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[relecture] boot-floppies/documentation/fr/inst-methods.sgml



Nous voici de retour pour la suite de nos aventures.

Aujourd'hui, relecture de inst-methods, gros fichier contenant quelques
passages difficiles. D'où un gros diff et une jolie collection de
remarques / questions :

- tout d'abord je constate qu'on nous parle parfois de disquette root et
  parfois de disquette racine. Quelle traduction choisir ? ;
- toujours dans les disquettes, je vois ligne 754 « une bonne
  disquette » pour désigner une disquette non défectueuse. Pas mieux à
  proposer pour l'instant (vu que non défectueuse fait un peu lourd dans
  ce passage) mais je trouve quand même que ça sonne bien mal ;
- ligne 956, est-ce que « Utilities » est vraiment traduit par
  « Utilités » dans MacOS ? ;
- ligne 975, je n'ai malheureusement pas le programme (suntar) sous la
  main pour tester mais je suppose qu'il faut appuyer sur Entrée pour
  valider le fait qu'on souhaite commencer au secteur 0, non ? ;
- ligne 1169, j'avais un doute et effectivement mon dictionnaire me
  confirme que trivial est un faux ami ;
- à partir de la ligne 1226 on nous parle plusieurs fois de bootpd et
  dhcpd. Il s'agit du bootpd développé par CMU (Carnegie Mellon
  University) et du dhcpd développé par ISC (je n'ai pas la
  signification de l'acronyme sous les yeux mais il s'agit bien là aussi
  d'un groupe). Il me semble que « le bootpd de CMU » serait mieux que
  le « bootpd CMU » utilisé dans la traduction. Qu'en pensez-vous ? ;
- ligne 1534, quelqu'un connaît ces machines dataless ? On peut
  peut-être trouver mieux que « sans donnée » comme traduction... ;
- ligne 1557, alors que la VO donnait un exemple de syntaxe GNU/Linux
  probablement valable sur les Sun, la VF affirme que la syntaxe est
  correcte (« devez »). Est-ce que ça a un rapport avec le fait que
  juste après on trouve un chapitre qui n'existe que dans la VF et
  concernant Solaris ?

Voilà, c'est tout pour l'instant.

Hei hei
Mercen
--- inst-methods.sgml	Wed May 15 23:58:37 2002
+++ inst-methods.2.sgml	Fri May 31 12:17:59 2002
@@ -26,7 +26,7 @@
       façons sont aussi sur le cédérom ; l'archive réseau de
       Debian et l'organisation des répertoires du cédérom sont
       identiques. Ainsi, lorsqu'un chemin d'archive est demandé pour
-      un fichier particulier requis pour amorcer, il est  recherché
+      un fichier particulier requis pour amorcer, cherchez ce fichier
       dans le même répertoire ou sous-répertoire de votre cédérom.
     <p>
       Une fois l'installateur amorcé, il est capable d'obtenir tous
@@ -99,12 +99,12 @@
     <p>
       Si vous avez une connexion Ethernet fonctionnelle sur votre
       ordinateur et que votre carte Ethernet est une de celles
-      incluses dans le noyau d'insatllation, vous n'aurez alors besoin
+      incluses dans le noyau d'installation, vous n'aurez alors besoin
       que de l'archive tar du système d'installation.
     <p>
       Si vous installez Debian GNU/Linux sur un ordinateur sans
-      connexion réseau fonctionnelle, ou bien si votre connexion
-      réseau se réduit à celle de PPP (via un modem) plutôt qu'à une
+      connexion réseau fonctionnelle, ou bien si vous n'avez qu'une
+      connexion PPP (via un modem) plutôt qu'une
       connexion Ethernet, il vous sera alors nécessaire de télécharger
       <file/basedebs.tar/ avant de commencer l'installation.
 ]]>
@@ -115,7 +115,7 @@
       catégories&nbsp;
     <enumlist>
      <item>
-         les fichiers nécessaires à l'amorçage su système
+         les fichiers nécessaires à l'amorçage du système
          d'installation (par exemple, <![ %not-s390 [
          <file/rescue.bin/, <file/linux.bin/ et <file/root.bin/) ]]>
          <![ %s390 [ <file/kernel.debian/, <file/parmfile.debian/ et
@@ -144,14 +144,14 @@
       d'installation des pilotes de périphériques.
     <p>
       Si vous installez Debian GNU/Linux sur un ordinateur sans
-      connexion réseau fonctionnelle, ou bien si votre connexion
-      réseau se réduit à celle de PPP (via un modem) plutôt qu'à une
+      connexion réseau fonctionnelle, ou bien si vous n'avez qu'une
+      connexion PPP (via un modem) plutôt qu'une
       connexion Ethernet, il vous sera alors nécessaire de télécharger
       les trois types de fichiers avant de commencer l'installation.
 ]]>
 
     <p>
-      Si vous n'êtes pas sûr des fichiers qu'il vous faut, commencez
+      Si vous n'êtes pas sûr de savoir quels fichiers il vous faut, commencez
       simplement par les fichiers d'amorçage système. Si votre
       première tentative pour configurer le réseau avec l'installateur
       échoue, vous pouvez tout simplement arrêter, aller chercher les
@@ -195,7 +195,7 @@
     <tag>«&nbsp;compact&nbsp;»
     <item>
        Ressemble à «&nbsp;vanilla&nbsp;», mais elle est dépourvue des
-       pilotes les moins fréquemment utilisés (son, v41, etc.). De
+       pilotes les moins fréquemment utilisés (son, v4l, etc.). De
        plus, plusieurs cartes Ethernet PCI courantes
        sont compilées dans le noyau &mdash;&nbsp;NE2000, 3com 3c905,
        Tulip, Via-Rhine et Intel EtherExpress Pro100. L'inclusion de
@@ -204,7 +204,7 @@
        l'installateur Debian pour installer les disquettes de pilotes
        à partir du réseau&nbsp;; ainsi seules les
        disquettes racine et de secours sont à créer. Enfin
-       «&nbsp;compact&nbsp;» reconnait également plusieurs contrôleurs
+       «&nbsp;compact&nbsp;» reconnaît également plusieurs contrôleurs
        RAID courants&nbsp;: DAC960, et Compaq SMART2 RAID. La saveur
        «&nbsp;compact&nbsp;» comprend une disquette de secours, une
        disquette root et une disquette de pilotes de périphériques.
@@ -222,8 +222,8 @@
  <tag>«&nbsp;bf2.4&nbsp;»
     <item>
        C'est une saveur expérimentale qui utilise une version spéciale
-       du paquet kernel-image-2.4. Il reconnait
-       certains nouveaux matériels qui n'existent pas dans les autres
+       du paquet kernel-image-2.4. Il reconnaît
+       certains nouveaux matériels qui ne sont pas supportés par les autres
        saveurs (plus stables). Il accepte le matériel USB, les
        contrôleurs IDE modernes, les systèmes de fichiers ext3 et
        Reiser. En comparaison du jeu de pilotes inclus dans les
@@ -231,7 +231,7 @@
        ont été retirés de façon à conserver un nombre raisonnable de
        disquettes. Utilisez les autres saveurs si vous rencontrez des 
        problèmes inexplicables avec le noyau 2.4. Si vous avez besoin
-       d'encore plus de pilotes ou d'optimisation pour votre type de
+       d'encore plus de pilotes ou d'optimisations pour votre type de
        microprocesseur, n'hésitez pas à un installer un paquet
        «&nbsp;officiel&nbsp;» kernel-image-2.4.x-yz. Cette saveur
        est disponible avec une disquette root, une disquette de
@@ -258,7 +258,7 @@
     <taglist>
     <tag>«&nbsp;sun4cmd&nbsp;»
     <item>
-       C'est le noyau nécessaire au vieux matériel SPARC. Pour 
+       C'est le noyau nécessaire pour le vieux matériel SPARC. Pour 
        des modèles spécifiques, allez voir <ref
        id="supported-cpus">.
     <tag>«&nbsp;sun4u&nbsp;»
@@ -297,7 +297,7 @@
     <taglist>
     <tag>«&nbsp;r4k-ip22&nbsp;»
     <item>
-       C'est le noyau nécessaire aux machines SGI Indy, Indigo et
+       C'est le noyau nécessaire pour les machines SGI Indy, Indigo et
        Challenge S. Le noyau comprend la plupart des pilotes supportés
        par Linux, fournis sous forme de modules, comme les pilotes de
        périphériques réseau, SCSI, etc. Il n'y a pas
@@ -378,7 +378,7 @@
     <tag>«&nbsp;powermac&nbsp;»
     <item>
        C'est le noyau à utiliser pour la plupart des ordinateurs
-       Macintosh Power&nbsp;; c'est une version 2.2 du noyau Linux.
+       Power Macintosh&nbsp;; c'est une version 2.2 du noyau Linux.
     <tag>«&nbsp;new-powermac&nbsp;»
     <item>
        Utilisez ces noyaux pour les ordinateurs Macintosh les plus
@@ -387,7 +387,7 @@
     <tag>«&nbsp;apus&nbsp;»
     <item>
        Utilisez ces noyaux pour les systèmes basés sur Amiga
-       «&nbsp;Amiga Power-UP Systems&nbsp;»)&nbsp;; c'est une version
+       &nbsp;(«&nbsp;Amiga Power-UP Systems&nbsp;»)&nbsp;; c'est une version
        2.2 du noyau Linux.
     <tag>«&nbsp;chrp&nbsp;»
     <item>
@@ -419,7 +419,7 @@
       fonctionnalités pour s'installer sur tous les systèmes. Il n'est
       sans doute pas optimisé pour votre matériel, et vous pourrez le 
       remplacer une fois l'installation achevée. En particulier, ce noyau ne 
-      permet pas le SMP.
+      supporte pas le fonctionnement multi-processeurs (SMP).
     <p>
       Les fichiers de configuration pour ces saveurs peuvent être
       trouvés dans leur répertoire respectif dans un fichier appelé
@@ -533,7 +533,7 @@
 <![ %i386 [ 
     <p>
       L'installateur <em>ne peut pas</em> accéder aux fichiers placés
-      sur un système de fichiers NTFS &mdash;&nbsp;vous devez charger
+      sur un système de fichiers NTFS &mdash; vous devez charger
       le pilote approprié).
     <p>
       En plus des fichiers déjà cités, vous aurez besoin de
@@ -692,7 +692,7 @@
         sur cette bande sont&nbsp;: <file/kernel.debian/,
         <file/parmfile.debian/, <file/initrd.debian/ et un second
         initrd facultatif avec les modules OCO. Les trois premiers
-        fichiers peuvent être téléchargés depuis le sous répertoire
+        fichiers peuvent être téléchargés depuis le sous-répertoire
         <file/tape/, voyez <ref id="where-files">,
 
 <![ %FIXME [ <p><em>FIXME: talk more about the second initrd</em> ]]>
@@ -773,7 +773,7 @@
         et lisez la page de manuel associée).
       <p>
         Certains systèmes tentent de monter automatiquement la
-        disquette lorsque vous la placer dans le lecteur. Vous devrez
+        disquette lorsque vous la placez dans le lecteur. Vous devrez
         désactiver cette option sinon la station de travail ne vous
         permettra pas d'écrire des données <em>brutes</em> («&nbsp;raw
         mode&nbsp;») sur la disquette. Malheureusement, la façon de le
@@ -842,7 +842,7 @@
    and also use the setlang utility, that the langs will work
    on any arch. -->
 
-          Les messages affichés par la disquettes de secours (avant
+          Les messages affichés par la disquette de secours (avant
           de charger le noyau Linux) peuvent être écrits dans votre
           langue maternelle. Pour ce faire, si vous n'êtes pas
           anglophone, après avoir écrit le fichier image, vous devez
@@ -947,14 +947,14 @@
                </enumlist>
              <item>
                 Téléchargez <prgn>Copie disque</prgn>&nbsp;; si vous
-                avez un système MAcOS ou un cédérom, il devrait
+                avez un système MacOS ou un cédérom, il devrait
                 déjà être présent, sinon essayez <url
                 id="&url-powerpc-diskcopy;">.
              <item>
                 Lancez <prgn>Copie disque</prgn> puis sélectionnez
                 «&nbsp;Fabriquer une disquette&nbsp;» dans le menu
                 <tt>Utilités</tt>. Sélectionnez ensuite le fichier
-                images <em>bloqué</em> à partir de la fenêtre
+                image <em>bloqué</em> à partir de la fenêtre
                 résultante. Il vous sera demandé ensuite d'insérer
                 une disquette puis si vous voulez
                 l'effacer. Lorsque l'opération est terminée, la
@@ -985,7 +985,7 @@
              </enumlist>
                 Avant d'utiliser la disquette que vous venez de créer,
                 assurez-vous de <em>bien la protéger contre
-                écriture</em>&nbsp;! Sinon, si vous la montez
+                l'écriture</em>&nbsp;! Sinon, si vous la montez
                 accidentellement sous MacOS, ce dernier l'abîmera
                 irrémédiablement.
    ]]>
@@ -1055,7 +1055,7 @@
 	 <sect1 id="files-newworld">Amorçage de l'installateur sur disque dur pour les Mac NewWorld.
 
          <p>
-           Les PowerMac NewWolrd acceptent l'amorçage depuis le réseau
+           Les PowerMac NewWorld acceptent l'amorçage depuis le réseau
            ou bien depuis un cédérom ISO9660 aussi bien que depuis le
            chargement de binaires au format ELF depuis le disque
            dur. Ces machines amorceront Linux directement depuis
@@ -1082,7 +1082,7 @@
          <p>
            Notez quelque part le numéro de partition MacOS sur
            laquelle vous avez placé ces fichiers. Si vous possédez le
-           programme MAcOS <prgn>pdisk</prgn>, vous pouvez utiliser la
+           programme MacOS <prgn>pdisk</prgn>, vous pouvez utiliser la
            commande L pour vérifier le numéro de partition. Vous aurez
            besoin de taper ce numéro à l'invite de Open Firmware
            lorsque vous amorcerez l'installateur.
@@ -1114,21 +1114,21 @@
         est une solution pour indiquer à votre client l'adresse IP 
         qu'il doit utiliser pour lui-même. Une autre solution est
         d'utiliser le protocole BOOTP.]]><![ %supports-bootp [ BOOTP
-        est un protocole IP qui informe un ordinateur de ses adresses
+        est un protocole IP qui indique à un ordinateur quelle est son adresse
         IP et lui dit où obtenir sur le réseau une image d'amorçage. <![ %m68k
         [ Il existe désormais une autre solution pour les systèmes
         VMEbus&nbsp;: l'adresse IP peut être configurée manuellement
         dans la ROM d'amorçage.]]> ]]> <![ %supports-dhcp [ Le
         protocole DHCP («&nbsp;Dynamic Host Configuration
         Protocole&nbsp;» ou Protocole de configuration dynamique des
-        hôtes, NdT) est bien plus flexible, avec une extension
-        compatible ascendante avec BOOTP. Certains système ne peuvent
+        hôtes, NdT) est une extension bien plus flexible de BOOTP (mais
+        respectant la compatibilité ascendante). Certains système ne peuvent
         être configurés que via DHCP.
 
 <![ %powerpc [
       <p>
-        Pour les PowerPC, si vous avez une machine Macintosh Power
-        NewWorld, il vaut mieux utiliser DHCP à la place de
+        Pour les PowerPC, si vous avez une machine Power Macintosh
+        NewWorld, il vaut mieux utiliser DHCP plutôt que
         BOOTP. Certaines de ces dernières sont incapables d'amorcer en
         utilisant BOOTP.
   </p>
@@ -1141,24 +1141,24 @@
         À la différence du microprogramme Open Firmware que l'on
         trouve sur les machines SPARC et PowerPC, la console SRM
         n'utilisera <em>pas</em> RARP pour obtenir les adresses
-        IP&nbsp;; vous devrez ainsi utiliser BOOTP pour amorcer depuis
-        le réseau votre Alpha. Vous pouvez aussi entrer directement
+        IP&nbsp;; vous devrez ainsi utiliser BOOTP pour amorcer votre
+		Alpha depuis le réseau. Vous pouvez aussi entrer directement
         depuis la console VRM la configuration IP des interfaces
         réseau.
       <footnote>
         Les systèmes Alpha peuvent aussi s'amorcer depuis le réseau en
-        utilisant MDP DECNet («&nbsp;Maintenance Opérations
-        Protocoles&nbsp;», Protocole des opérations de Maintenance,
-        NdT) mais ce n'est pas couvert ici. Il est vraisemblable que
+        utilisant MOP DECNet («&nbsp;Maintenance Operations
+        Protocol&nbsp;», Protocole des opérations de Maintenance)
+		mais ce n'est pas couvert ici. Il est vraisemblable que
         votre opérateur local OpenVMS sera ravi de vous assister si
-        vous ne pouvez résister à l'envie d'utiliser MDP pour amorcer
+        vous ne pouvez résister à l'envie d'utiliser MOP pour amorcer
         Linux sur votre Alpha.
       </footnote>
 ]]>
 
 <![ %hppa [ 
       <p>
-        Quelques vieilles machines HPPA (<em>i.e.</em> 715/75) utilise
+        Quelques vieilles machines HPPA (<em>i.e.</em> 715/75) utilisent
         RBOOTD plutôt que BOOTP. Un paquet RBOOTD est disponible sur
         le site web de parisc-linux.
 
@@ -1208,13 +1208,13 @@
         La procédure est identique à celle utilisée sous SunOS dans le
         prochain paragraphe.
       <p>
-        Sous SunOS, vous devez vous assurer que les adresses matériels
+        Sous SunOS, vous devez vous assurer que les adresses matérielles
         Ethernet pour les clients soient listées dans la base de
         données «&nbsp;ether&nbsp;» (soit dans le fichier
         <file>/etc/ethers</file> soit via NIS/NIS+) et dans la base de
         données «&nbsp;hosts&nbsp;». Ensuite, vous devez lancer le
         démon RARP. Pour SunOS 4, essayez la commande (en tant que
-        root)&nbsp;: <tt>/usr/etc/rarpd -a</tt>&nbsp;; pour SunOS 5,
+        super-utilisateur)&nbsp;: <tt>/usr/etc/rarpd -a</tt>&nbsp;; pour SunOS 5,
         utilisez <tt>/usr/sbin/rarpd -a</tt>.
   <!-- end supports-rarp -->  ]]>
 
@@ -1224,7 +1224,7 @@
 
       <p>
         Il y a deux serveurs BOOTP disponibles pour GNU/Linux, bootpd
-        CMU et l'autre est vraiment un serveur DHCP, dhcpd ISC, que
+        CMU et l'autre qui est en fait un serveur DHCP, dhcpd ISC, que
         l'on peut trouver dans les paquets <package>bootp</package> et
         <package>dhcp</package> dans &debian;.
       <p>
@@ -1268,7 +1268,7 @@
         machine.]]>
 
       <p>
-        À l'opposé, configurer BOOTP avec<prgn>dhcpd</prgn> ISC est
+        En comparaison, configurer BOOTP avec<prgn>dhcpd</prgn> ISC est
         très facile parce qu'il traite les clients BOOTP comme des clients 
         DHCP légèrement spéciaux. Quelques architectures
         requièrent une configuration complexe pour amorcer des clients
@@ -1312,7 +1312,7 @@
 </example>
         
         Dans cet exemple, il y a un serveur  «&nbsp;servername&nbsp;»
-        qui joue le rôle de serveur, serveur DHCP, serveur TFTP et
+        qui joue le rôle de serveur DHCP, serveur TFTP et
         passerelle réseau. Vous devrez certainement changer les
         options de domain-name ainsi que le nom du serveur et les
         adresses matérielles du client. L'option
@@ -1320,7 +1320,7 @@
         via TFTP.
 
         Après avoir édité le fichier de configuration de dhcpd,
-        relancez <prgn>dhcpd</prgn> avec with <tt>/etc/init.d/dhcpd
+        relancez <prgn>dhcpd</prgn> avec <tt>/etc/init.d/dhcpd
         restart</tt>. ]]>
 
   <sect1 id="tftpd">Activer le serveur TFTP.
@@ -1351,7 +1351,7 @@
 
 <![ %mips [
       <p>
-        Si votre serveur TFTP est une boîte Linux 2.4.x, il vous
+        Si votre serveur TFTP est une machine utilisant Linux 2.4.x, il vous
         faudra effectuer la manoeuvre suivante sur votre
         serveur&nbsp;:
 
@@ -1387,7 +1387,7 @@
 
 <![ %powerpc [
        <p>
-         Sur les machines Macintosh Power NewWorld, vous devrez
+         Sur les machines Power Macintosh Power, vous devrez
          configurer le chargeur d'amorçage «&nbsp;yaboot&nbsp;» comme
          une image d'amorçage TFTP. Yaboot chargera les images du
          noyau et du disque virtuel à travers TFTP. Pour amorcer à
@@ -1406,7 +1406,7 @@
          <prgn>bc</prgn>, vous pouvez l'utiliser. En premier, utilisez
          la commande <tt>obase=16</tt> pour configurer la sortie en
          hexadécimal, puis entrez les composants individuels du client
-         IP un par un. Comme pour <var>architecture-du-client</var>,
+         IP un par un. Et pour <var>architecture-du-client</var>,
          essayez quelques valeurs.
 
 ]]>
@@ -1416,13 +1416,13 @@
          Pour les DECstation, il y a des fichiers tftpimage pour
          chaque sous-architecture&nbsp;; ils contiennent à la fois un
          noyau et un installateur en un seul fichier. La convention
-         d'appellation est tftpimage-<var>subarch</var> ou
+         de nommage est tftpimage-<var>subarch</var> ou
          tftpimage-<var>subarch</var>.gz. Si l'image tftp est gzippée
-         (si le nom se terminent par .gz), vous devrez la décompresser
+         (si le nom se termine par .gz), vous devrez la décompresser
          d'abord avec la commande «&nbsp;gunzip
          tftpimage-<var>subarch</var>.gz&nbsp;» car les DECstation ne
-         peuvent s'amorcer depuis un fichier compressé via
-         TFTP. Copiez l'image tftp que vous allez utiliser dans
+         peuvent s'amorcer via TFTP avec un fichier compressé.
+         Copiez l'image tftp que vous allez utiliser dans
          <tt>/tftpboot/tftpboot.img</tt> si vous travaillez avec
          l'exemple de configuration de BOOTP/DHCP décrit plus haut.
        <p>
@@ -1437,7 +1437,7 @@
 <p>
 <tt>boot #/tftp/filename param1=value1 param2=value2 ...</tt>
 <p>
-          Plusieurs révisions de microprogramme de DECstation ont un
+          Plusieurs révisions du microprogramme des DECstation ont un
           problème avec l'amorçage depuis le réseau&nbsp;: le
           transfert débute mais après un certain temps, il s'arrête
           avec «&nbsp;a.out.err&nbsp;». Ceci peut avoir plusieurs
@@ -1455,8 +1455,8 @@
              «&nbsp;cnfg&nbsp;» à l'invite du microprogramme de la
              DECstation.
           <item>
-             Le microprogramme a une taille limite sur les fichiers et ne
-             pas s'amorcer par TFTP.
+             Le microprogramme impose une limite sur la taille des fichiers
+			 utilisés pour amorcer par TFTP.
           </enumlist>
           Il y aussi des révisions de microprogramme qui ne peuvent pas
           s'amorcer du tout par TFTP, voyez <url
@@ -1466,16 +1466,16 @@
 
 <![ %alpha [
         <p>
-          Sur Alpha, vous devez spécifier le nom de fichier (comme un
-          chemin relatif vers le répertoire image d'amorçage) en
+          Sur Alpha, vous devez spécifier le nom de fichier (le chemin
+          étant relatif au répertoire de l'image d'amorçage) en
           utilisant l'argument <tt>-file</tt> de la commande
-          <tt>boot</tt> SRM ou en configurant la variable
+          <tt>boot</tt> de SRM ou en configurant la variable
           d'environnement <tt>BOOT_FILE</tt>. Vous pouvez aussi passer
           le nom de fichier via BOOTP (pour dhcpd ISC, utilisez la
           directive <tt>filename</tt>). À la différence de Open
           Firmware, il n'y a pas de <em>nom de fichier par défaut</em>
-          sur SRM donc vous <em>devez</em> spécifier un nom de fichier
-          par une des méthodes suivantes&nbsp;:
+          dans SRM donc vous <em>devez</em> utiliser une de ces méthodes
+		  pour spécifier un nom de fichier.
  ]]>
 
 <![ %sparc [
@@ -1483,7 +1483,7 @@
           Les architectures SPARC par exemple utilisent les noms de
           sous-architecture, comme «&nbsp;SUN4M&nbsp;» ou
           «&nbsp;SUN4C&nbsp;»&nbsp;; dans certains cas, l'architecture
-          est laissée en blanc et le fichier que le client recherche
+          n'est pas précisée et le fichier que le client recherche
           est simplement <file>ip-du-client-en-hexa</file>. Ainsi, si
           votre sous-architecture système est SUN4C et que son adresse
           IP est 192.168.1.3, le nom de fichier sera
@@ -1493,7 +1493,7 @@
           rechercher un nom de fichier spécifique en l'ajoutant à la
           fin de la commande d'amorçage de OpenPROM comme <tt>boot net
           <var>my-sparc.image</var></tt>. Ce fichier doit bien sûr être présent
-          dans le répertoire que le serveur TFTP parcourt.
+          dans le répertoire utilisé par le serveur TFTP.
  ]]>
 
 <![ %m68k [
@@ -1512,19 +1512,19 @@
 
 <![ %mips [
         <p>
-          Sur les Indy de SGI, vous pouvez relier lors de l'amorçage
-          de bootpd la fourniture du nom du fichier TFTP. Il est donné
-          soit par <tt>bf=</tt> dans /etc/bootptab ou bien par
-          l'option de <tt> filename=</tt> dans /etc/dhcpd.conf.
+          Sur les Indy de SGI, vous pouvez compter sur BOOTP pour
+		  fournir le nom du fichier TFTP. Il est donné
+          soit par <tt>bf=</tt> dans /etc/bootptab soit par
+          l'option <tt> filename=</tt> dans /etc/dhcpd.conf.
         <p>
 ]]>
 
 <![ %sparc [
-     <sect1>Installation de TFTP pour système avec peu de mémoire
+     <sect1>Installation de TFTP sur un système avec peu de mémoire
 
 	<p>
           Sur certains systèmes, le disque virtuel d'installation
-          standard, combinée avec les exigences en mémoire de l'image
+          standard, combiné avec les exigences en mémoire de l'image
           d'amorçage TFTP, ne peuvent tenir en mémoire. Dans ce cas,
           vous pouvez quand même utiliser TFTP mais vous aurez à
           passer par une étape supplémentaire pour monter votre
@@ -1533,7 +1533,7 @@
           disque (<em>diskless</em>) et les clients sans donnée
           (<em>dataless</em>).
 	<p>
-          Premièrement, suivez toutes les étapes ci-dessus dans <ref
+          Commencez par suivre toutes les étapes ci-dessus dans <ref
           id="install-tftp">.
         <enumlist>
 	<item>
@@ -1548,7 +1548,7 @@
 # tar xvzf root.tar.gz
 </example>
            Assurez-vous d'utiliser le <prgn>tar</prgn> de GNU (les
-           autres programmes, comme celui de SunOS, manipule
+           autres programmes, comme celui de SunOS, manipulent
            incorrectement certains périphériques comme les fichiers
            ordinaires).
 	<item>
@@ -1623,9 +1623,9 @@
 
         <p>
           Pour installer sur de nombreux ordinateurs, il est possible
-          de d'utiliser l'installation complètement automatisée
+          d'utiliser l'installation complètement automatisée
           appelée <prgn/FAI/ (pour «&nbsp;Fully Automatic
-          Installlation&nbsp;», NdT). Le paquet Debian <file/fai/ doit
+          Installation&nbsp;», NdT). Le paquet Debian <file/fai/ doit
           être installé sur un ordinateur appelé le serveur
           d'installation. Ensuite, tous les clients à installer
           s'amorcent depuis leur carte réseau ou une disquette et

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