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[ddr] webwml:/ports/powerpc/*



Bonjour tout le monde,

Si on omet hurd, je vous confie la dernière architecture non traduite.

Merci de vos relectures, Thomas.

PS: J'ai mis la nouvelle version de keycodes.wml
#use wml::debian::template title="PowerPC Keycodes Change" NOHEADER="yes"
#use wml::fmt::verbatim
#include "$(ENGLISHDIR)/ports/powerpc/menu.inc"
#use wml::debian::translation-check translation="1.6" maintainer="Thomas Marteau"


<h2>Alerte concernant les codes de touche de Linux pour PowerPC&nbsp;!</h2>

<p>Si vous utilisez un noyau compilé avant avril 2001 et vous songez à 
faire une mise à jour vers <i>Woody</i>, vers un noyau plus récent ou bien 
un changement dans la descriptif de votre clavier, il est 
ESSENTIEL d'être au courant du changement Debian des codes de touche pour 
PowerPC dans <i>Woody</i>.</p>

<p>Voilà ce qui s'est passé&nbsp;: pour inscrire PowerPC dans le source 
original de Linux et éliminer les conflits présents et futurs, le paquet 
<i>console-data</i> de <i>Woody</i> a remplacé les descriptifs des codes 
clavier ADB (qui étaient la norme pour les noyaux PowerPC) par ceux 
fournies par Linux. Les définitions de codes de touche ADB ne sont plus 
officiellement soutenues par Debian.</p>

<p>Le système d'installation de noyau a été modifié en conséquence et ainsi 
les noyaux nouvellement installés utilisent les codes de touche de Linux et 
non ceux de ADB. Ceci est un changement définitif&nbsp;; un noyau compilé sans 
la fontionnalité des codes de touche ADB ne peut pas gérer les descriptifs 
ADB. Les codes de touche sont une caractéristique de la nouvelle couche 
d'entrée qui va devenir à terme le standard pour la gestion de tous les 
périphériques d'entrée pour toutes les architectures pour les versions 
postérieures au cycle des noyaux 2.4.</p>

<p>Si vous préférez conserver la norme ADB pour le moment mais que le noyau 
que vous utilisez a été compilé avec <code>CONFIG_MAC_ADBKEYCODES=n</code>, 
vous pouvez le recompiler avec <code>CONFIG_MAC_ADBKEYCODES=y</code>  
et continuer d'utiliser un descriptif ADB.</p>

<p>Les descriptifs des claviers mac/apple pour les codes de touches ADB 
sont très différents de ceux Linux. C'est pourquoi vous devez être 
prêt. Si vous ne coordonnez pas vos instructions lors du démarrage, votre 
noyau et son descriptif de clavier, un jour vous allez taper 
«&nbsp;root&nbsp;» et vous lirez à l'écran «&nbsp;sswj&nbsp;». Une situation 
très déconcertante.</p>


<h2>Planifier à l'avance</h2>

<p>Un cas classique est de mettre à jour depuis <i>Potato</i> vers 
<i>Woody</i>. À ce moment, une boîte de dialogue a été incorporé quand 
<i>console-data</i> est mis à jour. Une vérification est faite pour savoir 
quel noyau vous utilisez lors de cette mise à niveau et si vous utilisez
la fonctionnalité ADB, vous serez averti de la situation et il faudra faire 
un choix.</p>

<p>Maintenant que vous êtes incollable sur le sujet, il vous sera facile de 
faire un choix. Mettez un descriptif de clavier pour le démarrage et 
puis après la mise à niveau du système fini (MAIS avant de redémarrer), 
modifiez votre configuration de démarrage (<code>quik.conf</code> ou 
<code>yaboot.conf</code>) pour ajouter une ligne comme suit à la section 
<i>kernel image</i> vous utiliser au démarrage&nbsp;:</p>
<pre>
append="keyboard_sends_linux_keycodes=1"
</pre>

<p>Si vous avez déjà une option <code>append=</code>, ajoutez-le au reste 
à l'intérieur des guillemets comme cela</p>
<pre>
append="video=ofonly keyboard_sends_linux_keycodes=1"
</pre>

<p>N'oubliez pas d'exécuter <code>quik</code> ou <code>ybin</code> après 
avoir fini l'édition du fichier de configuration pour modifier les fichiers 
chargés du démarrage en conséquence.</p>

<p>Une autre apparition du problème est  lors de la mise à jour de X depuis 
4.0.x vers 4.1.x avec un noyau avec les codes de touche ADB. Votre 
<i>XF86Config-4</i> a probablement pour le paramètre <i>XkbModel</i> la valeur 
"macintosh" mais sa signification a aussi changé pour celle d'un clavier 
macintosh utilisé avec les codes de touche Linux. Si vous conservez ceux ADB, 
vous devrez mettre la valeur "macintosh_old".</p>

<h2>Les installations de <i>Woody</i></h2>

<p>Pour une installation (et non une mise à jour) de <i>Woody</i>, 
vous aurez un descriptif de clavier Linux et un noyau avec les codes de 
touche Linux. Donc, tout va correspondre et vous aurez aucun souci. 
Sauf si...</p>

<p>Sauf si vous changez le noyau après l'installation et que vous validez 
la fonction ADB. Alors vous aurez le problème strictement inverse. Ou 
alors...</p>

<p>Ou alors vous changez le descriptif de clavier manuellement en 
sélectionnant depuis /usr/share/keymaps/mac. Tous les descriptifs de
clavier sont ceux ADB et ne fonctionnent pas avec les codes de touche 
Linux&nbsp;!</p>


<h2>Cela ne m'arrivera pas -- L'expérience montre que SI</h2>

<p>Donc, comment vous sauver lorsqu'en tapant root, vous lisez sswj&nbsp;? 
Ou à l'envers, vous tapez (tab)ssw et lisez root&nbsp;?</p>

<p>Les utilisateurs de Linux déteste éteindre leurs ordinateurs. Et votre 
système de fichiers se corrompt à chaque fois un petit peu plus. Cette 
corruption peut être ou non corrigée. Donc, voilà quelques suggestions 
pour éteindre grâcieusement votre système si cela arrive.</p>

<p>Si vous avez installé <i>ssh</i> sur votre système et vous pouvez vous 
connecter depuis une autre machine, vous pouvez temporairement corriger 
le problème à distance. Logez vous sur le compte <i>root</i> et 
faites ceci&nbsp;:</p>

<verbatim>
cd /proc/sys/dev/mac_hid/
echo 0 > keyboard_lock_keycodes
echo 1 > keyboard_sends_linux_keycodes
</verbatim>

<p>Votre clavier répondra alors normalement jusqu'au prochain redémarrage. 
Servez-vous de cette opportunité pour synchroniser votre descriptif de 
clavier, votre noyau et votre gestionnaire de démarrage&nbsp;!</p>

<p>Si votre système a une combinaison de touches pour le redémarrer ou 
l'éteindre, vous pouvez utiliser les tables ci-dessous pour trouver ce 
qu'est devenue cette combinaison. Sur PowerPC, un combo de touche classique est
Control-Shift-Delete. Avec un descriptif de clavier ADB chargé, 
interprétée comme des codes de touches Linux, cela devient Control-F6-F12. 
Dans le cas opposé, à savoir un descriptif Linux, interprété par 
un noyau ADB, il vous faudra appuyer sur Shift-AltGr-Equals. Bonne chance.</p>

<p>Mon clavier n'a pas la touche Delete, donc quand j'ai le descriptif 
de clavier Linux chargé par un noyau avec ADB, je devine grâce à la table
que pour se loger en tant que <i>root</i>, il faut taper 2==3 validé par F5. 
Pour le mot de passe, j'utilise encore la table. Pour redémarrer, je tape 
21 tab ==3 validé par F5. Vous pouvez aussi utiliser <i>halt</i> p]j3 validé 
par F5.</p>

<p>Certains caractères ne peuvent être tapés avec le mauvais descriptif 
de clavier. Ceci explique les blancs laissés dans les tables.</p>

<h2>Descriptif de clavier Linux chargé par un noyau configuré pour ADB</h2>

<p>&nbsp;</p>

<pre>
Si vous voulez&nbsp;:  a b   c d e f g h i j      k l m n     o p q r s t u v w
Au lieu, tapez&nbsp;:  ] TAB m u 1 [ i p 5 Return l j ` Space = 9 y 2 o 3 6 . t

               x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 *   /  [ ] ,         = - ` \ ;
               n 4 / b d f h g z x c v   Alt F7 7 - Backspace w q ; , '

              Control Shift     Enter Tab Backspace Fwd-Del Space
              F6      Ctrl or \ F5, 8 r   e         F12     CapsLock

              Home   NumLock   Clear  AltGr =(numkpd) Escape F11 F12
              Clear  +(numkpd) F6-6   Shift Fwd-Del   s      kp-5 kp-6

              F1         F2          F3         F4       F7   F9  
              Left-Arrow Right-Arrow Down-Arrow Up-Arrow kp-. kp-*

              Left-Arrow Right-Arrow Up-Arrow Down-Arrow
              F13                    F11      
</pre>

<h2>Noyau avec les codes de touches Linux mais le descriptif ADB</h2>

<pre>
Si vous voulez&nbsp;: a b c d e         f g h i j k l m n o p q r   s   t u v w
Au lieu, tapez&nbsp;: 0 7 1 Backspace 2 4 3 g l ' k c x s h - Tab Esc w d 8 = 

              x y z 0       1 2 3 4 5 6 7 8      9 * /  [ ] , = - ` ; 
              6 q 5 Control e r t y i u [ Return p   z  f a \ o ] m ` 

              Control Shift Return Tab Backspace Fwd-Del   \     Space
              Shift   AltGr j      b   ,         =(numkpd) Shift n

              Clear  AltGr    =(numkpd) CapsLock Escape Alt
              Home   CapsLock Fwd-Del   Space    /       kp-*

              F1 F2 F3 F4 F5    F6   F7 F8 F9 F0 F11 F12
                          Enter Ctrl /               Fwd-Del

              Left-Arrow Right-Arrow Up-Arrow Down-Arrow
              F1         F2          F4       F3
</pre>


<h2>Comment savoir où vous en êtes</h2>

<p>Les descriptifs de clavier n'ont pas de commentaires à l'intérieur. Donc, 
si vous vous demandez quel type de descriptif vous utilisez, vous pouvez 
toujours regarder la ligne concernant les codes de touche 1 avec</p>
<pre>
zgrep 'keycode *1 =' /etc/console/boottime.kmap.gz 
</pre>
<p>Si <i>keycode 1 = Escape</i>, c'est la version Linux (celle pour i386) de
le descriptif de clavier.</p>
<p>Si <i>keycode 1 = s</i>, c'est celle ADB (excepté les dvorak ADB où on 
obtient <i>keycode 1 = o</i>).</p>

<p>Les fichiers de configuration <i>config-XXXXX</i> de /boot vous informent 
sur le type de noyau que vous utilisez et si la fonctionnalité des 
descriptifs de touches ADB est active. Pour le découvrir, faites</p>
<pre>
grep MAC_ADB /boot/*
</pre>
<p>Vous devriez avoir en réponse une liste de fichiers de configuration 
pour les noyaux utilisables. S'il existe une entrée comme</p>
<pre>
/boot/config-2.4.12-powerpc:CONFIG_MAC_ADBKEYCODES=y
</pre>
<p>alors votre noyau est compilé avec les descriptifs ADB. Si la 
dernière lettre est <i>n</i>, c'est un noyau avec les codes de touche 
Linux.</p>

<h2>Comment régler le problème</h2>

<p>Une fois que le système fautif est éteint, vous aurez toujours 
à régler le problème. Comment savoir ce qu'il faut faire&nbsp;? 
Il vous faudra surement utiliser votre disquette de dépannage ou bien 
démarrer sur une autre partition pour corriger tout ça.</p>

<p>Si votre problème est un noyau avec le support ADB tentant d'utiliser un 
descriptif de touches Linux, ajoutez simplement</p>
<pre>
keyboard_sends_linux_keycodes=1
</pre>
<p>lors de l'affichage du prompt de démarrage après avoir tapé le nom de 
l'image du noyau. Mais c'est une solution qui ne marche qu'un temps. 
Il va donc faire que ce changement soit permanent en modifiant votre 
fichier de configuration du démarrage et de le valider auprès de votre
gestionnaire de démarrage.</p>

<p>Si votre problème est le cas contraire (à savoir un noyau avec les codes 
clavier Linux mais un descriptif ADB), vous devez abandonner le 
descriptif ADB. Vous pouvez copier n'importe quel descriptif du 
répertoire /usr/share/keymaps/i386. Il a du choix. Par exemple</p>
<pre>
cd /usr/share/keymaps/i386/qwerty/
cp mac-usb-us.kmap.gz /etc/console/boottime.kmap.gz
</pre>
#use wml::debian::template title="Portage pour PowerPC (APUS)" NOHEADER="yes"
#include "$(ENGLISHDIR)/ports/powerpc/inst/menu.inc"
#use wml::debian::translation-check translation="1.11" maintainer="Thomas Marteau"

<h1>Installation Debian GNU/Linux sur une machine PowerPC APUS</h1>

<p>Apus est l'acronyme pour <i>«&nbsp;Amiga PowerUp System&nbsp;»</i> et 
consiste en un ordinateur Amiga, A1200, A3000 ou A4000. Ils ont tous une des 
cartes accélératrices pour PowerPC/m68k de la société maintenant fermée 
Phase5, la BlizzardPPC ou la CyberStormPPC.</p>

<h2>Problèmes connus</h2>

<p>Il existe certains problèmes avec l'amorçage des systèmes qui n'utilisent 
pas uniquement PowerUp ou WarpUp mais des hybrides mutants des deux. 
Je ne suis pas famillier de ce genre de matériel vu que j'utilise un système 
totalement powerup. Donc, j'espère que quelqu'un puisse contribuer pour 
que l'on ait une description plus complète.</p>

<p>Aussi, le contrôleur SCSI de la CyberStormPPC n'est pas encore géré par 
Linux. Pour le moment, on ne peut pas utiliser de disque avec.</p>

<h2>Partitionnez depuis AmigaOS</h2>

<p><code>amiga-fdisk</code> est une variante de <code>fdisk</code> pour 
les tables de partition RDB utilisées par le matériel Amiga. Cela fonctionne 
mais je vous conseille d'utiliser les outils de partitionnement Amiga 
depuis AmigaOS.</p>

<p><code>HDToolbox</code>, l'outil officiel de partitionnement de Commodore, 
devrait être installé sur tout système AmigaOS. Lancez simplement 
<code>HDToolbox</code> devrait partitionner le disque IDE liée à l'interface 
IDE intégrée sur la carte. Si vous voulez accéder au disque SCSI 
lié au contrôleur de votre carte BlizzardPPC, utilisez la commande 
<code>hdtoolbox blizzppcscsi.device</code>.</p>

<p>Une autre option est d'utiliser <code>SCSIConfig</code>, le partitionneur 
de Phase5 qui est fourni avec les disquettes qui sont données avec la carte 
accélératrice.</p>

<p>Vous devez mettre le type de partitionà <i>custom</i> et fournir les IDs 
de partition suivants&nbsp;:</p>
<pre>
  * Linux partition: 0x4c4e5800
  * Linux swap partition: 0x53575000
</pre>

<h2><code>Bootstrap</code></h2>

<p>Vous trouverez le programme <code>bootstrap</code> dans le 
répertoire <code>apus/bootstrap</code> des disquettes de démarrage 
de la distribution powerpc (disponible dans 
/debian/dists/woody/main/disks-powerpc/current).</p>

<p>Le programme <code>bootstrap</code> en contient trois. Ils doivent être 
exécutables et dans votre chemin sur votre AmigaOS. Il y a l'exécutable 
<code>bootstrap</code> et les parties <i>ppcboot_wup</i> ou <i>ppcboot_pup</i>,
qui est l'actuelle amorce (ppcboot_pup pour les systèmes powerup et 
ppcboot_wup pour ceux warpup).</p>

<p>Vous lancez <code>bootstrap</code> comme ceci&nbsp;:
<pre>
\# bootstrap --apus "kernel options"
</pre>
où "kernel options" sera défini comme l'expliquent les sections suivantes.</p>

<p><code>bootstrap</code> va écrire sur la sortie standard et faire 
clignoter l'écran pour 10 à 30 secondes et vous aurez une console Linux.</p>

<h3>La commande <code>bootstrap</code> Debian</h3>

<p>L'actuelle commande <code>bootstrap</code> pour démarrer l'installateur 
Debian devrait être&nbsp;:
<pre>
\# bootstrap --apus -k apus/linux -r apus/images-1.44/root.bin root=/dev/ram
</pre>
Après l'installation, pour démarrer Debian, utilisez&nbsp;:
<pre>
\# bootstrap --apus -k apus/linux root=/dev/sda3
</pre>
où sda3 est la partition racine de Debian, changez-la pour convenir à votre 
système.</p>


<h2>Les options pour le noyau</h2>

<p>Vous allez devoir ajouter des options au noyau selon votre configuration, 
qui vont être expliquées dans les sections suivantes.

<h3>Les options pour la carte graphique</h3>

<p>L'option pour le périphérique graphique est d'habitude précédé par 
<i>video=</i>. Voici quelques exemples. Pour activer le système graphique en 
mode VGA en résolution 640x480&nbsp;:</p>
<pre>
  video=amifb:vga
</pre>
<p>Pour activer la carte graphique Bvision/CyberVision en 1152x864 à 60Hz, 
avec les polices SUN12x22&nbsp;:</p>
<pre>
  video=pm2fb:mode:1152x864-60,font:SUN12x22
</pre>

<p>Pour désactiver un des périphériques graphiques&nbsp;:</p>
<pre>
  video=amifb:disable
</pre>
<p>Vous pouvez associer des consoles virtuelles à différents périphériques. 
utilisez&nbsp;: 
<tt>
  video=map:01
</tt>
pour associer à la console virtuelle (vc) 1 au périphérique 0, vc 2 à celui
1 et ensuite répéter le même chemin (vc3 à celui 0, vc4 à celui 1, etc.
Pour associer vc 1,2,3,5,6,7 au périphérique 0 et vc 4,8 au périphérique 1, 
vous utiliserez&nbsp;:</p>
<pre>
  video=map:0001
</pre>


<h3>L'option nobats</h3>

<p>Les utilisateurs de Blizzard avec disque SCSI devront utiliser l'option
«&nbsp;nobats&nbsp;».</p>
<pre>
\# bootstrap --apus -k apus/linux root=/dev/sda3 nobats
</pre>

<h3>L'option 60nsram</h3>

<p>Si vous avez de la mémoire RAM cadencée à 60ns, vous devriez utiliser 
l'option «&nbsp;60nsram&nbsp;».</p>
<pre>
\# bootstrap --apus -k apus/linux root=/dev/sda3 60nsram
</pre>

<h3>Les options de débogage</h3>

<p>Si vous avez des problèmes, vous pouvez utiliser les options de 
débogage pour spécifier la sortie de message à la console pour les rediriger 
vers la sortie série ou vers la mémoire. Ceci est pratique pour déboguer 
quand les messages du noyau ne s'affichent pas sur la console.</p>
<pre>
\# bootstrap --apus -k apus/linux root=/dev/sda3 60nsram debug=mem
</pre>
<p>Après, vous pouvez lire le résultat avec l'utilitaire <i>bootmesg</i> 
dans le répertoire apus/bootstrap.</p>

<p>Un autre outil pratique est l'utilitaire <i>dmesg</i> qui vous donne les 
information de débogage depuis le processus d'amorce.</p>

<h2>Les spécificités Apus dans <code>dbootstrap</code></h2>

<p>Il existe des différences spécifiques pour apus dans l'utilisation
de <code>dbootstrap</code>.</p>

<h3>Partitionnez le disque dur - <code>amiga-fdisk</code></h3>

<p>La sous-architecture apus utilise l'outil de partionnenment 
<code>amiga-fdisk</code>. Comme il est marqué ci-dessus, vous 
pouvez utiliser les outils d'AmigaOS.</p>

<h3>Installez le noyau et ses modules</h3>

<p>Cette option ne fonctionne pas actuellement. Je suis en cours de 
proposition pour qu'une option <i>«&nbsp;Install the OS Modules&nbsp;»</i> 
la remplace. Mais pendant ce temps-là, passez à l'étape suivante. 
Le noyau n'est pas nécessaire vu qu'il réside sur le </p>
# <!-- FIXME Sven?? server? network? -->

<h3>Les options non applicables à Apus</h3>

<p>Certaines options n'ont pas de sens pour les Apus. Tant qu'elles 
seront dans le menu, ignorez-les. Elles ne fonctionnent pas de toute 
manière.</p>

<p>Ces options sont&nbsp;:
<pre>
* Make System Bootable directly from the Hard Disk.
  (Rendre le système amorçable depuis le disque dur)

* Make a Boot Floppy.
  (Faire les disquettes de démarrage)

* Eject the Floppy.
  (Éjecter la disquette)
</pre>

<h2>Liens pour plus d'information</h2>

<p>La documentation et la FAQ officielles de Linux-apus&nbsp;:</p>

<p><a href="http://sourceforge.net/projects/linux-apus/";>
http://sourceforge.net/projects/linux-apus/</a></p>

<p>Une autre source d'information valable est le site et la FAQ de 
Linux-m68k&nbsp;:</p>

<p><a href="http://sourceforge.net/projects/linux-m68k/";>
http://sourceforge.net/projects/linux-m68k/</a></p>

<p>Vous y trouverez plein d'information à propos de Linux sur la plate-forme 
Amiga qui est commune à Linux-m68k et à Linux-apus.

<h2>Conclusion</h2>

<p>En résumé, ce petit guide essaie d'expliquer les particularités de 
l'installation de Debian avec Linux-apus. Le reste est proche de 
n'importe quelle autre installation Debian/powerpc, ou bien même une 
installation Debian classique. Vous trouverez plus d'information dans 
le <a href="$(DOC)/">répertoire de documentation de Debian</a> ainsi que 
dans d'autres sites d'information généralistes sur le sujet de Linux.</p>
#use wml::debian::template title="Portage pour PowerPC -- Installation" NOHEADER="yes" #include "$(ENGLISHDIR)/ports/powerpc/inst/menu.inc" #use wml::debian::translation-check translation="1.17" maintainer="Thomas Marteau"

Installation de Debian GNU/Linux pour les machines PowerPC

Allez sur les pages suivantes pour des informations spécifiques concernant l'installation de Debian/PowerPC sur votre système :

Il existe quatre principales d'adaptation de powerpc : PMac (Power-Macintosh), Apus, CHRP et PReP. Les portages pour d'autres architectures powerpc, tels que la Be-Box et l'architecture MBX, sont en cours mais pas encore intégrés par Debian. Nous aurons peut-être un portage 64-bits (Power3) dans le futur.

Apple (et quelques autres fabricants - Power Computing, par exemple) produit des séries d'ordinateurs Macintosh basés sur un processeur PowerPC. Pour une meilleure gestion de cette architecture, ces séries portent les noms de Nubus, OldWorld PCI et NewWorld.

Les systèmes Nubus ne sont pas gérés par debian/powerpc. Le noyau monolithique Linux/PPC ne fonctionne pas sur ce type de machine ; cependant, le microkernel MkLinux Mach marche mais Debian ne le fournit pas encore. Cette gamme concerne les Power Macintosh 6100/7100/8100.

Les systèmes OldWorld représentent les Power Macintosh avec un lecteur de disquette et un bus PCI. Les modèles Power Macintosh 603, 603e, 604 et 604e sont des machines OldWorld. Le G3 de couleur beige est aussi OldWorld.

Les PowerMacs appelés NewWorld sont tous les PowerMacs avec une tour en plastique de couleure translucide. Les PowerMacs NewWorld sont aussi connus pour utiliser le système `ROM in RAM' pour MacOS et ils sont fabriqués depuis le milieu de l'année 1998.

Voici une liste de machines powerpc qui devraient fonctionner avec Debian.

Nom ou numéro du modèle Architecture
Apple
iMac Bondi Blue, 5 Versions, Slot Loading powermac-NewWorld
iMac Été 2000, Début 2001 powermac-NewWorld
iBook, iBook SE, iBook USB Double powermac-NewWorld
iBook2 powermac-NewWorld
Power Macintosh Bleu et Blanc (B&W) G3 powermac-NewWorld
Power Macintosh G4 PCI, AGP, Cube powermac-NewWorld
Power Macintosh G4 Gigabit Ethernet powermac-NewWorld
Power Macintosh G4 Digital Audio, Quicksilver powermac-NewWorld
PowerBook G3 FireWire Pismo (2000) powermac-NewWorld
PowerBook G3 Lombard (1999) powermac-NewWorld
PowerBook G4 Titanium powermac-NewWorld
Performa 4400, 54xx, 5500 powermac-OldWorld
Performa 6300, 6360, 6400, 6500 powermac-OldWorld
Power Macintosh 4400, 5400 powermac-OldWorld
Power Macintosh 7200, 7300, 7500, 7600 powermac-OldWorld
Power Macintosh 8200, 8500, 8600 powermac-OldWorld
Power Macintosh 9500, 9600 powermac-OldWorld
Power Macintosh (Beige) G3 Minitour powermac-OldWorld
Power Macintosh (Beige) Bureau, Tout-en-Un powermac-OldWorld
PowerBook 2400, 3400, 3500 powermac-OldWorld
PowerBook G3 Wallstreet (1998) powermac-OldWorld
Twentieth Anniversary Macintosh powermac-OldWorld
Workgroup Server 7250, 8550, 9650, G3 powermac-OldWorld
Power Computing
PowerBase, PowerTower / Pro, PowerWave powermac-OldWorld
PowerCenter / Pro, PowerCurve powermac-OldWorld
UMAX
C500, C600, J700, S900 powermac-OldWorld
APS
APS Tech M*Power 604e/2000 powermac-OldWorld
Motorola
Starmax 3000, 4000, 5000, 5500 powermac-OldWorld
Firepower, PowerStack Series E, PowerStack II PReP
MPC 7xx, 8xx PReP
MTX, MTX+ PReP
MVME2300(SC)/24xx/26xx/27xx/36xx/46xx PReP
MCP(N)750 PReP
IBM RS/6000
40P, 43P PReP
Power 830/850/860 (6070, 6050) PReP
6015, 6030, 7025, 7043 PReP
p640 PReP
Amiga Power-UP Systems (APUS)
A1200, A3000, A4000 APUS

Voici une liste de machines que Debian ne gère pas. Elles peuvent peut-être fonctionner et si tel est le cas, nous aimerions le savoir.

Nom ou numéro du modèle Architecture
IBM Longtrail II, First 'free' or 'open' PowerPC Board CHRP
7248-100,7248-120,7248-132 PReP
Notebook Thinkpad 820: 7247-821/822/823 PReP
Notebook Thinkpad 850: 7247-851/860 PReP
#use wml::debian::template title="Portage pour PowerPC (PReP)" NOHEADER="yes"
#include "$(ENGLISHDIR)/ports/powerpc/inst/menu.inc"
#use wml::debian::translation-check translation="1.14" maintainer="Thomas Marteau"

<center> 
<h1>La page PReP pour Debian GNU/Linux PowerPC</h1>
</center>
 
<h3>Introduction</h3>

<p>IBM et Motorola tous les deux fabriquent ou ont fabriqué des machines à
base d'architecture PReP. Jusqu'à maintenant, le test pour PReP n'a été 
réalisé que sur les systèmes du fabricant Motorola, PowerStack(tm) 
(à carte mère Blackhawk, Comet, Utah) et l'actuelle solution embarquée 
de la famille PowerPlus(tm). Celle-ci inclut les modèles MTX, MTX+, 
MVME2300(sc)/2400/2600/2700/3600/4600 et MCP(n)750. IBM produit une 
gamme de station de travail au format bureau qui sont compatibles avec 
PowerPC PReP. Ce sont les RS/6000 40P, 43P, 830, 850, 860, 6015 et 6030.</p>

<h3>Problèmes Connus</h3>

<p>MTX+ (système MTX avec 7 emplacements PCI) ne peut pas démarrer sur un 
noyau&nbsp;2.2, il reste planté lors de l'initialisation du pilote IDE. 
Ceci est connu et il sera corrigé par une rustine noyau pour les versions 
suivantes.</p>

<p>Tous les systèmes Motorola PowerPlus ne supportent la gestion IDE du 
noyau. Ce problème a été identifié et corrigé. Les changements seront bientôt 
disponibles en tant que paquet Debian de rustine noyau et intégreront 
le source du noyau.</p>

<h3>Microcode (<i>Firmware</i>)</h3>

<p>Selon l'âge et le fabricant de votre système PReP, vous aurez 
PPCBUG (Motorola), Open Firmware (IBM ou Motorola) ou le microcode 
pour PReP de IBM. Les commandes de démarrage sont légèrement différentes 
mais tous ces systèmes implémentent le  standard pour PReP. Ainsi le 
même noyau peut être démarré sur toutes ces plates-formes. Une explication 
complète des commandes du microcode n'est pas le but de ce document mais 
une base d'information vous sera fournie si nécessaire.</p>

<h3>Mise en place de l'installation</h3>

<h4>Installation avec des disquettes</h4>

<p>Ecrivez les fichiers <code>boot1440.bin</code>, <code>root1440.bin</code>,
<code>resc1440.bin</code>, <code>drv14-*.bin</code> et les images sur des 
disquettes. <code>dd</code> peut être utilisé sur un système Linux/Unix ou 
<code>rawrite</code> pour DOS/Windows.</p>

<h4>Installation par le réseau</H4>

<p>Mettez les fichiers <code>resc1440.bin</code> et <code>drivers.tgz</code> 
sur un système de fichiers NFS exporté par votre serveur NFS. Le mieux est 
le mettre ainsi&nbsp;: <code>/[mountpoint]/debian/[installfiles]</code>.</p>

<p>Mettez le fichier <code>boot.bin</code> dans le répertoire tftp sur votre 
serveur TFTP.</p>

<h4>Options de la console</h4>

<p>Sur les systèmes Motorola PPCBUG, vous pouvez démarrer et installer en 
utilisant soit la console VGA ou celle série. PPCBUG et Linux retournent 
à la console série automatiquement s'ils ne détectent pas de sortie VGA ou de 
clavier.</p>

<p>Dans le cas d'une installation via une console série, pour voir proprement 
l'installateur, certaines capacités de l'émulateur de terminal sont 
nécessaires. Pour obtenir les couleurs, il vous faut un émulateur avec 
la fonctionnalité des couleurs ANSI. Le xterm standard fourni avec la 
plupart des distributions Linux est suffisant, comme la plupart des 
programmes  Windows (par exemple, <a
href="http://www.chiark.greenend.org.uk/~sgtatham/putty/";>PuTTY</a>).
Pour voir les caractères dessinant les lignes qui forment les boîtes de 
dialogue, il est essentiel que la police utilisée contienne les caractères
étendus IBM de tracé. Sous Linux, la police <i>linux8x8</i> peut être 
utilisé et sous Windows, <i>MSLineDraw</i>.</p>


<h3>Démarrage</h3>
<dl>
<dt> PPCBUG&nbsp;:
<dd> Utilisez la commande <code>ENV</code> pour activer l'option <i>Network 
PReP boot enable</i>&nbsp;;
<dd> Utilisez la commande NIOT pour configurer les adresses IP du client, 
du serveur et de la passerelle optionnelle qui seront utilisées pour tftp 
votre noyau. Si la carte est toute neuve, vérifiez que <tt>SET 
<var>&lt;date/time&gt;</var></tt> pour démarrer l'horloge matérielle sinon 
le réseau et d'autres choses ne seront pas opérationnelles.
<dt> Démarrer avec votre image&nbsp;:
<dd> PPCBUG&gt;NBO 0 0 ,,, bootprep.bin
<dt> OpenFirmware&nbsp;;
<dt> Utilisez la commande suivante pour démarrer en tftp l'image PReP&nbsp;:
<dd> &gt;boot &lsaquo;server_ipaddr&rsaquo;,&lsaquo;file&rsaquo;,&lsaquo;client_ipaddr&rsaquo;
</dl>



<h2>Installation de Debian</h2>
<ol>
<li>Configurez le clavier&nbsp;;

<p>Si la console est série, cette étape est inutile.</p>

<li>Partitionnez le disque dur&nbsp;;

<p>Créez une partition primaire de 2 Mo et changez son type pour celui <i>PPC 
PReP boot</i> (type 41). Les machines PReP avec <i>OpenFirmware</i> peuvent 
avoir des problèmes pour s'amorcer si la partition <i>PPC PReP boot</i> 
est autre part que la partition primaire n°1. Cependant, tous les systèmes 
Motorola PPCBUG gèrent cette partition tant qu'elle est primaire, 
il est d'usage de mettre cette partition sur <i>sda1</i> ou <i>hda1</i>.</p>

<p>Après avoir créé la partition <i>PPC PReP boot</i>, suivez les conventions 
usuelles de Linux pour le reste du partionnement. Au minimum, deux partitions, 
une pour votre système de fichiers et l'autre pour le <i>swap</i> doivent 
être créées et elles peuvent être autant des partitions primaires que 
logicielles.</p>

<li>Intallez depuis les disquettes <i>Rescue</i> et <i>Driver</i>&nbsp;;

<p>Installer depuis les disquettes est assez simple. Insérez les disquettes 
<i>Rescue</i> et <i>Driver</i> lorsque cela vous est demandé.</p>

<p>Pour une installation via le réseau, choisissez l'option NFS et 
il vous demandera de configurer le réseau. Quand il affiche pour savoir 
quel serveur NFS et quel répertoire, indiquez celui paramétré auparavant.
Pour le reste, laissez les options par défaut.</p>

<li> Configurez les modules pilotes&nbsp;;

<p>Pour le moment, les principaux modules sont intégrés au noyau donc ne 
faites rien.</p>

<li>Installez le système de base&nbsp;;

<p>Si vous faites une installation depuis les disquettes, insérez simplement 
les disquettes quand cela est demandé. Si l'installation est réalisée par 
NFS, entrez le serveur NFS et le répertoire dans lequel se trouve le système 
de base et poursuivez avec les options par défaut pour installer le système de 
base Debian.</p>

<li>Rendez amorçable votre disque dur&nbsp;;

<p>La phase suivante rend amorçable la partition <i>PPC PReP boot</i> 
précédemment faite. Si cette partition est manquante, un message d'erreur 
sera affiché.</p>

<li>Faites les disquettes de démarrage.

<p>Cela écrit une image amorçable vers la disquette.</p>
</ol>

<h2>Premier démarrage sur le système de base</h2>

<p>Si vous avez configuré une partition de type 41 <i>PPC PReP boot</i> et 
si le système d'installation l'a rendue amorçable alors il vous suffit de 
taper la commande de démarrage dans le microcode pour lancer le système depuis 
le disque dur (PPCBUG et OpenFirmware ont tous les deux une option 
<i>autoboot</i> activable).</p>

<p>Note&nbsp;: Pour que le noyau monte la bonne partition racine, 
il est nécessaire d'écrire une variable globale de l'environnement PReP, 
<i>bootargs</i>. Dans le cas d'une installation sur un PReP Motorola, il 
décide que cette partition est sda1 alors que votre système racine est sur 
sda2. Il faut donc ajouter <tt>bootargs=/dev/sda2</tt> .</p>

<p>PPCBUG</p>

<dl>
<dt>Mettez la valeur de <i>bootargs</i>&nbsp;
<dd>PPCBUG&gt;GEVEDIT bootargs
<dd>PPCBUG&gt;bootargs=root=/dev/sda2
<dt>Lancez le démarrage (pour l'exemple, on prend un disque SCSI sur le 
contrôleur 0, SCSI ID 0)&nbsp;;
<dd>PPCBUG&gt;PBOOT 0 
<dt>Lancez le démarrage (on prend ici un disque SCSI sur le contrôleur 0, 
SCSI ID X).
<dd>PPCBUG&gt;PBOOT 0 x0 
</dl>

<p>OpenFirmware</p>

<dl>
<dt>Lancez le démarrage (pour le disque IDE/SCSI installé en tant que 
disk0)&nbsp;;
<dd>&gt;boot disk0
<dt>Lancez le démarrage (pour le disque IDE/SCSI installé en tant que 
hdisk0).
<dd>&gt;boot hdisk0 
</dl>

<p>Maintenant, le noyau démarre depuis le disque dur.</p>

<hr>
Pour tout problème/suggestion/critiques sur l'installation sur PReP et sur 
sa documentation, écrivez à <a href="mailto:porter@debian.org";>Matt Porter</a>.

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