Bonjour tout le monde, Si on omet hurd, je vous confie la dernière architecture non traduite. Merci de vos relectures, Thomas. PS: J'ai mis la nouvelle version de keycodes.wml
#use wml::debian::template title="PowerPC Keycodes Change" NOHEADER="yes" #use wml::fmt::verbatim #include "$(ENGLISHDIR)/ports/powerpc/menu.inc" #use wml::debian::translation-check translation="1.6" maintainer="Thomas Marteau" <h2>Alerte concernant les codes de touche de Linux pour PowerPC !</h2> <p>Si vous utilisez un noyau compilé avant avril 2001 et vous songez à faire une mise à jour vers <i>Woody</i>, vers un noyau plus récent ou bien un changement dans la descriptif de votre clavier, il est ESSENTIEL d'être au courant du changement Debian des codes de touche pour PowerPC dans <i>Woody</i>.</p> <p>Voilà ce qui s'est passé : pour inscrire PowerPC dans le source original de Linux et éliminer les conflits présents et futurs, le paquet <i>console-data</i> de <i>Woody</i> a remplacé les descriptifs des codes clavier ADB (qui étaient la norme pour les noyaux PowerPC) par ceux fournies par Linux. Les définitions de codes de touche ADB ne sont plus officiellement soutenues par Debian.</p> <p>Le système d'installation de noyau a été modifié en conséquence et ainsi les noyaux nouvellement installés utilisent les codes de touche de Linux et non ceux de ADB. Ceci est un changement définitif ; un noyau compilé sans la fontionnalité des codes de touche ADB ne peut pas gérer les descriptifs ADB. Les codes de touche sont une caractéristique de la nouvelle couche d'entrée qui va devenir à terme le standard pour la gestion de tous les périphériques d'entrée pour toutes les architectures pour les versions postérieures au cycle des noyaux 2.4.</p> <p>Si vous préférez conserver la norme ADB pour le moment mais que le noyau que vous utilisez a été compilé avec <code>CONFIG_MAC_ADBKEYCODES=n</code>, vous pouvez le recompiler avec <code>CONFIG_MAC_ADBKEYCODES=y</code> et continuer d'utiliser un descriptif ADB.</p> <p>Les descriptifs des claviers mac/apple pour les codes de touches ADB sont très différents de ceux Linux. C'est pourquoi vous devez être prêt. Si vous ne coordonnez pas vos instructions lors du démarrage, votre noyau et son descriptif de clavier, un jour vous allez taper « root » et vous lirez à l'écran « sswj ». Une situation très déconcertante.</p> <h2>Planifier à l'avance</h2> <p>Un cas classique est de mettre à jour depuis <i>Potato</i> vers <i>Woody</i>. À ce moment, une boîte de dialogue a été incorporé quand <i>console-data</i> est mis à jour. Une vérification est faite pour savoir quel noyau vous utilisez lors de cette mise à niveau et si vous utilisez la fonctionnalité ADB, vous serez averti de la situation et il faudra faire un choix.</p> <p>Maintenant que vous êtes incollable sur le sujet, il vous sera facile de faire un choix. Mettez un descriptif de clavier pour le démarrage et puis après la mise à niveau du système fini (MAIS avant de redémarrer), modifiez votre configuration de démarrage (<code>quik.conf</code> ou <code>yaboot.conf</code>) pour ajouter une ligne comme suit à la section <i>kernel image</i> vous utiliser au démarrage :</p> <pre> append="keyboard_sends_linux_keycodes=1" </pre> <p>Si vous avez déjà une option <code>append=</code>, ajoutez-le au reste à l'intérieur des guillemets comme cela</p> <pre> append="video=ofonly keyboard_sends_linux_keycodes=1" </pre> <p>N'oubliez pas d'exécuter <code>quik</code> ou <code>ybin</code> après avoir fini l'édition du fichier de configuration pour modifier les fichiers chargés du démarrage en conséquence.</p> <p>Une autre apparition du problème est lors de la mise à jour de X depuis 4.0.x vers 4.1.x avec un noyau avec les codes de touche ADB. Votre <i>XF86Config-4</i> a probablement pour le paramètre <i>XkbModel</i> la valeur "macintosh" mais sa signification a aussi changé pour celle d'un clavier macintosh utilisé avec les codes de touche Linux. Si vous conservez ceux ADB, vous devrez mettre la valeur "macintosh_old".</p> <h2>Les installations de <i>Woody</i></h2> <p>Pour une installation (et non une mise à jour) de <i>Woody</i>, vous aurez un descriptif de clavier Linux et un noyau avec les codes de touche Linux. Donc, tout va correspondre et vous aurez aucun souci. Sauf si...</p> <p>Sauf si vous changez le noyau après l'installation et que vous validez la fonction ADB. Alors vous aurez le problème strictement inverse. Ou alors...</p> <p>Ou alors vous changez le descriptif de clavier manuellement en sélectionnant depuis /usr/share/keymaps/mac. Tous les descriptifs de clavier sont ceux ADB et ne fonctionnent pas avec les codes de touche Linux !</p> <h2>Cela ne m'arrivera pas -- L'expérience montre que SI</h2> <p>Donc, comment vous sauver lorsqu'en tapant root, vous lisez sswj ? Ou à l'envers, vous tapez (tab)ssw et lisez root ?</p> <p>Les utilisateurs de Linux déteste éteindre leurs ordinateurs. Et votre système de fichiers se corrompt à chaque fois un petit peu plus. Cette corruption peut être ou non corrigée. Donc, voilà quelques suggestions pour éteindre grâcieusement votre système si cela arrive.</p> <p>Si vous avez installé <i>ssh</i> sur votre système et vous pouvez vous connecter depuis une autre machine, vous pouvez temporairement corriger le problème à distance. Logez vous sur le compte <i>root</i> et faites ceci :</p> <verbatim> cd /proc/sys/dev/mac_hid/ echo 0 > keyboard_lock_keycodes echo 1 > keyboard_sends_linux_keycodes </verbatim> <p>Votre clavier répondra alors normalement jusqu'au prochain redémarrage. Servez-vous de cette opportunité pour synchroniser votre descriptif de clavier, votre noyau et votre gestionnaire de démarrage !</p> <p>Si votre système a une combinaison de touches pour le redémarrer ou l'éteindre, vous pouvez utiliser les tables ci-dessous pour trouver ce qu'est devenue cette combinaison. Sur PowerPC, un combo de touche classique est Control-Shift-Delete. Avec un descriptif de clavier ADB chargé, interprétée comme des codes de touches Linux, cela devient Control-F6-F12. Dans le cas opposé, à savoir un descriptif Linux, interprété par un noyau ADB, il vous faudra appuyer sur Shift-AltGr-Equals. Bonne chance.</p> <p>Mon clavier n'a pas la touche Delete, donc quand j'ai le descriptif de clavier Linux chargé par un noyau avec ADB, je devine grâce à la table que pour se loger en tant que <i>root</i>, il faut taper 2==3 validé par F5. Pour le mot de passe, j'utilise encore la table. Pour redémarrer, je tape 21 tab ==3 validé par F5. Vous pouvez aussi utiliser <i>halt</i> p]j3 validé par F5.</p> <p>Certains caractères ne peuvent être tapés avec le mauvais descriptif de clavier. Ceci explique les blancs laissés dans les tables.</p> <h2>Descriptif de clavier Linux chargé par un noyau configuré pour ADB</h2> <p> </p> <pre> Si vous voulez : a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w Au lieu, tapez : ] TAB m u 1 [ i p 5 Return l j ` Space = 9 y 2 o 3 6 . t x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 * / [ ] , = - ` \ ; n 4 / b d f h g z x c v Alt F7 7 - Backspace w q ; , ' Control Shift Enter Tab Backspace Fwd-Del Space F6 Ctrl or \ F5, 8 r e F12 CapsLock Home NumLock Clear AltGr =(numkpd) Escape F11 F12 Clear +(numkpd) F6-6 Shift Fwd-Del s kp-5 kp-6 F1 F2 F3 F4 F7 F9 Left-Arrow Right-Arrow Down-Arrow Up-Arrow kp-. kp-* Left-Arrow Right-Arrow Up-Arrow Down-Arrow F13 F11 </pre> <h2>Noyau avec les codes de touches Linux mais le descriptif ADB</h2> <pre> Si vous voulez : a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w Au lieu, tapez : 0 7 1 Backspace 2 4 3 g l ' k c x s h - Tab Esc w d 8 = x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 * / [ ] , = - ` ; 6 q 5 Control e r t y i u [ Return p z f a \ o ] m ` Control Shift Return Tab Backspace Fwd-Del \ Space Shift AltGr j b , =(numkpd) Shift n Clear AltGr =(numkpd) CapsLock Escape Alt Home CapsLock Fwd-Del Space / kp-* F1 F2 F3 F4 F5 F6 F7 F8 F9 F0 F11 F12 Enter Ctrl / Fwd-Del Left-Arrow Right-Arrow Up-Arrow Down-Arrow F1 F2 F4 F3 </pre> <h2>Comment savoir où vous en êtes</h2> <p>Les descriptifs de clavier n'ont pas de commentaires à l'intérieur. Donc, si vous vous demandez quel type de descriptif vous utilisez, vous pouvez toujours regarder la ligne concernant les codes de touche 1 avec</p> <pre> zgrep 'keycode *1 =' /etc/console/boottime.kmap.gz </pre> <p>Si <i>keycode 1 = Escape</i>, c'est la version Linux (celle pour i386) de le descriptif de clavier.</p> <p>Si <i>keycode 1 = s</i>, c'est celle ADB (excepté les dvorak ADB où on obtient <i>keycode 1 = o</i>).</p> <p>Les fichiers de configuration <i>config-XXXXX</i> de /boot vous informent sur le type de noyau que vous utilisez et si la fonctionnalité des descriptifs de touches ADB est active. Pour le découvrir, faites</p> <pre> grep MAC_ADB /boot/* </pre> <p>Vous devriez avoir en réponse une liste de fichiers de configuration pour les noyaux utilisables. S'il existe une entrée comme</p> <pre> /boot/config-2.4.12-powerpc:CONFIG_MAC_ADBKEYCODES=y </pre> <p>alors votre noyau est compilé avec les descriptifs ADB. Si la dernière lettre est <i>n</i>, c'est un noyau avec les codes de touche Linux.</p> <h2>Comment régler le problème</h2> <p>Une fois que le système fautif est éteint, vous aurez toujours à régler le problème. Comment savoir ce qu'il faut faire ? Il vous faudra surement utiliser votre disquette de dépannage ou bien démarrer sur une autre partition pour corriger tout ça.</p> <p>Si votre problème est un noyau avec le support ADB tentant d'utiliser un descriptif de touches Linux, ajoutez simplement</p> <pre> keyboard_sends_linux_keycodes=1 </pre> <p>lors de l'affichage du prompt de démarrage après avoir tapé le nom de l'image du noyau. Mais c'est une solution qui ne marche qu'un temps. Il va donc faire que ce changement soit permanent en modifiant votre fichier de configuration du démarrage et de le valider auprès de votre gestionnaire de démarrage.</p> <p>Si votre problème est le cas contraire (à savoir un noyau avec les codes clavier Linux mais un descriptif ADB), vous devez abandonner le descriptif ADB. Vous pouvez copier n'importe quel descriptif du répertoire /usr/share/keymaps/i386. Il a du choix. Par exemple</p> <pre> cd /usr/share/keymaps/i386/qwerty/ cp mac-usb-us.kmap.gz /etc/console/boottime.kmap.gz </pre>
#use wml::debian::template title="Portage pour PowerPC (APUS)" NOHEADER="yes" #include "$(ENGLISHDIR)/ports/powerpc/inst/menu.inc" #use wml::debian::translation-check translation="1.11" maintainer="Thomas Marteau" <h1>Installation Debian GNU/Linux sur une machine PowerPC APUS</h1> <p>Apus est l'acronyme pour <i>« Amiga PowerUp System »</i> et consiste en un ordinateur Amiga, A1200, A3000 ou A4000. Ils ont tous une des cartes accélératrices pour PowerPC/m68k de la société maintenant fermée Phase5, la BlizzardPPC ou la CyberStormPPC.</p> <h2>Problèmes connus</h2> <p>Il existe certains problèmes avec l'amorçage des systèmes qui n'utilisent pas uniquement PowerUp ou WarpUp mais des hybrides mutants des deux. Je ne suis pas famillier de ce genre de matériel vu que j'utilise un système totalement powerup. Donc, j'espère que quelqu'un puisse contribuer pour que l'on ait une description plus complète.</p> <p>Aussi, le contrôleur SCSI de la CyberStormPPC n'est pas encore géré par Linux. Pour le moment, on ne peut pas utiliser de disque avec.</p> <h2>Partitionnez depuis AmigaOS</h2> <p><code>amiga-fdisk</code> est une variante de <code>fdisk</code> pour les tables de partition RDB utilisées par le matériel Amiga. Cela fonctionne mais je vous conseille d'utiliser les outils de partitionnement Amiga depuis AmigaOS.</p> <p><code>HDToolbox</code>, l'outil officiel de partitionnement de Commodore, devrait être installé sur tout système AmigaOS. Lancez simplement <code>HDToolbox</code> devrait partitionner le disque IDE liée à l'interface IDE intégrée sur la carte. Si vous voulez accéder au disque SCSI lié au contrôleur de votre carte BlizzardPPC, utilisez la commande <code>hdtoolbox blizzppcscsi.device</code>.</p> <p>Une autre option est d'utiliser <code>SCSIConfig</code>, le partitionneur de Phase5 qui est fourni avec les disquettes qui sont données avec la carte accélératrice.</p> <p>Vous devez mettre le type de partitionà <i>custom</i> et fournir les IDs de partition suivants :</p> <pre> * Linux partition: 0x4c4e5800 * Linux swap partition: 0x53575000 </pre> <h2><code>Bootstrap</code></h2> <p>Vous trouverez le programme <code>bootstrap</code> dans le répertoire <code>apus/bootstrap</code> des disquettes de démarrage de la distribution powerpc (disponible dans /debian/dists/woody/main/disks-powerpc/current).</p> <p>Le programme <code>bootstrap</code> en contient trois. Ils doivent être exécutables et dans votre chemin sur votre AmigaOS. Il y a l'exécutable <code>bootstrap</code> et les parties <i>ppcboot_wup</i> ou <i>ppcboot_pup</i>, qui est l'actuelle amorce (ppcboot_pup pour les systèmes powerup et ppcboot_wup pour ceux warpup).</p> <p>Vous lancez <code>bootstrap</code> comme ceci : <pre> \# bootstrap --apus "kernel options" </pre> où "kernel options" sera défini comme l'expliquent les sections suivantes.</p> <p><code>bootstrap</code> va écrire sur la sortie standard et faire clignoter l'écran pour 10 à 30 secondes et vous aurez une console Linux.</p> <h3>La commande <code>bootstrap</code> Debian</h3> <p>L'actuelle commande <code>bootstrap</code> pour démarrer l'installateur Debian devrait être : <pre> \# bootstrap --apus -k apus/linux -r apus/images-1.44/root.bin root=/dev/ram </pre> Après l'installation, pour démarrer Debian, utilisez : <pre> \# bootstrap --apus -k apus/linux root=/dev/sda3 </pre> où sda3 est la partition racine de Debian, changez-la pour convenir à votre système.</p> <h2>Les options pour le noyau</h2> <p>Vous allez devoir ajouter des options au noyau selon votre configuration, qui vont être expliquées dans les sections suivantes. <h3>Les options pour la carte graphique</h3> <p>L'option pour le périphérique graphique est d'habitude précédé par <i>video=</i>. Voici quelques exemples. Pour activer le système graphique en mode VGA en résolution 640x480 :</p> <pre> video=amifb:vga </pre> <p>Pour activer la carte graphique Bvision/CyberVision en 1152x864 à 60Hz, avec les polices SUN12x22 :</p> <pre> video=pm2fb:mode:1152x864-60,font:SUN12x22 </pre> <p>Pour désactiver un des périphériques graphiques :</p> <pre> video=amifb:disable </pre> <p>Vous pouvez associer des consoles virtuelles à différents périphériques. utilisez : <tt> video=map:01 </tt> pour associer à la console virtuelle (vc) 1 au périphérique 0, vc 2 à celui 1 et ensuite répéter le même chemin (vc3 à celui 0, vc4 à celui 1, etc. Pour associer vc 1,2,3,5,6,7 au périphérique 0 et vc 4,8 au périphérique 1, vous utiliserez :</p> <pre> video=map:0001 </pre> <h3>L'option nobats</h3> <p>Les utilisateurs de Blizzard avec disque SCSI devront utiliser l'option « nobats ».</p> <pre> \# bootstrap --apus -k apus/linux root=/dev/sda3 nobats </pre> <h3>L'option 60nsram</h3> <p>Si vous avez de la mémoire RAM cadencée à 60ns, vous devriez utiliser l'option « 60nsram ».</p> <pre> \# bootstrap --apus -k apus/linux root=/dev/sda3 60nsram </pre> <h3>Les options de débogage</h3> <p>Si vous avez des problèmes, vous pouvez utiliser les options de débogage pour spécifier la sortie de message à la console pour les rediriger vers la sortie série ou vers la mémoire. Ceci est pratique pour déboguer quand les messages du noyau ne s'affichent pas sur la console.</p> <pre> \# bootstrap --apus -k apus/linux root=/dev/sda3 60nsram debug=mem </pre> <p>Après, vous pouvez lire le résultat avec l'utilitaire <i>bootmesg</i> dans le répertoire apus/bootstrap.</p> <p>Un autre outil pratique est l'utilitaire <i>dmesg</i> qui vous donne les information de débogage depuis le processus d'amorce.</p> <h2>Les spécificités Apus dans <code>dbootstrap</code></h2> <p>Il existe des différences spécifiques pour apus dans l'utilisation de <code>dbootstrap</code>.</p> <h3>Partitionnez le disque dur - <code>amiga-fdisk</code></h3> <p>La sous-architecture apus utilise l'outil de partionnenment <code>amiga-fdisk</code>. Comme il est marqué ci-dessus, vous pouvez utiliser les outils d'AmigaOS.</p> <h3>Installez le noyau et ses modules</h3> <p>Cette option ne fonctionne pas actuellement. Je suis en cours de proposition pour qu'une option <i>« Install the OS Modules »</i> la remplace. Mais pendant ce temps-là, passez à l'étape suivante. Le noyau n'est pas nécessaire vu qu'il réside sur le </p> # <!-- FIXME Sven?? server? network? --> <h3>Les options non applicables à Apus</h3> <p>Certaines options n'ont pas de sens pour les Apus. Tant qu'elles seront dans le menu, ignorez-les. Elles ne fonctionnent pas de toute manière.</p> <p>Ces options sont : <pre> * Make System Bootable directly from the Hard Disk. (Rendre le système amorçable depuis le disque dur) * Make a Boot Floppy. (Faire les disquettes de démarrage) * Eject the Floppy. (Éjecter la disquette) </pre> <h2>Liens pour plus d'information</h2> <p>La documentation et la FAQ officielles de Linux-apus :</p> <p><a href="http://sourceforge.net/projects/linux-apus/"> http://sourceforge.net/projects/linux-apus/</a></p> <p>Une autre source d'information valable est le site et la FAQ de Linux-m68k :</p> <p><a href="http://sourceforge.net/projects/linux-m68k/"> http://sourceforge.net/projects/linux-m68k/</a></p> <p>Vous y trouverez plein d'information à propos de Linux sur la plate-forme Amiga qui est commune à Linux-m68k et à Linux-apus. <h2>Conclusion</h2> <p>En résumé, ce petit guide essaie d'expliquer les particularités de l'installation de Debian avec Linux-apus. Le reste est proche de n'importe quelle autre installation Debian/powerpc, ou bien même une installation Debian classique. Vous trouverez plus d'information dans le <a href="$(DOC)/">répertoire de documentation de Debian</a> ainsi que dans d'autres sites d'information généralistes sur le sujet de Linux.</p>#use wml::debian::template title="Portage pour PowerPC -- Installation" NOHEADER="yes" #include "$(ENGLISHDIR)/ports/powerpc/inst/menu.inc" #use wml::debian::translation-check translation="1.17" maintainer="Thomas Marteau"
Allez sur les pages suivantes pour des informations spécifiques concernant l'installation de Debian/PowerPC sur votre système :
Il existe quatre principales d'adaptation de powerpc : PMac (Power-Macintosh), Apus, CHRP et PReP. Les portages pour d'autres architectures powerpc, tels que la Be-Box et l'architecture MBX, sont en cours mais pas encore intégrés par Debian. Nous aurons peut-être un portage 64-bits (Power3) dans le futur.
Apple (et quelques autres fabricants - Power Computing, par exemple) produit des séries d'ordinateurs Macintosh basés sur un processeur PowerPC. Pour une meilleure gestion de cette architecture, ces séries portent les noms de Nubus, OldWorld PCI et NewWorld.
Les systèmes Nubus ne sont pas gérés par debian/powerpc. Le noyau monolithique Linux/PPC ne fonctionne pas sur ce type de machine ; cependant, le microkernel MkLinux Mach marche mais Debian ne le fournit pas encore. Cette gamme concerne les Power Macintosh 6100/7100/8100.
Les systèmes OldWorld représentent les Power Macintosh avec un lecteur de disquette et un bus PCI. Les modèles Power Macintosh 603, 603e, 604 et 604e sont des machines OldWorld. Le G3 de couleur beige est aussi OldWorld.
Les PowerMacs appelés NewWorld sont tous les PowerMacs avec une tour en plastique de couleure translucide. Les PowerMacs NewWorld sont aussi connus pour utiliser le système `ROM in RAM' pour MacOS et ils sont fabriqués depuis le milieu de l'année 1998.
Voici une liste de machines powerpc qui devraient fonctionner avec Debian.
Nom ou numéro du modèle | Architecture |
---|---|
Apple | |
iMac Bondi Blue, 5 Versions, Slot Loading | powermac-NewWorld |
iMac Été 2000, Début 2001 | powermac-NewWorld |
iBook, iBook SE, iBook USB Double | powermac-NewWorld |
iBook2 | powermac-NewWorld |
Power Macintosh Bleu et Blanc (B&W) G3 | powermac-NewWorld |
Power Macintosh G4 PCI, AGP, Cube | powermac-NewWorld |
Power Macintosh G4 Gigabit Ethernet | powermac-NewWorld |
Power Macintosh G4 Digital Audio, Quicksilver | powermac-NewWorld |
PowerBook G3 FireWire Pismo (2000) | powermac-NewWorld |
PowerBook G3 Lombard (1999) | powermac-NewWorld |
PowerBook G4 Titanium | powermac-NewWorld |
Performa 4400, 54xx, 5500 | powermac-OldWorld |
Performa 6300, 6360, 6400, 6500 | powermac-OldWorld |
Power Macintosh 4400, 5400 | powermac-OldWorld |
Power Macintosh 7200, 7300, 7500, 7600 | powermac-OldWorld |
Power Macintosh 8200, 8500, 8600 | powermac-OldWorld |
Power Macintosh 9500, 9600 | powermac-OldWorld |
Power Macintosh (Beige) G3 Minitour | powermac-OldWorld |
Power Macintosh (Beige) Bureau, Tout-en-Un | powermac-OldWorld |
PowerBook 2400, 3400, 3500 | powermac-OldWorld |
PowerBook G3 Wallstreet (1998) | powermac-OldWorld |
Twentieth Anniversary Macintosh | powermac-OldWorld |
Workgroup Server 7250, 8550, 9650, G3 | powermac-OldWorld |
Power Computing | |
PowerBase, PowerTower / Pro, PowerWave | powermac-OldWorld |
PowerCenter / Pro, PowerCurve | powermac-OldWorld |
UMAX | |
C500, C600, J700, S900 | powermac-OldWorld |
APS | |
APS Tech M*Power 604e/2000 | powermac-OldWorld |
Motorola | |
Starmax 3000, 4000, 5000, 5500 | powermac-OldWorld |
Firepower, PowerStack Series E, PowerStack II | PReP |
MPC 7xx, 8xx | PReP |
MTX, MTX+ | PReP |
MVME2300(SC)/24xx/26xx/27xx/36xx/46xx | PReP |
MCP(N)750 | PReP |
IBM RS/6000 | |
40P, 43P | PReP |
Power 830/850/860 (6070, 6050) | PReP |
6015, 6030, 7025, 7043 | PReP |
p640 | PReP |
Amiga Power-UP Systems (APUS) | |
A1200, A3000, A4000 | APUS |
Voici une liste de machines que Debian ne gère pas. Elles peuvent peut-être fonctionner et si tel est le cas, nous aimerions le savoir.
Nom ou numéro du modèle | Architecture |
---|---|
IBM Longtrail II, First 'free' or 'open' PowerPC Board | CHRP |
7248-100,7248-120,7248-132 | PReP |
Notebook Thinkpad 820: 7247-821/822/823 | PReP |
Notebook Thinkpad 850: 7247-851/860 | PReP |
#use wml::debian::template title="Portage pour PowerPC (PReP)" NOHEADER="yes" #include "$(ENGLISHDIR)/ports/powerpc/inst/menu.inc" #use wml::debian::translation-check translation="1.14" maintainer="Thomas Marteau" <center> <h1>La page PReP pour Debian GNU/Linux PowerPC</h1> </center> <h3>Introduction</h3> <p>IBM et Motorola tous les deux fabriquent ou ont fabriqué des machines à base d'architecture PReP. Jusqu'à maintenant, le test pour PReP n'a été réalisé que sur les systèmes du fabricant Motorola, PowerStack(tm) (à carte mère Blackhawk, Comet, Utah) et l'actuelle solution embarquée de la famille PowerPlus(tm). Celle-ci inclut les modèles MTX, MTX+, MVME2300(sc)/2400/2600/2700/3600/4600 et MCP(n)750. IBM produit une gamme de station de travail au format bureau qui sont compatibles avec PowerPC PReP. Ce sont les RS/6000 40P, 43P, 830, 850, 860, 6015 et 6030.</p> <h3>Problèmes Connus</h3> <p>MTX+ (système MTX avec 7 emplacements PCI) ne peut pas démarrer sur un noyau 2.2, il reste planté lors de l'initialisation du pilote IDE. Ceci est connu et il sera corrigé par une rustine noyau pour les versions suivantes.</p> <p>Tous les systèmes Motorola PowerPlus ne supportent la gestion IDE du noyau. Ce problème a été identifié et corrigé. Les changements seront bientôt disponibles en tant que paquet Debian de rustine noyau et intégreront le source du noyau.</p> <h3>Microcode (<i>Firmware</i>)</h3> <p>Selon l'âge et le fabricant de votre système PReP, vous aurez PPCBUG (Motorola), Open Firmware (IBM ou Motorola) ou le microcode pour PReP de IBM. Les commandes de démarrage sont légèrement différentes mais tous ces systèmes implémentent le standard pour PReP. Ainsi le même noyau peut être démarré sur toutes ces plates-formes. Une explication complète des commandes du microcode n'est pas le but de ce document mais une base d'information vous sera fournie si nécessaire.</p> <h3>Mise en place de l'installation</h3> <h4>Installation avec des disquettes</h4> <p>Ecrivez les fichiers <code>boot1440.bin</code>, <code>root1440.bin</code>, <code>resc1440.bin</code>, <code>drv14-*.bin</code> et les images sur des disquettes. <code>dd</code> peut être utilisé sur un système Linux/Unix ou <code>rawrite</code> pour DOS/Windows.</p> <h4>Installation par le réseau</H4> <p>Mettez les fichiers <code>resc1440.bin</code> et <code>drivers.tgz</code> sur un système de fichiers NFS exporté par votre serveur NFS. Le mieux est le mettre ainsi : <code>/[mountpoint]/debian/[installfiles]</code>.</p> <p>Mettez le fichier <code>boot.bin</code> dans le répertoire tftp sur votre serveur TFTP.</p> <h4>Options de la console</h4> <p>Sur les systèmes Motorola PPCBUG, vous pouvez démarrer et installer en utilisant soit la console VGA ou celle série. PPCBUG et Linux retournent à la console série automatiquement s'ils ne détectent pas de sortie VGA ou de clavier.</p> <p>Dans le cas d'une installation via une console série, pour voir proprement l'installateur, certaines capacités de l'émulateur de terminal sont nécessaires. Pour obtenir les couleurs, il vous faut un émulateur avec la fonctionnalité des couleurs ANSI. Le xterm standard fourni avec la plupart des distributions Linux est suffisant, comme la plupart des programmes Windows (par exemple, <a href="http://www.chiark.greenend.org.uk/~sgtatham/putty/">PuTTY</a>). Pour voir les caractères dessinant les lignes qui forment les boîtes de dialogue, il est essentiel que la police utilisée contienne les caractères étendus IBM de tracé. Sous Linux, la police <i>linux8x8</i> peut être utilisé et sous Windows, <i>MSLineDraw</i>.</p> <h3>Démarrage</h3> <dl> <dt> PPCBUG : <dd> Utilisez la commande <code>ENV</code> pour activer l'option <i>Network PReP boot enable</i> ; <dd> Utilisez la commande NIOT pour configurer les adresses IP du client, du serveur et de la passerelle optionnelle qui seront utilisées pour tftp votre noyau. Si la carte est toute neuve, vérifiez que <tt>SET <var><date/time></var></tt> pour démarrer l'horloge matérielle sinon le réseau et d'autres choses ne seront pas opérationnelles. <dt> Démarrer avec votre image : <dd> PPCBUG>NBO 0 0 ,,, bootprep.bin <dt> OpenFirmware ; <dt> Utilisez la commande suivante pour démarrer en tftp l'image PReP : <dd> >boot ‹server_ipaddr›,‹file›,‹client_ipaddr› </dl> <h2>Installation de Debian</h2> <ol> <li>Configurez le clavier ; <p>Si la console est série, cette étape est inutile.</p> <li>Partitionnez le disque dur ; <p>Créez une partition primaire de 2 Mo et changez son type pour celui <i>PPC PReP boot</i> (type 41). Les machines PReP avec <i>OpenFirmware</i> peuvent avoir des problèmes pour s'amorcer si la partition <i>PPC PReP boot</i> est autre part que la partition primaire n°1. Cependant, tous les systèmes Motorola PPCBUG gèrent cette partition tant qu'elle est primaire, il est d'usage de mettre cette partition sur <i>sda1</i> ou <i>hda1</i>.</p> <p>Après avoir créé la partition <i>PPC PReP boot</i>, suivez les conventions usuelles de Linux pour le reste du partionnement. Au minimum, deux partitions, une pour votre système de fichiers et l'autre pour le <i>swap</i> doivent être créées et elles peuvent être autant des partitions primaires que logicielles.</p> <li>Intallez depuis les disquettes <i>Rescue</i> et <i>Driver</i> ; <p>Installer depuis les disquettes est assez simple. Insérez les disquettes <i>Rescue</i> et <i>Driver</i> lorsque cela vous est demandé.</p> <p>Pour une installation via le réseau, choisissez l'option NFS et il vous demandera de configurer le réseau. Quand il affiche pour savoir quel serveur NFS et quel répertoire, indiquez celui paramétré auparavant. Pour le reste, laissez les options par défaut.</p> <li> Configurez les modules pilotes ; <p>Pour le moment, les principaux modules sont intégrés au noyau donc ne faites rien.</p> <li>Installez le système de base ; <p>Si vous faites une installation depuis les disquettes, insérez simplement les disquettes quand cela est demandé. Si l'installation est réalisée par NFS, entrez le serveur NFS et le répertoire dans lequel se trouve le système de base et poursuivez avec les options par défaut pour installer le système de base Debian.</p> <li>Rendez amorçable votre disque dur ; <p>La phase suivante rend amorçable la partition <i>PPC PReP boot</i> précédemment faite. Si cette partition est manquante, un message d'erreur sera affiché.</p> <li>Faites les disquettes de démarrage. <p>Cela écrit une image amorçable vers la disquette.</p> </ol> <h2>Premier démarrage sur le système de base</h2> <p>Si vous avez configuré une partition de type 41 <i>PPC PReP boot</i> et si le système d'installation l'a rendue amorçable alors il vous suffit de taper la commande de démarrage dans le microcode pour lancer le système depuis le disque dur (PPCBUG et OpenFirmware ont tous les deux une option <i>autoboot</i> activable).</p> <p>Note : Pour que le noyau monte la bonne partition racine, il est nécessaire d'écrire une variable globale de l'environnement PReP, <i>bootargs</i>. Dans le cas d'une installation sur un PReP Motorola, il décide que cette partition est sda1 alors que votre système racine est sur sda2. Il faut donc ajouter <tt>bootargs=/dev/sda2</tt> .</p> <p>PPCBUG</p> <dl> <dt>Mettez la valeur de <i>bootargs</i> <dd>PPCBUG>GEVEDIT bootargs <dd>PPCBUG>bootargs=root=/dev/sda2 <dt>Lancez le démarrage (pour l'exemple, on prend un disque SCSI sur le contrôleur 0, SCSI ID 0) ; <dd>PPCBUG>PBOOT 0 <dt>Lancez le démarrage (on prend ici un disque SCSI sur le contrôleur 0, SCSI ID X). <dd>PPCBUG>PBOOT 0 x0 </dl> <p>OpenFirmware</p> <dl> <dt>Lancez le démarrage (pour le disque IDE/SCSI installé en tant que disk0) ; <dd>>boot disk0 <dt>Lancez le démarrage (pour le disque IDE/SCSI installé en tant que hdisk0). <dd>>boot hdisk0 </dl> <p>Maintenant, le noyau démarre depuis le disque dur.</p> <hr> Pour tout problème/suggestion/critiques sur l'installation sur PReP et sur sa documentation, écrivez à <a href="mailto:porter@debian.org">Matt Porter</a>.