Re: 10 jours sous debian...
Francois BOTTIN a écrit :
>
> --- Charles Goyard <charles.goyard@laposte.net> wrote:
> > On peut donc noter l'existence du paquet equivs qui permet d'indiquer le
> > contenu de /usr/local/ au système de gestion de paquets.
> > Il s'agit d'un paquet bidon pour lequel on donne un certain nombre de
> > 'provides', que l'on compile, puis installe ensuite et c'est ok.
> >
>
> D'après ce que j'ai compris (mais je peux me tromper, bien sûr), tous les
> "trucs" non gérés par des paquetages de la distribution doivent se trouver
> sous /opt/<nom-du-truc>, d'après la FHS 2.1. Ca ne se substitue pas au
> fait qu'il faille toujours déclarer au système de gestion des paquets que
> "truc" est installé, mais c'est "plus propre", et surtout ça évite qu'une
> mise à jour (un peu trop) automatique n'écrase quelque chose installé à la
> main. Il me semble me rappeler que dans la FHS 2.1, il soit explicitement
> spécifié qu'aucun outil ne devait placer quoi que ce soit automatiquement
> dans /opt/* sans en prévenir l'administrateur avant, et les paquets ne
> doivent rien y mettre. A vérifier ...
>
> Personnellement, j'ai placé Java, StarOffice et NEdit sous /opt/*. Dans le
> cas de Java, il existe déjà des paquets qui en signalent la présence. Pour
> les deux autres, je ne connais pas de cas de dépendance ...
Bon, du coup: quelle est la différence entre /usr/local et /opt ?
Je viens de regarder dans le FHS2.1 et je dois avouer que la différence est
subtile. Tout ce que j'installe "à la main" se trouve dans /usr/local (modules
CPAN, deux trois prgs genre aviplay, etc...).
Par contre, j'ai dans /opt des outils propriétaires (sequelink) dont les
sources ne sont pas dispos.
--
Charles - Ni dieu ni root
! Kamikaz Raïa en concert le 20 octobre à Asnières en soutien au théatre
! Aspic, avec +++ et Matricule 000. http://perso.wanadoo.fr/stoudje/raia/
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