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relect : debian-guide_fr-1.0_chap7



Bonsoir,

Eh bien moi j'ai choisi le chapitre 7.


J'ai deux remarques générales :
--- il faudrait ecrire X-Window toujours de la même manière (dans le chap 7
on trouve X-Window, X-window...), je ne sais pas quelle est la forme la plus
utilisée ;
--- pour les notes, ce serait pas mal qu'à l'intérieur de <footnote>
</footnote> il y ai des phrases, au moins pour que l'ensemble soit jolie.
Donc je propose en gros cela <footnote>Et la c'est ma note.</footnote>.

Voilà, et merci Patrice pour cette traduction.

Xavier

-- 
I didn't do it! Nobody saw me do it! Can't prove anything!
                 -- Bart Simpson
--- debian-guide_fr-1.0_chap7.sgml	Sun Oct 29 19:35:33 2000
+++ debian-guide_fr-1.0_chap7.lect.sgml	Mon Oct 30 21:04:45 2000
@@ -20,7 +20,7 @@
 comme <prgn>whoami</prgn>. Mais bien d'autres choses sont
 possibles. Par exemple, vous pouvez taper <prgn>man
 whoami</prgn>. Cette commande appelle l'aide en ligne de la commande
-<prgn>whoami</prgn> (Vous devrez vous déplacer à l'aide de la touche
+<prgn>whoami</prgn> (vous devrez vous déplacer à l'aide de la touche
 <em>espace</em> page par page et taper sur <em>q</em> pour
 sortir). Une commande plus compliquée est <prgn>man -k
 PostScript</prgn>. Cette ligne de commandes se compose de trois
@@ -35,7 +35,7 @@
 Les options changent le comportement d'une commande, en activant une
 fonctionnalité particlière.  Généralement, on trouve un « - » les
 précédant. Les utilitaires GNU ont aussi une « forme longue » pour les
-options; la forme longue de <prgn>-k</prgn> est
+options ; la forme longue de <prgn>-k</prgn> est
 <prgn>--apropos</prgn>. Vous pouvez entrer <prgn>man -h</prgn> ou
 <prgn>man --help</prgn> pour obtenir la liste complète des options de
 la commande <prgn>man</prgn>. Chaque commande a sa propre liste
@@ -69,22 +69,22 @@
 <p>
 L'option, change le comportement de la commande
 <prgn>man</prgn>. Normalement, <prgn>man</prgn> s'attend à un nom de
-commande, comme <prgn>whoami</prgn>, comme argument et va chercher la
+commande, tel <prgn>whoami</prgn>, comme argument et va chercher la
 documentation de cette commande. Mais avec l'option <prgn>-k</prgn> ou
 <prgn>--apropos</prgn>, il s'attend à ce que l'option soit un
 mot-clé. Il sort alors la liste de toutes les pages de manuel le
 comportant.
 <item><prgn>PostScript</prgn>
 <p>
-est l'argument; en raison de la présence de l'option <prgn>-k</prgn>,
+est l'argument ; en raison de la présence de l'option <prgn>-k</prgn>,
 c'est le mot-clé à rechercher.
 </list>
 
 <p>
-Allez-y et taper la commande <prgn>man -k PostScript</prgn> et vous
+Allez-y et tapez la commande <prgn>man -k PostScript</prgn> et vous
 verrez apparaître une liste de pages de manuel de votre système qui
 ont un rapport avec le postscript. Si vous n'avez pas installé de
-nombreux logiciels, il se peut que vous voyez apparaître à la place :
+nombreux logiciels, il se peut que vous voyiez apparaître à la place :
 <prgn>PostScript: nothing appropriate</prgn> (<prgn>PostScript: rien
 de trouvé</prgn>).
 </sect>
@@ -92,7 +92,7 @@
 <sect> Description de la ligne de commande
 
 <p>
-Remarque: vous pouvez sauter cette partie si vous voulez avancer rapidement.
+Remarque : vous pouvez sauter cette partie si vous voulez avancer rapidement.
 
 <p>
 Il existe une façon concise et traditionnelle de décrire la
@@ -101,24 +101,24 @@
 arguments. Par exemple, si vous tapez <prgn>man man</prgn> pour
 obtenir la page de manuel de <prgn>man</prgn>, vous apercevrez un
 certain nombre de descriptions de syntaxe débutant par le nom de
-commande <prgn>man</prgn>. Une d'entre elle devrait ressembler à ceci:
+commande <prgn>man</prgn>. Une d'entre elle devrait ressembler à ceci :
 
 <p>
 <prgn>man -k [-M path] keyword ...</prgn>
 
 <p>
-Tout ce qui se trouve entre crochet ([]) est optionnel. Dans ce cas,
+Tout ce qui se trouve entre crochet ([ ]) est optionnel. Dans ce cas,
 il n'est pas nécessaire d'utiliser l'option <prgn>-M</prgn> mais si
 vous le faîtes, il est alors nécessaire d'utiliser un argument de type
 <prgn>path</prgn><footnote>C'est-à-dire le chemin d'accès en bon
-français</footnote>. Vous devez utiliser l'option <prgn>-k</prgn> et
+français.</footnote>. Vous devez utiliser l'option <prgn>-k</prgn> et
 l'argument <prgn>keyword</prgn> (mot-clé). Les <prgn>...</prgn>
-signifie qu'il peut y avoir encore beaucoup de choses à la suite,
+signifient qu'il peut y avoir encore beaucoup de choses à la suite,
 notamment plusieurs mots-clés.
 
 <p>
 Regardons d'un peu plus près les descriptions complexes de la page de
-manuel de <prgn>man</prgn>:
+manuel de <prgn>man</prgn> :
 
 <example>
 man [-c|-w|-tZT device] [-adhu7V]
@@ -129,7 +129,7 @@
 
 <p>
 Il n'est pas nécessaire d'aller plus en avant (et ne vous inquiétez
-pas quant à sa signification) mais attirez votre attention sur
+pas quant à sa signification), mais attirez votre attention sur
 l'organisation de la description.
 
 <p>
@@ -163,11 +163,11 @@
 <sect> Fichiers et répertoires
 
 <p>
-les <em>fichiers</em> sont une facilité pour stocker et organiser
+Les <em>fichiers</em> sont une facilité pour stocker et organiser
 l'information, analogue aux documents papier. Ils sont organisés en
 <em>répertoires</em> qui sont appelés <em>dossiers</em> sur certains
 autres systèmes. Regardons d'un peu plus près l'organisation des
-fichiers sur un système Debian:
+fichiers sur un système Debian :
 
 <p>
 <list>
@@ -180,7 +180,7 @@
 importante entre DOS et Linux est que DOS garde toujours C: (pour le
 premier disque dur), A: (premier lecteur de disquettes) et D: (soit le
 lecteur de cédérom soit le second disque dur) alors que Linux organise
-tous ses fichiers autours de la même racine /.  <item>
+tous ses fichiers autour de la même racine /.  <item>
 <prgn>/home/janeq</prgn>
 <p>
 C'est le répertoire personnel de l'utilisateur <em>janeq</em>. En
@@ -202,19 +202,20 @@
 <list>
 <item>
   Les noms de fichiers sont sensibles à la casse utilisées. Cela veut
-  dire que MONFICHIER et MonFichier sont différents.
+					<!-- case ? -->
+ dire que MONFICHIER et MonFichier sont différents.
 <item>
   Le répertoire racine (<em>root</em> en anglais) se réfère uniquement
   à /. Ne confondez pas avec le root de l'utilisateur root,
   l'utilisateur du sytème avec les « supers pouvoirs ».  <item>Chaque
   répertoire a un nom, qui peut contenir n'importe quels lettres ou
   symboles <em> à l'exception de </em> /. Le répertoire racine est une
-  exception; son nom est / (prononcé « slash » ou « répertoire racine
+  exception ; son nom est / (prononcé « slash » ou « répertoire racine
   » ou « répertoire root ») et il ne peut être renommé.
 <item>
   Bien que vous puissiez utiliser n'importe quels lettres ou symboles
   pour un nom de fichier, en pratique c'est une assez mauvaise
-  idée. Il est souhaîtable d'éviter les caractères qui ont souvent une
+  idée. Il est souhaitable d'éviter les caractères qui ont souvent une
   signification particulière dans les lignes de commandes comme
   <prgn>{ } ( ) [ ] ' ` " \ / > < | ; ! # & ^ * %</prgn>
 <item>
@@ -227,7 +228,7 @@
   Chaque fichier et répertoire sont désignés par un <em>nom de fichier
   pleinement qualifié</em>, un <em>nom de fichier absolu</em> ou un
   <em>chemin</em> qui donne la séquence des répertoires que l'on doit
-  traversé pour atteindre le fichier. Les trois termes sont
+  traverser pour atteindre le fichier. Les trois termes sont
   synonymes. Tous les noms de fichiers absolus commencent par le
   répertoire racine / et il y a un / devant chaque répertoire ou
   fichier du nom de fichier. Le premier / est le nom du répertoire
@@ -235,7 +236,7 @@
   parties du nom de fichier.
 <item>
   Les noms utilisés portent parfois à confusion. Prenons l'exemple
-  suivant: 
+  suivant : 
 <example>
 /usr/share/keytables/us.map.gz
 </example>
@@ -282,10 +283,10 @@
 </list>
 
 <p>
-Ne vous inquiétez si tout ceci n'est pas complètement clair pour vous:
-il y a de nombreux exemple à venir.
+Ne vous inquiétez si tout ceci n'est pas complètement clair pour vous :
+il y a de nombreux exemples à venir.
 
-<sect1> Utilisation des fichiers: un tutoriel
+<sect1> Utilisation des fichiers : un tutoriel
 
 <p>
 Pour utiliser votre système, vous devrez connaître comment créer,
@@ -298,7 +299,7 @@
 vous n'êtes pas root (et vous n'avez pas maintenant à créer
 d'importants fichiers personnels), vous ne pouvez faire de catastrophe
 irrémédiable. Lancez-vous - tapez chacune de ces commandes après le
-prompteur et appuyer ensuite sur la touche <em>entrée</em>:
+prompteur et appuyer ensuite sur la touche <em>entrée</em> :
 
 <p>
 <example>
@@ -371,7 +372,7 @@
 
 <p>
 Seuls deux répertoires ne sont utilisés qu'avec des noms de fichiers
-relatifs: « . » et « .. ». Le répertoire . se réfère au répertoire
+relatifs : « . » et « .. ». Le répertoire . se réfère au répertoire
 courant et .. au répertoire parent. Ce sont des raccourcis. Ils
 existent dans <em>tous</em> les répertoires. Même le répertoire racine
 à un répertoire parent - c'est son propre parent !
@@ -388,14 +389,14 @@
 <prgn>./local/bin</prgn>, ce qui signifie exactement la même chose.
 
 <p>
-Un dernier petit truc: le <em>tilda</em> ~ est équivalent à votre
+Un dernier petit truc : le <em>tilde</em> ~ est équivalent à votre
 répertoire personnel. Ainsi, taper <prgn>cd ~</prgn> revient au même
 que taper <prgn>cd</prgn> sans argument. Vous pouvez donc taper
 <prgn>cd ~/divers/monsousrepertoire</prgn> à la place de <prgn>cd
 /home/votrenom/divers/monsousrepertoire</prgn>. De façon analogue,
 <prgn>~myuser</prgn> est l'équivalent du répertoire personnel de
 l'utilisateur <em>myuser</em> qui est probablement quelque chose comme
-<prgn>/home/myuser</prgn>; ainsi, <prgn>~myuser/docs/debian.ps</prgn>
+<prgn>/home/myuser</prgn> ; ainsi, <prgn>~myuser/docs/debian.ps</prgn>
 est équivalent à <prgn>/home/myuser/doc/debian.ps</prgn>.
 
 <p>
@@ -559,11 +560,11 @@
 jamais</em>... Prenez bien vos précautions.... On répète: détruire un
 fichier sur un système GNU/Linux est <em>définitif</em> car il n'y a
 pas de fonction inverse. Si vous effacez un fichier, c'est fini <em> à
-jamais</em>... Prenez bien vos précautions<footnote>Relisez-le encore
-une fois: détruire un fichier sur un système GNU/Linux est
+jamais</em>... Prenez bien vos précautions...<footnote>Relisez-le encore
+une fois : détruire un fichier sur un système GNU/Linux est
 <em>définitif</em> car il n'y a pas de fonction inverse. Si vous
 effacez un fichier, c'est fini <em> à jamais</em>... Prenez bien vos
-précautions....</footnote>....
+précautions...</footnote>
 
 <p>
 <example>
@@ -585,7 +586,7 @@
 <p>
 Ceci vous permet de sortir du répertoire courant et de vous déplacer
 dans le répertoire parent. Maintenant vous pouvez taper la séquence
-suivante:
+suivante :
 
 <p>
 <example>
@@ -645,14 +646,14 @@
 liste des processus triés suivant le temps que votre ordinateur met à
 les traiter. Leur ordre change continuellement devant vos yeux. En
 haut de l'écran, vous devez apercevoir quelques informations sur le
-système: combien il y a d'utilisateurs connectés, combien il y a de
+système : combien il y a d'utilisateurs connectés, combien il y a de
 processus, combien de mémoire vous avez et combien vous en utilisez
 réellement.
 
 <p>
 Dans la colonne d'extrème gauche, vous apercevrez les utilisateurs
 propriétaires de chaque processus. À l'extrème droite, vous trouverez
-la liste des commandes évoquées. Vous avez certainment remarqué que
+la liste des commandes évoquées. Vous avez certainement remarqué que
 <prgn>top</prgn> lui-même, lancé par vous, est presqu'en haut de la
 liste (car à chaque fois que <prgn>top</prgn> vérifie l'usage du
 microprocessur (CPU), il l'active lui-même et utilise le CPU pour
@@ -667,7 +668,7 @@
 Les <em>daemons</em><footnote><em>Daemons</em> en anglais se traduit
 par démons mais j'ai préféré garder le terme anglo-saxon car ce n'est
 pas un nom mais un acronyme.</footnote> signifient à l'origine
-<em>Disk And Extensions MOnitor</em> (Surveillance des disques et des
+<em>Disk And Extensions MOnitor</em> (surveillance des disques et des
 extensions). Un daemon est un processus non interactif ce qui veut
 dire qu'il est lancé par le système et que l'utilisateur n'a pas à
 s'en occuper. Les daemons servent à fournir des services comme la
@@ -676,7 +677,7 @@
 <p>
 Maintenant, appuyez sur <prgn>u</prgn> et entrez votre nom
 d'utilisateur. La commande <prgn>u</prgn> sert à afficher les seules
-processus appartenant à un utilisateur; cela permet d'ignorer tous les
+processus appartenant à un utilisateur ; cela permet d'ignorer tous les
 daemons et tous les processus appartenant à d'autres
 utilisateurs. Vous devez voir <prgn>bash</prgn>, le nom de votre
 shell. Vous aurez toujours le nom de votre shell.
@@ -685,7 +686,7 @@
 La colonne numéro deux vous renvoie le PID pour <em>Process
 IDentication</em> (identificateur de processus). On assigne à chaque
 signal un unique PID. Vous pouvez utiliser les PID pour contrôler
-individuellement les processus (on approndira le sujet
+individuellement les processus (on approfondira le sujet
 ultérieurement). Un truc utile est la commande <prgn>?</prgn> qui vous
 renvoie une liste des commandes disponibles sous <prgn>top</prgn>.
 
@@ -707,7 +708,7 @@
 <sect> Le shell
 
 <p>
-Le <em>shell</em>, ou <em>interpréteur de commandes</em> vous permet
+Le <em>shell</em>, ou <em>interpréteur de commandes</em>, vous permet
 d'interagir avec votre ordinateur. Il est appelé <em>shell</em>
 (coquillage) car il vous fournit un environnement de travail, comme
 une sorte de petite maison électronique pour vos travaux informatiques
@@ -742,13 +743,14 @@
 par défaut de Debian), le <em>Korn Shell</em> (<prgn>ksh</prgn>) et le
 <em>Z shell</em> (<prgn>zsh</prgn>). Il y a aussi <prgn>ash</prgn>,
 une implémentation traiditionnelle du Bourne shell. La plus connue des
+<!-- 		traditionnelle ?			-->
 variantes du C shell est <prgn>tcsh</prgn> (le <prgn>t</prgn> est un
 tribu payé aux systèmes d'exploitation <em>TENEX and TOPS-20</em> qui
 ont inspiré quelques parties de <prgn>tcsh</prgn> en sus de
 <prgn>csh</prgn>).
 
 <p>
-<prgn>bash</prgn> est certainement le choix le meilleur pour un nouvel
+<prgn>bash</prgn> est certainement le meilleur choix pour un nouvel
 utilisateur. C'est le shell par défaut et il comprend des tas de
 fonctionnalités que vous allez apprécier. Mais chaque shell possède
 ses avantages. Si vous voulez expérimenter, installez les différents
@@ -764,7 +766,7 @@
 <p>
 Debian est un système multi-tâches donc vous avez besoin d'un moyen de
 faire plus d'une chose à la fois. Les environnements graphiques, comme
-X, fournissent un élément naturel pour le faire: ils autorisent
+X, fournissent un élément naturel pour le faire : ils autorisent
 plusieurs fenêtres simultanément. Naturellement, <prgn>bash</prgn>, et
 tous les autres shells, fournissent des facilités similaires.
 
@@ -791,7 +793,7 @@
 courant) et ainsi remettre en avant-plan le shell. Lorsque vous
 suspendez un job, <prgn>bash</prgn> vous donne immédiatement quelques
 informations à son sujet et ensuite il renvoit un prompteur. Vous
-devriez apercevoir quelque chose comme cela à l'écran:
+devriez apercevoir quelque chose comme cela à l'écran :
 
 <p>
 <example>
@@ -816,7 +818,7 @@
 
 <p>
 Il y a de nombreuses choses à faire avec les jobs. Avec <prgn>man
-cp</prgn> toujours suspendu, essayez la commande suivante:
+cp</prgn> toujours suspendu, essayez la commande suivante :
 
 <p>
 <example>
@@ -832,7 +834,7 @@
 </example>
 
 <p>
-Cela le suspend; vous devriez voir les informations du job.
+Cela le suspend ; vous devriez voir les informations du job.
 
 <p>
 <example>
@@ -857,7 +859,7 @@
 
 <p>
 Demande au <prgn>bash</prgn> d'afficher l'état de tous les jobs en
-cours. Le résultats devraient ressembler à :
+cours. Le résultat devrait ressembler à :
 
 <p>
 <example>
@@ -915,7 +917,7 @@
 
 <p>
 Détruit le job numéro 1. <prgn>bash</prgn> fait un rapport
-d'information du job qui devrait ressembler à:
+d'information du job qui devrait ressembler à :
 
 <p>
 <example>
@@ -927,11 +929,11 @@
 <p>
 <prgn>bash</prgn> se contente de demander au job de se terminer et
 parfois ce dernier ne veut pas. Dans ce cas, vous devez ajouter
-l'option <prgn>-KILL</prgn><footnote> de nombreuses personnes
+l'option <prgn>-KILL</prgn><footnote> De nombreuses personnes
 utilisent le signal -9 plutôt que le nom du signal. Dans tous les cas,
 c'est techniquement moins portable que d'utiliser le nom du
-signal</footnote> pour arrêter la demande de destruction et commencer
-la destruction. Par exemple:
+signal.</footnote> pour arrêter la demande de destruction et commencer
+la destruction. Par exemple :
 
 <p>
 <example>
@@ -991,7 +993,7 @@
 état.
 
 <p>
-Une touche finale: la documentation de <prgn>bash</prgn> est plutôt
+Une touche finale : la documentation de <prgn>bash</prgn> est plutôt
 bonne mais il vaut mieux aller la chercher dans le système d'aide
 <prgn>info</prgn> que dans les pages de manuel. Pour la lire, tapez
 <prgn>info bash</prgn>. Voir la partie 16.2 pour les instructions

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