bonjour, commme c’est trop complique pour vous , le mieux est de trouver quelqu’un sous NetBSD, qu’il explique off course run in NetBSD.
d’autre inos de Chatgpt :
Le système d’amorçage d’Android est une chaîne de démarrage en plusieurs étapes qui permet de charger et d’exécuter le système d’exploitation de manière sécurisée. Voici les grandes phases :
1. Code de démarrage en ROM
Lorsque l’appareil s’allume, le processeur exécute en premier lieu un code stocké en ROM (Boot ROM). Ce code initial est non modifiable et sert à amorcer le chargement du bootloader.
2. Le Bootloader
Le bootloader, qui est lui-même souvent divisé en plusieurs étapes (premier et second stage), a pour rôle de :
• Vérifier l’intégrité de l’image de démarrage grâce à des mécanismes de sécurité (comme Android Verified Boot ou AVB).
• Charger le noyau Linux ainsi que l’image de démarrage (boot image) qui contient le noyau et un ramdisk compressé.
Le bootloader peut aussi proposer des modes spécifiques comme le mode fastboot ou recovery, utiles pour la maintenance, la mise à jour ou le dépannage.
3. Chargement du noyau Linux et du ramdisk
L’image de démarrage d’Android se compose essentiellement de :
• Le noyau Linux : Il est responsable de l’interface avec le matériel, de la gestion des ressources et de l’exécution des processus de bas niveau.
• Le ramdisk : Ce système de fichiers temporaire contient des scripts d’initialisation (notamment le fichier init.rc) et les premiers programmes nécessaires pour démarrer l’environnement Android.
4. Démarrage du processus init
Une fois le noyau chargé et initialisé, il lance le processus init, qui est le premier processus en espace utilisateur. Ce processus lit les scripts d’initialisation pour démarrer et configurer les services essentiels (gestion de la mémoire, lancement de services système, montage des partitions, etc.).
5. Lancement de l’environnement Android
Après l’initialisation de base, le système démarre les composants de plus haut niveau :
• Le runtime Android (par exemple, ART) qui gère l’exécution des applications.
• Le framework Android qui fournit les APIs et services nécessaires aux applications.
• L’interface utilisateur et les autres services qui permettent d’interagir avec l’appareil.
Cette chaîne d’amorçage garantit non seulement un démarrage structuré et efficace du système, mais aussi une vérification de la sécurité et de l’intégrité du logiciel dès le démarrage.
bonsoir peut etre que telnet c’est mieux ?
Changer le boot d’un téléphone ARM pour le faire fonctionner sous Linux est un projet ambitieux qui nécessite de bien comprendre les mécanismes du boot et d’être prêt à prendre des risques (annulation de garantie, risque de brick, etc.). Voici les grandes étapes à considérer :
1. Déverrouiller le bootloader
• Accès au mode fastboot ou d’un mode spécial : La plupart des téléphones Android permettent d’accéder à un mode de démarrage spécial (fastboot ou download mode) via une combinaison de touches.
• Commande de déverrouillage : Selon le modèle, vous pourrez utiliser des commandes comme fastboot oem unlock ou fastboot flashing unlock. Certaines marques exigent de demander un code de déverrouillage auprès du fabricant.
2. Installer un recovery personnalisé
• Utilisation d’un recovery tel que TWRP : Un recovery personnalisé permet de flasher des images non signées et de sauvegarder/rétablir vos partitions. Cela vous facilitera l’installation d’un système Linux ultérieurement.
3. Préparer l’image Linux
• Distribution adaptée à votre appareil : Des projets comme postmarketOS ou Ubuntu Touch proposent des versions de Linux conçues pour certains smartphones.
• Compilation d’un kernel compatible : Le noyau Linux doit être compilé avec les pilotes spécifiques au matériel de votre téléphone. Certaines communautés mettent à disposition des kernels adaptés.
4. Remplacer l’image de démarrage
• Création d’un nouveau boot image : L’image de démarrage (boot image) combine le noyau et un ramdisk initial contenant les scripts d’init. Vous devrez préparer cette image pour qu’elle charge votre système Linux.
• Flasher la nouvelle image : À l’aide d’outils comme fastboot, vous pourrez flasher le nouveau boot image. La commande ressemblera souvent à fastboot flash boot new_boot.img.
5. Tests et ajustements
• Premier démarrage : Au redémarrage, surveillez attentivement le processus de boot.
• Dépannage : Il est fréquent d’avoir à ajuster la configuration ou à intégrer des modules spécifiques pour que tout le matériel (wifi, écran, modem, etc.) fonctionne correctement sous Linux.
Précautions et ressources
• Documentation spécifique au modèle : Chaque appareil a ses particularités. Consultez des forums spécialisés comme XDA-Developers ou la documentation du projet Linux que vous souhaitez installer pour obtenir des instructions détaillées pour votre modèle.
• Sauvegardes et préparation : Avant toute manipulation, assurez-vous de sauvegarder l’ensemble de vos données et d’avoir un plan de secours pour restaurer l’état initial en cas de problème.
En résumé, passer un téléphone ARM sous Linux implique de déverrouiller le bootloader, d’installer un recovery personnalisé, de préparer un boot image Linux compatible avec votre matériel et de flasher cette image. Ce processus est hautement dépendant du modèle et requiert une bonne expertise technique. Assurez-vous de bien comprendre chaque étape et de suivre les guides spécifiques à votre appareil pour éviter les problèmes.
voila ce que propose chat gpt !ptilounullLe jeu. 27 févr. 2025 à 17:00, <awache322@gmail.com> a écrit :On Thursday 27 February 2025 16:42:45 philippe L wrote:
> null
> je suis sous MAC OSI, et donc je me demande si un telephone a100 euros
> peut me faire divers taches sur ffmpg opencv, etc …
> Et sur un serveur apache m’envoyer l’espace de travail le plus utilisée
> Ecclipse ?
> Android tourne sur Linux et a l’école du logiciel libre il a du mal mais
> j’ai vue un parinuxien et l’américain installé Linus Debian sir un
> téléphone, d’aillleurs l’américain au Fosdem il a dit que Debian a trop de
> beug €! Ptilou
Tu peu en demender à linus torval, sai fer ça le gua,
jeu le konais, y ai simpa.
html = oui, sai un langue active comme phpé