pas protégée
-en écriture, pour que le logiciel puisse la formater et écrire dessus. 
-Étiquetez la disquette «&nbsp;Démarrage personnalisé&nbsp;» et protégez-la 
-en écriture une fois la création achevée.
+vierge comme indiqué. Assurez-vous qu'elle n'a pas de protection contre
+l'écriture, car le logiciel doit la formater et écrire dessus. 
+Étiquetez la disquette «&nbsp;Démarrage personnalisé&nbsp;» et mettez une
+protection contre l'écriture une fois la création achevée.
     <p>
-      Cette disquette contiendra un noyau et un système de fichiers,
-      simple avec une instruction pour utiliser votre nouveau système 
+      Cette disquette contiendra un noyau et un seul système de fichiers,
+      avec une instruction pour utiliser votre nouveau système 
       de fichiers root.
 <![ %alpha [
     <p>
-      Malheureusement, on ne peut pas créer une seule disquette de 
-     démarrage pour les systèmes SRM, étant donné que <prgn>MILO</prgn> et 
-     le noyau ne tiennent pas sur une seule disquette.
+      Malheureusement, on ne peut créer une disquette de 
+     démarrage que pour les systèmes SRM, étant donné que <prgn>MILO</prgn> et 
+     le noyau ne tiennent pas ensemble sur une seule disquette.
 ]]>
 
   <sect id="base-boot">Le moment de vérité
@@ -306,10 +311,10 @@
            <em>test de la fumée</em>&nbsp; c'est ce qui se passe
            lorsque l'on démarre un nouveau système pour la première fois
            <![ %s390 [ Sélectionnez &MSG-REBOOT; dans le menu,
-	   celà va provoquer l'arrêt de la machine car le redémarrage
-	   n'est pas supporté sur les S/390 dans ce cas de figure.
-	   Vous devrez ensuite IPL Linux depuis le DASH que vous
-	   avez sélectionnez comme système de fichiers root au cours
+	   cela va provoquer l'arrêt de la machine car le redémarrage
+	   ne fonctionne pas sur les S/390 dans ce cas de figure.
+	   Vous devrez ensuite charger Linux depuis le lecteur DASD que vous
+	   avez sélectionné comme système de fichiers root au cours
 	   des premières étapes de l'installation.
 	   ]]>
 	   <![ %not-s390 [
@@ -336,7 +341,7 @@
           Si vous avez réalisé une installation sans disque sur une 
           machine BVM ou Motorola VMEbus&nbsp;: une fois que le système a 
           lancé le programme <prgn>tftplilo</prgn> depuis le serveur TFTP, 
-          lors de l'affichage <tt>LILO Boot:</tt> entrez une des options 
+          à l'invite <tt>LILO Boot:</tt>, entrez l'une des options 
 	  suivantes&nbsp;:
 <list>
 	    <item>
@@ -354,7 +359,7 @@
 
   <sect id="base-config">Paramétrage post-démarrage de Debian (Base)
     <p>
-      Après le démarrage, on vous demandera de compléter la 
+      Après le démarrage, on vous demandera de terminer la 
       configuration de votre système de base, et ensuite de sélectionner 
       les paquets supplémentaires que vous souhaitez installer. 
       L'application qui vous guidera au cours de cette étape est appelée 
@@ -371,18 +376,18 @@
       Après avoir décidé entre une configuration d'horloge GMT ou locale,
       vous devrez sélectionner une région puis une ville de cette région
       qui se trouve dans le même fuseau horaire que vous. Lorsque vous 
-      sélectionnerez dans la liste, vous pourrez taper la première lettre
-      de la section qui vous intéresse.
+      sélectionnez dans la liste, vous pouvez taper simplement la première 
+      lettre de la section qui vous intéresse.
 
   <sect id="base-config-md5">Mots de passe MD5
     <p>
       On vous demandera d'abord si vous souhaitez installer les mots de 
       passe MD5. C'est une méthode alternative de stockage des mots de 
-      passe sur votre système qui est plus sécurisée que la méthode 
+      passe sur votre système&nbsp;; elle est plus sûre que la méthode 
       standard (appelée «&nbsp;crypt&nbsp;»).
     <p>
       La configuration par défaut est &MSG-NO;, mais si vous n'avez pas 
-      besoin de support NIS et que vous être très concerné par la 
+      besoin de NIS et que vous êtes très concerné par la 
       sécurité, vous devriez répondre &MSG-YES;.
 
   <sect id="base-config-shadow">Mots de passe «&nbsp;Shadow&nbsp;»
@@ -390,48 +395,48 @@
       À moins que vous ayez répondu &MSG-YES; à la section Mots de passe 
       MD5, le système vous demandera si vous souhaitez activer les mots 
       de passe «&nbsp;shadow&nbsp;». C'est un système qui rend votre 
-      système GNU/Linux plus sécurisé. Dans un système dépourvu de 
+      système GNU/Linux plus sûr. Dans un système dépourvu de 
       mots de passe «&nbsp;shadow&nbsp;», les mots de passe sont stockés 
-      (encryptés) dans un fichier accessible en lecture à tous les 
+      (chiffrés) dans un fichier lisible par tous les 
       utilisateurs&nbsp;:<file>/etc/passwd</file>. Ce 
-      fichier doit-être accessible en lecture à toutes les personnes qui 
+      fichier doit être lisible par toutes les personnes qui 
       peuvent se connecter sur le système, car il contient des informations 
-      vitales pour ces utilisateurs, par exemple, comment mettre en relation 
-      des identifiants numériques d'utilisateurs et des noms d'utilisateur. 
+      vitales pour ces utilisateurs, par exemple, comment associer 
+      des identifiants numériques d'utilisateur et des noms d'utilisateur. 
       Partant de là, quelqu'un pourrait raisonnablement récupérer votre 
-      fichier <file>/etc/passwd/</file> et lancer une attaque brutale 
+      fichier <file>/etc/passwd/</file> et lancer une attaque de brute 
       (c'est à dire tester systématiquement toutes les combinaisons 
-      possibles de mots de passe pour essayer de les retrouver)
+      possibles de mots de passe pour essayer de les retrouver).
     <p>
       Si vous avez activé les mots de passe shadow, les mots de passe seront
-      stockés dans <file>/etc/shadow</file>, qui est accessible en 
-      lecture et en écriture uniquement à l'utilisateur root, et accessible 
-      en lecture au groupe <file>shadow</file>. Par conséquent, nous vous 
+      stockés dans <file>/etc/shadow</file>, qui ne peut être lu et modifié 
+      que par l'utilisateur root, et n'est lisible que par 
+      le groupe <file>shadow</file>. Par conséquent, nous vous 
       recommandons d'activer les mots de passe «&nbsp;shadow&nbsp;».
     <p>
       Une reconfiguration des mots de passe «&nbsp;shadow&nbsp;» peut 
-      s'effectuer à tout instant à l'aide du programme 
-      <prgn>shadowconfig</prgn>. Après l'installation, voyez le fichier 
+      être effectué à tout moment à l'aide du programme 
+      <prgn>shadowconfig</prgn>. Après l'installation, lisez le fichier 
       <file>/usr/share/doc/passwd/README.debian.gz</file> pour de plus amples
       informations.
 
- <sect id="base-config-root">Mise en place du mot de passe Root
+ <sect id="base-config-root">Mise en place du mot de passe de Root
     <p>
       Le compte <em>root</em> est aussi appelé <em>super-utilisateur</em>;
-      c'est un compte qui contourne toutes les protection de sécurité 
+      c'est un compte qui contourne toutes les protections de sécurité 
       présentes sur votre système. Le compte root doit être uniquement 
-      utilisé pour réaliser l'administration du système, et dans la mesure 
-      du possible pour une courte durée.
+      utilisé pour administrer le système, et 
+      pour une durée aussi courte que possible.
     <p>
-      Chaque mot de passe de que vous créez devrait contenir de 6 à 8 
+      Chaque mot de passe que vous créez devrait contenir de 6 à 8 
       caractères, et devrait aussi combiner des lettres majuscules et des 
       lettres minuscules ainsi que des caractères de ponctuation. Portez 
-      une extrême attention quant au choix de votre mot de passe root, 
+      une extrême attention au choix de votre mot de passe pour root, 
       étant donné qu'il s'agit d'un compte puissant. Évitez les mots du 
-      dictionnaire ou des informations personnelles qui pourraient-être 
+      dictionnaire ou les informations personnelles qui pourraient être 
       facilement devinées.
     <p>
-      Si quelqu'un vous dit qu'il a besoin de votre mot de passe root, soyez
+      Si quelqu'un vous dit qu'il a besoin du mot de passe de root, soyez
       extrêmement prudent. Vous ne devriez normalement jamais donner 
       votre mot de passe à quiconque, à moins que vous n'administriez une 
       machine qui a plus d'un administrateur système.
@@ -443,23 +448,23 @@
       Vous ne devriez <em>pas</em> utiliser le compte root pour une utilisation
       quotidienne ou comme compte personnel.
     <p>
-      Pourquoi pas&nbsp;? et bien, une des raison pour éviter d'utiliser 
+      Pourquoi&nbsp;? et bien, une des raisons pour éviter d'utiliser 
       les privilèges de root est qu'il est très facile de causer des 
-      dommages irréparables. Une autre raison est que vous pourriez être 
-      abusé en lançant un programme <em>cheval de Troie</em> &mbash; 
+      dommages irréparables. Une autre raison est que vous pourriez  
+      lancer, sans le savoir, un programme <em>cheval de Troie</em>&mdash;, 
       programme qui tire profit des avantages du super-utilisateur pour 
-      compromètre la sécurité de votre système dans votre dos. N'importe 
+      compromettre à votre insu la sécurité du système. N'importe 
       quel livre sur l'administration système UNIX traite de ce sujet de 
-      manière plus détaillée &mdsah;&nbsp; si ce sujet est inconnu pour 
+      manière plus détaillée&mdash; si ce sujet est inconnu pour 
       vous, envisagez d'en lire un.
     <p>
-      Nommez le compte utilisateur comme vous voulez. Par exemple, vi votre 
+      Nommez le compte utilisateur comme vous voulez. Par exemple, si votre 
       nom est Jean Dupont, vous pouvez utiliser 
       «&nbsp;dupont&nbsp;», «&nbsp;jdupont&nbsp;» ou «&nbsp;jd&nbsp;». 
       On vous demandera aussi le nom de l'utilisateur, et, comme 
       précédemment, un mot de passe.
     <p>
-      Si à un moment quelconque après l'installation vous souhaitez créer 
+      Si, après l'installation, vous souhaitez créer 
       un nouveau compte utilisateur, utilisez la commande 
       <prgn>adduser</prgn>.
 
@@ -468,10 +473,10 @@
 	Vous devez créer un compte utilisateur sur les S/390 si vous
 	souhaitez vous connecter par le réseau en utilisant telnet. Le
 	server telnet, avec sa configuration par défaut dans Debian, 
-	n'autorise pas les connexions entant qu'utilisateur root.
+	n'autorise pas les connexions en tant qu'utilisateur root.
 	Cependant, vous pouvez utiliser <prgn>ssh</prgn> (interpréteur
-	de commandes sécurisé) pour vous connecter à distance entant
-	qu'utilisateur root&nbsp;; Ceci est déconseillé.
+	de commandes sécurisé) pour vous connecter à distance en tant
+	qu'utilisateur root, mais c'est déconseillé.
 ]]>
 
 
@@ -480,32 +485,31 @@
   <sect id="PPP">Paramétrage de PPP
     <p>
       On vous demandera si vous souhaitez installer le reste du système 
-      au moyen de PPP. Si vous réalisez une installation à partir d'un 
-      CD-ROM et/ou vous êtes connectés à un réseau, vous pouvez en toute 
+      au moyen de PPP. Si vous faites une installation à partir d'un 
+      CD-ROM ou si vous êtes connecté à un réseau, vous pouvez en toute 
       sécurité répondre &MSG-NO; et sauter cette section.
     <p>
-      Si vous choisissez de configurer PPP à ce point, un programme nommé
+      Si vous choisissez de configurer PPP, un programme appelé
       <prgn>pppconfig</prgn> sera lancé. Ce programme vous aidera à 
       configurer votre connexion PPP. <em>Assurez-vous, quand on vous 
-      demandera le nom de votre connexion téléphonique, de lui donner le 
-      nom «&nbsp;provider&nbsp;».</em>
+      demandera le nom de cette connexion, de l'appeler 
+      «&nbsp;provider&nbsp;»</em>.
     <p>
-      Normalement, le programme <prgn>pppconfig</prgn> devrait vous guider
-      à travers un paramétrage sans peine de PPP. Néanmoins, s'il ne 
-      fonctionne pas pour vous, regardez ci-dessous pour des 
-      instructions détaillées.
-    <p>
-      Pour configurer PPP, vous devez connaître les bases de la 
-      visualisation et de l'édition de fichiers sous GNU/Linux. Pour 
-      visualiser les fichiers, vous devriez utiliser le programme 
+      Le programme <prgn>pppconfig</prgn> vous guidera et facilitera
+      la configuration de PPP. Néanmoins, si cela ne marche pas, 
+      regardez ci-dessous pour des instructions détaillées.
+    <p>
+      Pour configurer PPP, vous devez connaître les bases de 
+      l'affichage et de l'édition des fichiers sous GNU/Linux. Pour 
+      afficher des fichiers, vous pouvez utiliser le programme 
       <prgn>more</prgn>, et le programme <prgn>zmore</prgn> pour les 
-      fichiers compressés avec l'extension <tt>.gz</tt>. Par exemple, 
-      pour visualiser le fichier <file>README.debian.gz</file>, tapez 
+      fichiers compressés dont l'extension est <tt>.gz</tt>. Par exemple, 
+      pour afficher le fichier <file>README.debian.gz</file>, tapez 
       <tt>zmore README.debian.gz</tt>. Le système de base est fourni avec 
-      un éditeur nommé <prgn>nano</prgn>, qui est très simple d'utilisation, 
-      mais ne possède pas beaucoup de caractéristiques. Vous souhaiterez 
-      probablement installer des éditeurs et des visualisateurs plus  
-      complets plus tard, comme <prgn>jed</prgn>, 
+      un éditeur nommé <prgn>nano</prgn>, très simple d'utilisation mais 
+      qui possède peu de fonctions. Vous souhaiterez 
+      probablement installer des éditeurs et des afficheurs plus  
+      complets, comme <prgn>jed</prgn>, 
       <prgn>nvi</prgn>, <prgn>less</prgn>, et <prgn>emacs</prgn>.
     <p>
       Éditez le fichier <file>/etc/ppp/peers/provider</file> et remplacez
@@ -521,8 +525,8 @@
       <file>/etc/chatscripts/provider</file> et d'y ajouter le numéro 
       de téléphone de votre fournisseur d'accès, votre identifiant de 
       connexion et votre mot de passe. S'il vous plaît, n'effacez
-      pas le «&nbsp;\q&nbsp;» qui précède le mot de passe. Il permet 
-      d'éviter que le mot de passe n'apparaisse dans les journaux de 
+      pas le «&nbsp;\q&nbsp;» qui précède le mot de passe. Il  
+      évite que le mot de passe n'apparaisse dans les journaux de 
       connexions.
     <p>
       De nombreux fournisseurs d'accès utilisent PAP ou CHAP 
@@ -530,16 +534,16 @@
       en mode texte. D'autres utilisent les deux. Si votre fournisseur 
       requiert PAP ou CHAP, vous devrez suivre des procédures 
       différentes. Commentez tout ce qui se trouve après la chaîne 
-      de caractère de numérotaton (celle qui débute par «&nbsp;ATDT&nbsp;») 
+      de numérotation (celle qui débute par «&nbsp;ATDT&nbsp;») 
       dans le fichier <file>/etc/chatscripts/provider</file>, modifiez le 
       fichier <file>/etc/ppp/peers/provider</file> tel que décrit plus haut, 
-      et ajoutez <tt>user <var>name</var></tt> où <var>name</var>
+      et ajoutez <tt>user <var>nom</var></tt> où <var>nom</var>
       correspond à l'identifiant que vous utilisez pour vous connecter à
       votre fournisseur d'accès. Éditez ensuite 
       <file>/etc/ppp/pap-secrets</file> ou <file>/etc/ppp/chap-secrets</file>
-      et insérez y votre mot de passe.
+      et insérez votre mot de passe.
     <p>
-      Vous aurez aussi besoin d'éditer le fichier 
+      Vous aurez aussi besoin de modifier le fichier 
       <file>/etc/resolv.conf</file> et d'y ajouter les adresses IP 
       des serveurs de noms (DNS) de votre fournisseur d'accès. Les 
       lignes de <file>/etc/resolv.conf</file> sont dans le 
@@ -547,16 +551,16 @@
       <tt>nameserver <var>xxx.xxx.xxx.xxx</var></tt> où un <var>x</var> est
       un chiffre de l'adresse IP. Vous pouvez éventuellement ajouter 
       l'option <tt>usepeerdns</tt> au fichier 
-      <file>/etc/ppp/peers/provider</file>, ce qui permettra automatiquement 
-      de choisir les serveurs DNS appropriés, et d'utilisez les 
+      <file>/etc/ppp/peers/provider</file>, ce qui permettra de choisir
+      automatiquement les serveurs DNS appropriés, et d'utilisez les 
       réglages normalement fournis par la machine distante. 
     <p>
-      À moins que votre fournisseur d'accès utilise une séquence 
+      À moins que votre fournisseur d'accès n'utilise une séquence 
       de connexion différente de la majorité des autres FAI, l'affaire est
       réglée&nbsp;! Lancez la connexion PPP en tapant 
       <prgn>pon</prgn> en tant que root, et suivez l'exécution avec 
       la commande <prgn>plog</prgn>. Pour déconnecter, 
-      utilisez <prgn>poff</prgn> une nouvelle fois en tant que root.
+      utilisez <prgn>poff</prgn>, aussi en tant que root.
     <p>
       Lisez le fichier <file>/usr/share/doc/ppp/README.Debian.gz</file> 
       pour de plus amples informations sur l'utilisation de PPP sous Debian.
@@ -564,9 +568,9 @@
 <![ %supports-pcmcia [
   <sect>Enlevez PCMCIA
     <p>
-      Si vous n'avez aucune utilité du PCMCIA, vous pouvez choisir de 
-      l'enlever à ce point. Ceci vous permettra un démarrage plus 
-      propre&nbsp; de plus, il sera plus facile de remplacer votre noyau 
+      Si vous n'avez pas besoin de PCMCIA, vous pouvez choisir de 
+      l'enlever à ce point. Ceci permettra un meilleur démarrage&nbsp;;
+      de plus, il sera plus facile de remplacer votre noyau 
       (PCMCIA nécessite de nombreuses corrélations entre les versions 
       des pilotes PCMCIA, les modules du noyau, et le noyau lui-même).
 ]]>
@@ -574,58 +578,57 @@
 
   <sect id="configure-apt">Configuration d'APT
     <p>
-      Le principal outil que l'on utilise pour installer des paquets
+      Le principal outil utilisé pour installer les paquets
       sur les systèmes Debian est un programme appelé <prgn>apt-get</prgn>,
       il est inclus dans le paquet <package>apt</package>.
        <footnote>
         <p>
-          Notez que le programme couramment utilisé aujourd'hui pour 
-          installer des paquets est <prgn>dpkg</prgn>. Néanmoins, ce
-          paquet est plutôt un outil de bas-niveau. <prgn>apt-get</prgn>
-          utilisera <prgn>dpkg</prgn> quand il en aura besoin&nbsp;;
-          il s'agit d'un outil de haut niveau car il sait installer
-          et récupérer les paquets nécessaires à l'installation du 
-          paquet que vous êtes en train d'essayer d'installer, à 
-          partir de votre CD, du réseau, ou ailleurs.
+          Notez que le programme réellement utilisé pour 
+          installer les paquets est <prgn>dpkg</prgn>. Néanmoins, ce
+          paquet est plutôt un outil de premier niveau. <prgn>apt-get</prgn>
+          utilise <prgn>dpkg</prgn> quand il en a besoin&nbsp;;
+          il s'agit d'un outil de haut niveau car il sait aussi bien installer
+          les paquets nécessaires à l'installation du 
+          paquet que vous voulez installer, que récupérer le paquet à 
+          partir de votre CD-ROM, du réseau, ou d'ailleurs.
         </footnote>
        APT doit cependant être configuré, pour qu'il sache où récupérer 
-       les paquets. L'application d'assistance qui vous aidera dans
+       les paquets. L'application qui vous aidera dans
        cette tâche s'appelle <prgn>apt-setup</prgn>.
         <p>
-         L'étape suivante dans votre processus d'installation consiste à
-         indiquer à APT où il peut trouver les autres paquets Debian.
+         L'étape suivante dans le processus d'installation consiste à
+         indiquer où trouver les autres paquets Debian.
          Remarquez que vous pouvez ré-exécuter cet outil à n'importe quel
-         moment une fois que l'installation est finie en tapant 
-	 <prgn>apt-setup</prgn>, ou en éditant manuellement le fichier 
+         moment une fois que l'installation est finie, en tapant 
+	 <prgn>apt-setup</prgn>, ou en modifiant manuellement le fichier 
          <file>/etc/apt/source.list</file>.
         <p>
-         Si vous démarrer depuis un cédérom officiel, alors un cédérom
-         sera défini comme une source APT sans qu'aucune question ne vous
-         soit posée. On vous demandera ensuite si vous avez d'autres 
-         cédéroms à déclarer. Si vous possédez un jeu de plusieurs
-         cédéroms &mdash;&nbsp;c'est le cas pour la plupart des 
-         gens&nbsp;&mdash; alors vous devrez continuer et les faire
-         explorer un à un.
+         Si vous démarrez depuis un cédérom officiel, alors ce cédérom
+         sera automatiquement défini comme une source APT. Vous le saurez
+         en voyant que ce cédérom est lu&nbsp;; puis on vous demandera 
+         si vous avez d'autres cédéroms à déclarer. Si vous possédez un jeu 
+         de plusieurs cédéroms &mdash; c'est le cas pour la plupart des 
+         gens &mdash; vous devez les faire explorer un par un.
         <p>
          Pour les utilisateurs qui ne disposent pas d'un cédérom officiel,
          un ensemble de choix sur la manière
-         d'accéder aux paquets Debian leurs sera proposés&nbsp;: HTTP; 
+         d'accéder aux paquets Debian leur sera proposé&nbsp;: HTTP; 
          FTP, cédérom, ou système de fichiers local. Les utilisateurs 
-         de cédéroms, pourrons demander l'ajout d'une autre source lors 
-	 de cette étape.
+         de cédéroms pourront accéder à cette étape en demandant 
+         explicitement l'ajout d'une autre source.
         <p>
          Vous devriez savoir qu'il est parfaitement acceptable d'avoir
-         plusieurs sources APT différentes, y compris pour une même archive 
+         plusieurs sources APT, y compris pour une même archive 
          Debian. <prgn>apt-get</prgn> ira chercher automatiquement le 
-         paquet portant le numéro de version le plus élevé parmi ceux
-         disponibles. Ou par exemple, si vous possédez à la fois 
-         une source APT HTTP et cédérom, <prgn>apt-get</prgn>
+         paquet portant le numéro de version le plus élevé parmi les sources
+         disponibles. Ou, par exemple, si vous possédez à la fois 
+         une source HTTP et une source cédérom, <prgn>apt-get</prgn>
          utilisera automatiquement le cédérom local lorsque c'est 
-         possible, et n'utilisera le HTTP que si une nouvelle version y 
+         possible, et n'utilisera la source HTTP que si une nouvelle version y 
          est disponible. Néanmoins, il n'est pas judicieux d'ajouter
-         des sources APT qui ne sont pas disponibles, dans la mesure 
+         des sources inutiles, dans la mesure 
          où cela aura tendance à ralentir le processus de sélection
-         des nouvelles version sur le réseau. 
+         des nouvelles versions sur le réseau. 
 
     <sect1 id="configure-apt-net">Configurer les sources de paquets réseau
        <p>
@@ -635,27 +638,26 @@
         acceptable, mais a tendance à être légèrement plus lente 
         dans l'établissement des connexions.
        <p>
-        Pour chacune des sources de paquets réseau, il vous sera 
+        Pour chacune des sources réseau, il vous sera 
         demandé si vous voulez utiliser des «&nbsp;logiciels non-US&nbsp;».
-        En règle générale, vous devrez répondre &MSG-YES; car 
+        En règle générale, vous devrez répondre &MSG-YES; car, 
         dans le cas contraire, vous ne pourrez pas installer les logiciels
-        utilisant les protections crytographiques comme le populaire 
-        programme <prgn>ssh</prgn>.
+        utilisant la cryptographie, comme le bien connu <prgn>ssh</prgn>.
        <p>
         Ensuite, on vous demandera si vous voulez utiliser des logiciels
         qui ne sont pas libres. Ceci englobe des logiciels commerciaux
         ou aux d'autres logiciels qui ne répondent pas aux critères
-        définis dans
-        <url id="&url-dfsg;" name="Debian Free Software Guidelines">.
+        définis dans les 
+        <url id="&url-dfsg;" name="directives Debian pour le logiciel libre">.
         Il est intéressant de répondre &MSG-YES;, mais prenez garde
-        en installant de tels logiciels, car vous devrez vous assurez
+        en installant de tels logiciels, car vous devrez vous assurer
         que vous respectez leurs licences.
        <p>
-        L'étape suivante, dans la configuration des sources de paquets
+        L'étape suivante, dans la configuration des sources 
         réseau, consiste à dire à <prgn>apt-setup</prgn> dans quel 
         pays vous vivez. Ceci configure le miroir réseau Debian
         officiel que vous allez utiliser. En fonction du lieu
-        sélectionné, la liste des machines disponibles vous sera 
+        sélectionné, une liste des machines disponibles vous sera 
         proposée. Il suffit généralement de choisir celle qui se 
         situe en haut de la liste, mais n'importe laquelle devrait 
         fonctionner.
@@ -663,12 +665,12 @@
         Si vous êtes en train de procéder à une installation via HTTP,
         on vous demandera de configurer votre serveur mandataire 
         («&nbsp;proxy&nbsp;». C'est parfois nécessaire pour les personnes
-        qui se trouvent derrière des pare-feux, ou des réseaux d'entreprises, 
+        qui se trouvent derrière des pare-feux, ou des réseaux d'entreprise, 
         etc.
        <p>
         Enfin, votre nouvelle source de paquets va être testée.
         Si tout va bien, on vous demandera si vous souhaitez ou non
-        recommencer l'opération pour une autre source de paquets réseaux.
+        recommencer l'opération pour une autre source.
 
   <sect id="install-packages">
     <heading>Installation de paquets&nbsp;:simple ou avancée</heading>
@@ -679,97 +681,96 @@
       mesure où vous pourrez toujours recourir à la méthode avancée 
       ultérieurement.
     <p>
-      Vous devriez savoir que pour une installation simple, 
+      Sachez que pour une installation simple, 
       <prgn>base-config</prgn> utilise principalement le programme
       <prgn>tasksel</prgn>. Pour une installation de paquets avancée,
       c'est le programme <prgn>dselect</prgn> qui sera exécuté.
-      Chacun de ces programmes peut être utilisé, à n'importe quel 
-      moment une fois que l'installation est achevée, pour installer
-      d'avantage de paquets. Une fois que l'installation est finie, si 
-      vous êtes à la recherche d'un paquet particulier, tapez simplement
+      Chacun de ces programmes peut être utilisé à tout 
+      moment une fois l'installation terminée, pour installer
+      davantage de paquets. Une fois que l'installation est finie, si 
+      vous voulez un paquet particulier, tapez simplement
       <tt>apt-get install <var>paquet</var></tt>, où <var>paquet</var>
       est le nom du paquet désiré.
 
   <sect id="preselections">
-    <heading>Sélection de paquet simple &mdash; l'installateur de tâche</heading>
+    <heading>Sélection simple des paquets &mdash; l'installateur de tâche</heading>
      <p>
       Si vous choisissez une installation «&nbsp;simple&nbsp;», vous
-      serez dirigez sur l'installateur de tâche (<prgn>tasksel</prgn>).
-      Cette technique vous propose un ensemble de configurations logicielles
-      prêtes à l'emploi proposées par Debian. En outre, vous pouvez toujours 
+      serez dirigé  sur l'installateur de tâche (<prgn>tasksel</prgn>).
+      À travers cette technique, Debian propose un ensemble de configurations 
+      logicielles prêtes à l'emploi. En outre, vous pouvez toujours 
       choisir de procéder à une installation de paquet au cas par cas.
-      C'est la fonction du programme <prgn>dselect</prgn>, décrite plus
-      bas. Mais ceci peut être une longue tâche avec près de 
-      &num-of-distrib-pkgs; paquets disponibles dans Debian&nbsp;!
+      C'est le rôle du programme <prgn>dselect</prgn>, décrit plus
+      bas. Mais, avec près de &num-of-distrib-pkgs; paquets disponibles,
+      cela peut être long&nbsp;!
      <p>
-      C'est aussi pour cette raison que vous avez la possibilité de 
-      sélectionnez en premier lieu les <em>tâches</em>, et par la suite 
-      d'ajouter des paquets individuels. Ces tâches représentent, 
-      de manière large, des ensemble de travaux ou des choses que 
-      vous voulez faire sur votre machine tels que 
-      «&nbsp;environnement bureautique&nbsp;» ,
+      C'est pour cette raison que vous pouvez d'abord choisir 
+      les <em>tâches</em>, et, par la suite ajouter  
+      des paquets au cas par cas. Ces tâches représentent, 
+      approximativement, les diverses choses qu'on peut faire avec un 
+      ordinateur, par exemple, 
+      «&nbsp;bureautique&nbsp;» ,
       «&nbsp;développement en C&nbsp;» ou «&nbsp;serveur de
       fichiers&nbsp;».
     <p>
       Chaque tâche peut être mise en surbrillance et grâce à
-      «&nbsp;Task Info&nbsp;» vous pouvez obtenir plus d'informations 
-      sur la tâche en question. Ceci vous montre une description 
-      détaillée ainsi que les listes de paquets qui seront installés 
-      par cette tâche. Un tableau répertoriant la taille approximative de
-      l'ensemble des tâches proposées se trouve dans 
+      «&nbsp;Task Info&nbsp;» vous pouvez obtenir plus d'informations. 
+      Une description détaillée ainsi que la liste des paquets qui seront 
+      installés est affichée. Un tableau répertoriant la taille approximative 
+      de l'ensemble des tâches proposées se trouve dans 
       <ref id="tasksel-size-list">.
      <p>
-      Une fois que vous avez défini les tâches que vous souhaitiez, 
-      sélectionnez «&nbsp;Finish&nbsp;». A ce moment là, 
+      Une fois que vous avez choisi les tâches,  sélectionnez 
+      «&nbsp;Finish&nbsp;». A ce moment là, 
       <prgn>apt-get</prgn> installera les paquets que vous avez sélectionné.
       Notez que si vous n'avez sélectionné aucune tâche, tous les paquets
       standards, importants ou nécessaires qui ne sont pas encore installés
-      seront installé. Cette fonctionnalité est la même que celle qui est
+      seront installés. Cette fonctionnalité est la même que celle qui est
       réalisée par la commande tasksel -s en ligne de commande, et qui 
       représente pour le moment 37&nbsp;Mo d'archives. On vous montrera
       le nombre de paquets qui seront installés, ainsi que, si besoin est, 
       la quantité de paquets en kilo-octets, qui devra être téléchargée.
     <p>
-      Parmi les &num-of-distrib-pkgs; paquets disponibles dans Debian, 
+      Des &num-of-distrib-pkgs; paquets disponibles dans Debian, 
       seule une petite minorité est traitée par les tâches proposées
       dans l'installateur de tâches. Pour obtenir des informations 
       sur les paquets supplémentaires, utilisez soit <tt>apt-cache 
       search <var>chaîne-de-recherche</var> pour une chaîne de caractères
       donnée (regardez le page de manuel <manref name="apt-cache" 
-      section="8">) ou bien exécutez <prgn>dselect</prgn> comme décrit
+      section="8">) ou bien le programme <prgn>dselect</prgn> comme décrit
       ci-dessous.
 
   <sect id="install-advanced">
-    <heading>Sélection avancée de paquet avec <prgn>deselect</prgn></headling>
+    <heading>Sélection «&nbsp;avancée&nbsp;» de paquet avec <prgn>deselect</prgn></headling>
     <p>
-      Si vous avez choisi l'option de sélection de paquet 
-      «&nbsp;avancée&nbsp;», vous allez être dirigé sur le programme
-      <prgn>dselect</prgn>. Il est nécessaire de suivre les consignes du <url
-      id="&url-local-dselect-beginner;" name="Tutoriel dselect">
+      Si vous avez choisi la sélection avancée 
+      des paquets, vous allez être dirigé sur le programme
+      <prgn>dselect</prgn>. Il est nécessaire d'avoir lu le <url
+      id="&url-local-dselect-beginner;" name="guide de dselect">
       avant de lancer <prgn>dselect</prgn>. 
-      <prgn>dselect</prgn> vous permet de sélectionner les <em>paquets</em>
+      <prgn>dselect</prgn> permet de sélectionner les <em>paquets</em>
       à installer sur votre système. Vous devez être le super-utilisateur
       (root) pour exécuter <prgn>dselect</prgn>.
 
   <sect>Se connecter
     <p>
-      Après que vous ayez installer des paquets, vous vous retrouverez 
-      face à l'invité de connexion (login). Connectez-vous en utilisant
+      Après que vous avez installé des paquets, vous vous retrouverez 
+      face à l'invite de connexion (login). Connectez-vous en utilisant
       le nom d'utilisateur et le mot de passe que vous avez choisi. Votre
       système est maintenant prêt à être utilisé.
     <p>
       Si vous êtes un nouvel utilisateur, vous voudrez peut-être
       parcourir la documentation qui sera installée sur 
       votre système quand vous commencerez à l'exploiter. Il existe
-      différent système de documentation&nbsp;; un travail est actuellement
+      plusieurs systèmes de documentation&nbsp;; un travail est actuellement
       en cours afin de les intégrer dans un tout cohérent. Vous trouverez
       ci-dessous quelques points de départ.
     <p>
       La documentation qui accompagne les programmes que vous avez installés
       se trouve dans le répertoire <file>/usr/share/doc/</file>, dans un
       sous-répertoire qui porte le nom du programme. Par exemple, 
-      le Guide de l'utilisateur <prgn>apt</prgn>, qui installe d'autre
-      programme sur votre système, se situe dans le fichier 
+      le Guide de l'utilisateur d'apt, programme qui installe d'autres
+      programmes sur votre système, se situe dans le fichier 
       <file>/usr/share/doc/apt/guide.html/index.html</file>.
     <p> 
       De plus, il y a quelques répertoires particuliers dans la
@@ -777,8 +778,8 @@
       installés au format .gz dans les répertoires 
       <file>/usr/share/doc/HOWTO/en-txt/</file> et 
       <file>/usr/share/doc/HOWTO/en-txt/mini/</file>. Le
-      répertoire <file>/usr/share/doc/HTML/index.html</file>
-      contient des index ,que l'on peut parcourir, sur le contenu
+      fichier <file>/usr/share/doc/HTML/index.html</file>
+      contient des index, que l'on peut parcourir, sur le contenu
       de la documentation installée par <prgn>dhelp</prgn>.
     <p>
       Un moyen facile de consulter ces documents est d'exécuter
@@ -787,15 +788,15 @@
       répertoire courant).
      <p>
       Vous pouvez aussi taper <tt>info (commande)</tt> ou <tt>man 
-      (commande)</tt> pour voir la documentation disponible
-      de la plupart des commandes disponibles depuis l'interpréteur de
+      (commande)</tt> pour obtenir des informations
+      sur la plupart des commandes disponibles depuis l'interpréteur de
       commandes. En tapant <tt>help</tt>, vous afficherez l'aide sur les 
-      commandes de l'interpréteur de commandes. Et, si vous tapez une commande 
-      suivie par <tt>--help</tt>, en général règle générale, on vous
-      affichera un court résumé sur l'usage de cette commande. Si le résultat 
+      commandes de l'interpréteur de commandes. Et si vous tapez une commande 
+      suivie par <tt>--help</tt>, un court résumé sur 
+      l'usage de cette commande sera affiché. Si le résultat 
       d'une commande défile au-delà du haut de l'écran, tapez <tt>| more</tt> 
       après la commande de façon à provoquer une pause entre chaque écran. 
-      Pour voir une liste de toutes les commandes disponibles qui commence 
+      Pour voir une liste de toutes les commandes disponibles qui commencent 
       par une lettre donnée, tapez cette lettre, suivie de deux fois la 
       touche de tabulation.
      <p>

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