Le 21/12/2017 à 00:09, Eric Degenetais a écrit :
On ne peut pas le garantir, et ce n'est désormais plus important. Ce qu'il faut, c'est utiliser les device réels (pour l'instant /dev/sdcX) pour changer les labels en fonction d'un rôle de la partition (à cet égard, s'il n'y a qu'un seul swap, swap est le seul label plutôt bien choisi).
Je recommande de préfixer ou suffixer les étiquettes (LABEL et PARTLABEL) avec un identifiant représentatif de la machine ou du système. Ainsi en cas de branchement du disque pour maintenance ou récupération sur une autre machine qui adopte la même convention, il n'y aurait pas de conflit d'étiquettes ni de risque de confusion entre les partitions des différents disques.
Et ensuite utiliser les labels pour le montage, afin que les montages ne soient plus dépendants de l'ordre de détection des disques.
Dans ce cas ma recommandation est encore plus valable.