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Corrections des mises à jour



Salut à tous,

Voici les corrections des fichiers que j'ai mis à jour il y a un certain
temps déjà.

Bugs/Developer.wml
Bugs/Reporting.wml
Bugs/server-control.wml
Bugs/server-refcard.wml
Bugs/server-request.wml
international/Korean.wml
intro/free.wml
intro/license_disc.wml
mirror/push_server.wml
vote/howto_proposal.wml


Merci à Nicolas Bertolissio, Sebastien Kalt et Alain Reinhardt pour
leurs relectures.

Et merci à tous pour les éclaircissements concernant les expressions
latines et la GPL.

(J'ai laissé « à priori » tel quel et j'ai laissé « Licence publique
générale » comme traduction de « General Public License ».)

A+,
Christian.
#use wml::debian::template title="Gestion des bogues Debian - informations pour les développeurs" NOHEADER=yes NOCOPYRIGHT=true #use wml::debian::translation-check translation="1.22" translation_maintainer="Christian Couder "

Informations pour les développeurs concernant le système de traitement des bogues

Initialement, un rapport de bogue est soumis par un utilisateur comme un message ordinaire à submit@bugs.debian.org. Il lui sera alors donné un numéro, un accusé de réception sera envoyé à l'utilisateur, et il sera transmis à debian-bugs-dist. Si celui qui a soumis le rapport a inclus une ligne Package indiquant un paquet ayant un mainteneur connu, le mainteneur recevra aussi une copie.

La ligne Subject se verra rajouter Bug#nnn:, et le Reply-To sera modifié pour inclure à la fois celui qui a soumis le rapport et nnn@bugs.debian.org.

Fermer un rapport de bogue

Un développeur qui reçoit un bogue du système de gestion, ou qui le voit sur debian-bugs-dist, et prend la responsabilité de celui-ci doit répondre à l'aide de son logiciel de courrier préféré, et modifier le champ To pour y inscrire nnn-done@bugs.debian.org à la place de nnn@bugs (nnn-close est fourni comme alias pour nnn-done).

L'adresse de celui qui a soumis le rapport de bogue sera incluse dans le champ To par défaut, parce que le système de gestion des bogues l'a inclus dans le Reply-To.

Les messages « Done » sont automatiquement envoyés à la liste de diffusion debian-bugs-closed uniquement. Si d'autres développeurs sont susceptibles d'être intéressés il peut être parfois utile d'inclure la liste de diffusion debian-devel@lists.debian.org.

La personne fermant le bogue et la personne l'ayant soumis recevront une notification du changement de statut du rapport.

Messages suivants

Si un développeur souhaite répondre à un rapport de bogue, il peut simplement répondre au message (cela ne marquera pas le bogue comme ayant été traité). Sa réponse ira (par défaut s'il respecte le champ Reply-To:) à nnn@bugs, et à celui qui a soumis le rapport de bogue original (note : ce sont deux adresses distinctes). Le système de gestion des bogues recevra le message à nnn@bugs, le transmettra au mainteneur du paquet, enregistrera la réponse avec les autres enregistrements de ce rapport de bogue et le transmettra à debian-bugs-dist.

Un développeur pourra explicitement envoyer un message à celui qui a soumis le bogue en envoyant un message à nnn-submitter@bugs.

Si vous souhaitez envoyer un message de réponse qui n'est pas approprié pour debian-bugs-dist vous pouvez le faire en l'envoyant à nnn-quiet@bugs ou nnn-maintonly@bugs. Un message envoyé à nnn-quiet@bugs est enregistré dans le système de gestion des bogues mais n'est transmis à aucun individu ni aucune liste de diffusion. Un message envoyé à nnn-maintonly@bugs est enregistré dans le système de gestion des bogues et est transmis au mainteneur du paquet en question.

N'utilisez pas les fonctions « répondre à tous les destinataires » ou « transférer » de votre logiciel de courrier sauf si vous avez l'intention d'éditer la liste des destinataires de manière substantielle. En particulier, vérifiez que vous n'envoyez pas de réponse à submit@bugs.debian.org.

Niveaux de gravité

Le système de bogues enregistre un niveau de gravité avec chaque rapport de bogue. Celui-ci est mis à normal par défaut, mais peut être modifié soit en fournissant une ligne Severity dans le pseudo-en-tête quand le bogue est soumis (voir les instructions pour signaler les bogues), soit en utilisant la commande severity avec le serveur de requêtes de contrôle.

Les niveaux de gravité sont :

critical (critique)
rend inexploitables des programmes qui ne lui sont pourtant pas associés ou casse globalement le système ou cause des pertes sévères de données ou, encore, crée une faille dans la sécurité du système.
grave (grave)
rend le paquet en question inutilisable ou presque, ou cause des pertes de données, ou introduit une faille de sécurité permettant l'accès aux comptes des utilisateurs qui se servent du paquet.
serious (sérieux)
est une sévère violation de la politique Debian (c'est-à-dire qu'il viole une directive « must » ou « required »), ou, dans l'esprit du mainteneur du paquet, rend le paquet inadapté à la livraison.
important (important)
est un bogue ayant un effet majeur sur l'utilité du paquet, tout en ne le rendant pas complètement inutilisable par n'importe qui.
normal (normal)
la valeur par défaut, applicable à la plupart des bogues.
minor (mineur)
un problème qui n'affecte pas l'utilité du paquet, et qui est à priori simple à résoudre.
wishlist (liste de souhaits)
pour n'importe quelle demande d'une fonctionnalité, et aussi pour n'importe quel bogue très difficile à résoudre du fait de la conception du paquet.
fixed (corrigé)
pour les bogues qui ont été corrigés mais ne devraient pas encore être fermés. C'est une exception faite pour les bogues résolus par des envois de non-mainteneurs. Note : la marque « fixed » devrait être utilisée à la place.

Marques sur les rapports de bogues

Chaque bogue peut avoir zéro, un ou plusieurs ensembles de certaines marques. Ces marques sont affichées dans la liste des bogues quand vous regardez la page d'un paquet, et quand vous regardez l'enregistrement complet du bogue.

Les marques peuvent être indiquées en fournissant une ligne Tags dans le pseudo-en-tête quand le bogue est soumis (voyez les instructions pour signaler des bogues), ou en utilisant la commande tags avec le serveur de requêtes de contrôle.

Les marques disponibles actuellement pour les bogues sont :

patch (patch)
Un patch ou une procédure facile à suivre pour résoudre le bogue est incluse dans les enregistrements du bogue. S'il y a un patch mais qu'il ne résoud pas le bogue correctement ou cause d'autres problèmes, cette marque ne devrait pas être utilisée.
wontfix (ne va pas être résolu)
Ce bogue ne sera pas résolu. Peut être parce que c'est un choix entre deux façons arbitraires de faire les choses et que le mainteneur et celui qui a soumis le bogue préfèrent des façons différentes de faire les choses, peut être parce que changer le fonctionnement causera d'autres problèmes, pires à d'autres, ou peut être pour d'autres raisons.
moreinfo (plus d'info)
Ce bogue ne peut pas être résolu tant que des informations supplémentaires n'auront pas été fournies par celui qui a soumis le bogue. Ce bogue sera fermé si celui qui l'a soumis ne fournit pas plus d'informations pendant une période de temps raisonnable (quelques mois). C'est pour les bogues du type « Ca ne marche pas ». Qu'est ce qui ne marche pas ?
unreproducible (non reproductible)
Ce bogue ne peut pas être reproduit sur le système du mainteneur. De l'assistance d'un tiers est nécessaire pour diagnostiquer les causes du problème.
fixed (résolu)
Ce bogue a été résolu ou contourné (par un envoi d'un non-mainteneur, par exemple), mais il reste un problème qui doit être résolu. Cette marque remplace l'ancienne sévérité « fixed ».
security (sécurité)
Ce bogue décrit un problème de sécurité dans un paquet (par exemple, mauvaises permissions permettant l'accès à des données qui ne devraient pas être accessibles ; dépassement de limite de tampon permettant à des gens de prendre le contrôle d'un système de façons dont ils ne devraient pas ; attaques par dénis de service qui devraient être résolues, etc). La pluspart des bogues de sécurité devraient aussi être indiqués par une sévérité critique (critical) ou grave (grave).
potato
Ce bogue s'applique particulièrement à la version potato de Debian.
woody
Ce bogue s'applique particulièrement à la version woody (non encore livrée) de woody.
sid
Ce bogue s'applique particulièrement à une architecture qui est pour l'instant non disponible (c'est à dire dans la distribution sid).

Les trois marques qui précèdent sont destinées à être utilisées principalement pour les bogues critiques pour la sortie de la version, pour lesquels il est important de savoir quelles distributions sont affectées afin d'appliquer les corrections (ou les suppressions) au bon endroit.

Enregistrer que vous avez traité un rapport de bogue

Quand un développeur envoie un rapport de bogue au développeur du paquet source original depuis lequel le paquet Debian est dérivé, il devrait noter cela dans le système de gestion de la manière suivante :

S'assurer que le champ To de son message à l'auteur ne comporte que l'adresse du ou des auteurs ; mettre à la fois la personne qui a rapporté le bogue et nnn-forwarded@bugs.debian.org dans le champ CC.

Demander à l'auteur de garder tel quel le CC vers nnn-forwarded@bugs quand il répond, de façon à ce que le système de gestion des bogues enregistre sa réponse avec le rapport original.

Quand le système de gestion des bogues reçoit un message à nnn-forwarded il marquera le bogue correspondant comme ayant été transmis à(aux) adresse(s) dans le champ To du message qu'il reçoit.

Vous pouvez aussi manipuler les informations « forwarded to » en envoyant des messages à control@bugs.debian.org.

Résumés postés à debian-bugs-reports

Chaque vendredi une liste de rapports de bogues non encore corrigés est postée à debian-bugs-reports, triée par date du rapport. Chaque mardi une liste de rapports de bogues auxquels il n'a pas été répondu depuis trop longtemps est postée, triée par mainteneur de paquet.

Si le mainteneur d'un paquet est inscrit de manière incorrecte cela est généralement dû au fait que le mainteneur a changé récemment, et que le nouveau mainteneur n'a pas encore soumis une nouvelle version du paquet avec le champ de contrôle Maintainer modifié. Cela sera corrigé quand le paquet sera remis à jour ; autrement, les mainteneurs des archives peuvent écraser à la main les informations concernant le mainteneur, par exemple si une reconstruction ou une remise à jour du paquet n'est pas prévue avant un certain temps. Contactez override-change@debian.org pour les modifications du fichier d'écrasement (override file).

Rouvrir, réassigner et manipuler les bogues

Il est possible de réassigner des rapports de bogues à d'autres paquets, de rouvrir des bogues fermés par erreur, de modifier l'information disant où, s'il y a lieu, un rapport de bogue a été transmis, de changer les gravités et titres des rapports et de fusionner et de diviser des rapports de bogue. Ceci se fait en envoyant un message à control@bugs.debian.org.

Le format de ces messages est décrit dans un autre document disponible sur la Toile ou dans le fichier bug-maint-mailcontrol.txt. Une version en texte seul peut aussi être obtenue en envoyant le mot help au serveur à l'adresse ci-dessus.

Possibilités plus ou moins obsolètes d'utiliser l'objet des messages

Les messages qui arrivent à submit ou bugs et dont le champ « Objet » (Subject) commence par Bug#nnn seront traités comme ayant été envoyés à nnn@bugs. Ceci pour assurer la compatibilité ascendante avec les messages envoyés depuis les anciennes adresses, et pour récupérer les réponses envoyées à submit par erreur (par exemple, en utilisant la commande « répondre à tous les destinataires »).

Un schéma identique opère pour maintonly, done, quiet et forwarded, qui traite les messages arrivant avec un tel Objet comme ayant été envoyés à l'adresse correspondante nnn-XXXXXX@bugs.

Les messages arrivant à forwarded et done sans identificateur - i.e., sans numéro de rapport de bogue dans l'adresse - et sans numéro de bogue dans l'Objet seront enregistrés sous « junk » et gardés pendant quelques semaines, mais à part cela ignorés.

Fonctionnalité obsolète X-Debian-PR: quiet

Il était possible d'empêcher le système de gestion des bogues de transmettre les messages qu'il recevait à debian-bugs, en mettant une ligne X-Debian-PR: quiet dans l'en-tête du message.

Cette ligne d'en-tête est maintenant ignorée. À la place, envoyez votre message à quiet ou nnn-quiet (ou maintonly ou nnn-maintonly).

#use "otherpages.inc" #use "footer.inc" #use wml::debian::template title="Gestion des bogues Debian - signaler les bogues" NOHEADER=yes NOCOPYRIGHT=true #use wml::debian::translation-check translation="1.17" translation_maintainer="Christian Couder "

Instructions pour signaler des bogues

Envoyez un message à submit@bugs.debian.org, comme décrit ci-dessous.

S'il vous plaît, ne signalez pas plusieurs bogues qui n'ont pas de liens entre eux - en particulier s'ils sont dans des paquets différents - dans un même message. Merci aussi de n'envoyer votre message de rapport de bogue à aucune liste de diffusion ou aucun destinataire autre que submit@bugs (pour les détails sur la manière de le faire correctement, voyez ci-dessous).

Les listes des bogues non encore résolus sont disponibles sur la Toile et ailleurs - voyez les autres documents pour plus de détails.

Vous devez mettre en pseudo-en-tête au début du corps du message, en utilisant les lignes Package: et Version: qui donnent le nom et la version du paquet ayant le bogue. (Les champs du pseudo-en-tête devraient commencer au tout début de leur ligne. Actuellement, le système de gestion des bogues ne comprend pas les messages MIME ou PGP, et peut échouer à reconnaître les pseudo-en-têtes dans de tels messages.) (Vous pouvez obtenir cela en utilisant dpkg --search et dpkg --list ; voyez dpkg --help. Voyez ci-dessous les exigences supplémentaires.

Il y a des pseudo-paquets disponibles pour remplir la ligne Package quand on signale un bogue dans autre chose qu'un paquet logiciel Debian. Il y a une liste de ceux-ci sur les pages web concernant les bogues.

Note du traducteur : La langue des rapports de bogue est l'anglais, afin que ceux-ci puissent être compris par le maximum de développeurs. Aucune traduction des rapports de bogue n'a été mise en place pour l'instant.

Exemple

Un rapport de bogue, avec un en-tête de message, ressemble à quelque chose comme ceci :

  To: submit@bugs.debian.org
  From: diligent@testing.linux.org
  Subject: Hello says `goodbye'

  Package: hello
  Version: 1.3-16

  When I invoke `hello' without arguments from an ordinary shell
  prompt it prints `goodbye', rather than the expected `hello, world'.
  Here is a transcript:

  $ hello
  goodbye
  $ /usr/bin/hello
  goodbye
  $

  I suggest that the output string, in hello.c, be corrected.

  I am using Debian GNU/Linux 2.2, kernel 2.2.17-pre-patch-13
  and libc6 2.1.3-10.

Note du traducteur : Pour information, une traduction de ce message serait :

  A: submit@bugs.debian.org
  De: diligent@testing.linux.org
  Objet: Hello affiche « goodbye »

  Package: hello
  Version: 1.3-2

  Quand je lance « hello »  sans arguments depuis un shell ordinaire
  cela affiche « goodbye », plutôt que le « hello, world » attendu.
  Voici une transcription :

  $ hello
  goodbye
  $ /usr/bin/hello
  goodbye
  $

  Je suggère que la chaîne de caractère en sortie, dans hello.c, soit corrigée.

  J'utilise Debian 1.1, noyau version 1.3.99.15z
  et libc 5.2.18.3.2.1.3-beta.

Merci d'inclure dans votre rapport :

Incluez tout détail qui semble lié - il y a très peu de risque de rendre votre rapport trop long en incluant trop d'informations. S'ils sont petits, merci d'inclure dans votre rapport tout fichier que vous avez utilisé pour reproduire le problème (en les uuencodant s'ils peuvent contenir des caractères spéciaux).

Bien sûr, comme pour tout message, vous devriez mettre une ligne Objet (Subject en anglais) claire, descriptive dans votre en-tête de message. L'objet que vous donnez sera utilisé comme le titre initial du bogue dans le système de gestion, aussi merci d'essayer d'être informatifs !

Envoyer des copies de rapports de bogue à d'autres adresses

Il est parfois nécessaire d'envoyer une copie d'un rapport de bogue ailleurs qu'à debian-bugs-dist et au mainteneur du paquet, où le rapport est normalement envoyé.

Vous pourriez faire cela en utilisant les autres adresses dans le champs Copies-A (CC en anglais) de votre logiciel de messagerie, mais alors les autres copies n'auraient pas de numéro de rapport de bogue mis dans le champ Répondre-A (Reply-To en anglais) et dans la ligne Objet (Subject en anglais). Quand les destinataires répondront ils garderont probablement l'entrée submit@bugs.debian.org dans l'en-tête et verront leur message enregistré comme un nouveau rapport de bogue. Cela engendre beaucoup de rapports dupliqués.

La bonne manière de procéder est d'utiliser l'en-tête X-Debbugs-CC. Ajoutez une ligne comme celle ci à votre en-tête de message (pas au pseudo-en-tête contenant le champs Package) :

 X-Debbugs-CC: autre-liste@cosmic.edu
Cela fera envoyer par le système de gestion des bogues une copie de votre rapport à l'adresse (aux adresses) de la ligne X-Debbugs-CC aussi bien qu'à debian-bugs-dist.

Cette fonctionnalité peut souvent être utilement combinée avec le code de message quiet - voyez ci-dessous.

Niveaux de gravité

Si un rapport concerne un bogue particulièrement grave, ou si c'est plutôt une demande de fonctionnalité, vous pouvez indiquer un niveau de gravité pour le bogue lorsque vous le signalez. Ce n'est cependant pas indispensable et les développeurs assigneront un niveau de gravité approprié à votre rapport si vous ne le faites pas.

Pour indiquer un niveau de gravité mettez une ligne Severity: sévérité dans le pseudo-en-tête, avec les lignes Package et Version. Les niveaux de gravité disponibles sont décrits dans la documentation des développeurs.

Comment ne pas envoyer un bogue vers la liste de diffusion - les rapports de bogues mineurs

Si un rapport de bogue est mineur (par exemple, une typo dans la documentation ou tout autre problème trivial de compilation), ou si vous envoyez plusieurs rapports en une seule fois, envoyez-les à maintonly@bugs ou quiet@bugs. maintonly enverra le rapport au mainteneur de paquet (pourvu que vous ayez fourni une ligne Package correcte dans le pseudo-en-tête et que le mainteneur soit connu), et quiet ne le transmettra nulle part mais l'enregistrera seulement comme un bogue (utile si, par exemple, vous envoyez beaucoup de bogues similaires et si vous voulez poster seulement un résumé).

Si vous faites cela, le système de gestion des bogues remplira le champ Répondre-A (Reply-To) de tout message transmis de façon à ce que les réponses soient par défaut traitées de la même manière que le rapport original.

Rapports de bogues concernant des paquets inconnus

Si le système de gestion des bogues ne peut trouver qui est le mainteneur du paquet concerné il enverra le rapport à debian-bugs-dist même si le code maintonly a été utilisé.

Quand vous envoyez un message à maintonly@bugs ou nnn-maintonly@bugs vous devriez vérifier que le rapport de bogue est assigné au bon paquet, en remplissant correctement le champ Package en haut de la soumission originale d'un rapport, ou en utilisant le service control@bugs pour tout d'abord (ré)assigner correctement le rapport si ce n'est pas déjà correct.

Utiliser dpkg pour trouver le paquet et la version pour le rapport

Si vous signalez un bogue dans une commande, vous pouvez déterminer quel paquet l'a installée en utilisant dpkg --search. Vous pouvez trouver la version d'un paquet que vous avez installé en utilisant dpkg --list ou dpkg --status.

Par exemple :

$ which apt-get
/usr/bin/apt-get
$ type apt-get
apt-get is /usr/bin/apt-get
$ dpkg --search /usr/bin/apt-get
apt: /usr/bin/apt-get
$ dpkg --list apt
Desired=Unknown/Install/Remove/Purge/Hold
| Status=Not/Installed/Config-files/Unpacked/Failed-config/Half-installed
|/ Err?=(none)/Hold/Reinst-required/X=both-problems (Status,Err: uppercase=bad)
||/ Name           Version        Description
+++-==============-==============-============================================
ii  apt            0.3.19         Advanced front-end for dpkg
$ dpkg --status apt
Package: apt
Status: install ok installed
Priority: standard
Section: base
Installed-Size: 1391
Maintainer: APT Development Team <deity@lists.debian.org>
Version: 0.3.19
Replaces: deity, libapt-pkg-doc (<< 0.3.7), libapt-pkg-dev (<< 0.3.7)
Provides: libapt-pkg2.7
Depends: libapt-pkg2.7, libc6 (>= 2.1.2), libstdc++2.10
Suggests: dpkg-dev
Conflicts: deity
Description: Advanced front-end for dpkg
 This is Debian's next generation front-end for the dpkg package manager.
 It provides the apt-get utility and APT dselect method that provides a
 simpler, safer way to install and upgrade packages.
  .
 APT features complete installation ordering, multiple source capability
 and several other unique features, see the Users Guide in
 /usr/doc/apt/guide.text.gz

#use "otherpages.inc" #use "footer.inc" #use wml::debian::template title="Gestion des bogues Debian - serveur de contrôle" NOHEADER=yes NOCOPYRIGHT=true #use wml::debian::translation-check translation="1.16" translation_maintainer="Christian Couder "

Introduction au serveur de messages de contrôle et de manipulation des bogues

En plus du serveur de messages à request@bugs.debian.org qui permet de récupérer les données et la documentation des bogues par courrier électronique, il y a un autre serveur à control@bugs.debian.org qui permet aussi de manipuler des rapports de bogue de différentes façons.

Le serveur de contrôle fonctionne simplement comme le serveur de requêtes, excepté qu'il dispose de commandes supplémentaires ; en fait, c'est le même programme. Les deux adresses sont simplement distinctes pour éviter aux utilisateurs de faire des erreurs et de causer des problèmes en essayant juste de récupérer des informations.

Merci de lire au préalable l'introduction au serveur de requêtes disponible sur la Toile, dans le fichier bug-log-mailserver.txt, ou en envoyant help à l'un des serveurs de messages, pour connaître les détails de l'utilisation de base de ces serveurs et les commandes usuelles disponibles lors de l'envoi de message à ces adresses.

La carte de référence pour les serveurs de messages est disponible sur la Toile, à bug-mailserver-refcard.txt ou par courrier électronique en utilisant la commande refcard).

Les commandes disponibles uniquement sur le serveur de messages de contrôle

close NuméroDeBogue

Ferme le rapport de bogue #NuméroDeBogue.

Une notification est envoyée à l'utilisateur qui a signalé le bogue, mais (contrairement à l'envoi à NuméroDeBogue-done@bugs) le texte du message qui a servi à fermer le bogue n'est pas inclus dans cette notification. Le mainteneur qui ferme un rapport devrait s'assurer, probablement en envoyant un message séparément, que l'utilisateur qui a signalé le bogue sait pourquoi le rapport est fermé.

reassign NuméroDeBogue Paquet

Enregistre le fait que le bogue #NuméroDeBogue est un bogue dans Paquet.

Cela peut être utilisé pour indiquer le paquet si l'utilisateur a oublié le pseudo-en-tête, ou de changer un assignement préalable. Aucune notification n'est envoyée à quiconque (autre que l'information habituelle lors de la transcription en cours).

reopen NuméroDeBogue [ AdresseDOrigine | = | ! ]

Rouvre #NuméroDeBogue s'il a été fermé.

Par défaut, ou si vous spécifiez =, celui qui a soumis initialement le rapport reste l'origine du rapport, de façon à ce qu'il reçoive une confirmation quand il sera de nouveau refermé.

Si vous fournissez une AdresseDOrigine l'origine sera l'adresse que vous fournissez. Si vous souhaitez devenir la nouvelle origine du rapport rouvert vous pouvez utiliser le raccourcis ! ou spécifier votre propre adresse.

C'est habituellement une bonne idée de dire à la personne qui va être enregistrée comme l'origine du rapport que vous le rouvrez, de façon à ce qu'elle s'attende à la confirmation qu'elle recevra quand il sera de nouveau fermé.

Si le bogue n'est pas fermé alors « reopen » ne fera rien, même pas changer l'origine du bogue. Il n'y a pas de moyen de changer l'origine d'un rapport de bogue ouvert (c'est un choix délibéré, de façon à ne pas avoir un bogue fermé et ensuite détruit 28 jours plus tard sans que quelqu'un n'en soit averti).

forwarded NuméroDeBogue Adresse

Enregistre le fait que NuméroDeBogue a été transmis au mainteneur original à Adresse. Cela ne transmet pas en réalité le rapport. Cela peut être utilisé pour changer une adresse « forwarded-to » existante incorrecte, ou pour en enregistrer une nouvelle pour un bogue qui n'a pas été signalé auparavant comme ayant été transmis.

notforwarded NuméroDeBogue

Oublie toute idée que le bogue NuméroDeBogue ait pu être envoyé à un mainteneur original. Si le bogue n'a pas été enregistré comme ayant été transmis alors cela ne fera rien.

retitle NuméroDeBogue NouveauTitre

Remplace le titre d'un rapport de bogue par celui qui est spécifié (le titre par défaut est l'Objet en en-tête du message du rapport original.

Au contraire de la plupart des autres commandes de manipulation des bogues, quand celle-ci est utilisée sur un rapport faisant partie d'un ensemble de rapports fusionnés, cela changera le titre uniquement du rapport du bogue en question, et non pas de tous ceux avec lesquels il est fusionné.

severity NuméroDeBogue Sévérité

Le niveau de sévérité du rapport de bogue #NuméroDeBogue est mis à Sévérité. Aucune notification n'est envoyée à l'utilisateur qui a signalé le bogue.

Les niveaux de sévérité sont critical (critique), grave (grave), serious (sérieux), important (important), normal (normal), minor (mineur), et wishlist (souhaitable).

Pour leur signification merci de consulter la documentation générale des développeurs concernant le système de gestion des bogues.

merge NuméroDeBogue NuméroDeBogue ...

Fusionne plusieurs rapports de bogues. Une fois les rapports fusionnés, l'ouverture, la fermeture, le marquage ou le démarquage comme ayant été envoyé et la réassignation de n'importe lequel des bogues à un nouveau paquet auront un effet identique sur tous les rapports fusionnés.

Avant que les bogues puissent être fusionnés, ils doivent être exactement dans le même état : tous ouverts ou tous fermés, avec la même adresse de l'auteur original dans le champs « forwarded-to » ou alors aucun n'ayant été marqué comme ayant été envoyé, tous assignés au(x) même(s) paquet(s) (une comparaison exacte de chaîne de caractère est faite sur le paquet auquel le bogue est assigné), et tous de la même gravité. S'ils ne sont pas tous dans le même état au début vous devriez utiliser reassign, reopen et ainsi de suite pour être sûr qu'ils le sont avant d'utiliser merge.

Si des bogues contenus dans une commande merge sont déjà fusionnés avec d'autre bogues alors tous les rapports fusionnés avec l'un de ceux de la commande seront aussi fusionnés. Les fusions sont comme les égalités : elles sont réflexives, transitives and symétriques.

La fusion de rapports entraîne l'apparition d'une note sur chacun des enregistrement du rapport ; sur les pages web cela contient des liens vers les autres bogues.

Les rapports fusionnés expirent tous simultanément, et seulement quand chacun des rapport pris séparément à atteint le critère d'expiration.

unmerge NuméroDeBogue

Déconnecte un rapport de bogue de n'importe quel autre rapport avec lequel il a pu être fusionné. Si le rapport en question est fusionné avec plusieurs autres alors les autres sont tous laissés comme étant fusionnés ensemble ; seulement leurs associations avec le bogue explicitement désigné sont retirées.

Si beaucoup de rapports de bogues sont fusionnés et si vous désirez les diviser en deux groupes séparés de rapports fusionnés, vous devez déconnecter chaque rapport de l'un des nouveaux groupes séparément et ensuite les fusionner dans le nouveau groupe.

Vous ne pouvez déconnecter qu'un seul rapport par commande unmerge ; si vous voulez déconnecter plus d'un seul rapport incluez simplement plusieurs commandes unmerge dans votre message.

tags NuméroDeBogue [ + | - | = ] Marque
Traite la marque particulière Marque sur le rapport de bogue numéro #NuméroDeBogue. Aucune notification n'est envoyée à l'utilisateur qui a signalé le bogue. + signifie ajouter la marque, - signifie supprimer la marque, et = signifie ignorer les marques courantes et les mettre en repartant de zero. L'action par défaut est l'ajout. Un espace est nécessaire entre le caractère +/-/= et le nom de la marque.

Les marques courantes sont patch (patch), wontfix (ne sera pas résolu), moreinfo (plus d'info), unreproducible (non reproductible), fixed (résolu), security (sécurité), potato (potato), woody (woody) et sid (sid).

Pour leur signification merci de consulter la documentation des dévelopeurs sur le système de gestion des bogues.


#use "otherpages.inc" #use "footer.inc" #use wml::debian::template title="Gestion des bogues Debian - carte de référence des serveurs de messagerie" NOHEADER=yes NOCOPYRIGHT=true #use wml::debian::translation-check translation="1.14" translation_maintainer="Christian Couder "

Carte de référence des serveurs de message

La documentation complète des serveurs de message est disponible sur la Toile, dans les fichiers bug-log-mailserver.txt et bug-maint-mailcontrol.txt ou en envoyant le mot help à chaque serveur de message.

Synopsis des commandes disponibles à request@bugs.debian.org

  • send NuméroDeBogue
  • send-detail NuméroDeBogue
  • index [full]
  • index-summary by-package
  • index-summary by-number
  • index-maint
  • index maint SousChaineDeMainteneur
  • index-packages
  • index packages SousChaineDePaquet
  • send-unmatched [this|0]
  • send-unmatched last|-1
  • send-unmatched old|-2
  • getinfo NomDeFichier (ftp.debian.org/debian/doc/*)
  • help
  • refcard
  • quit|stop|thank...|--...
  • #... (commentaire)
  • debug Niveau

Synopsis des commandes supplémentaires disponible sur le serveur de messages de contrôle

  • close NuméroDeBogue (vous devez par ailleurs dire à la personne ayant signalé le bogue pourquoi vous le fermez)
  • reassign NuméroDeBogue Paquet
  • severity NuméroDeBogue Gravité
  • reopen NuméroDeBogue [ AdresseDOrigine | = | ! ]
  • forwarded NuméroDeBogue Adresse
  • notforwarded NuméroDeBogue
  • retitle NuméroDeBogue NouveauTitre
  • merge NuméroDeBogue NuméroDeBogue ...
  • unmerge NuméroDeBogue
  • tags NuméroDeBogue [ + | - | = ] Marque

reopen avec = ou sans adresse d'origine laisse l'origine du rapport de bogue telle qu'elle ; ! la modifie et met votre adresse à la place, du moins celle de la personne faisant la réouverture.

Les gravités possibles sont critical (critique), grave (grave), serious (sérieuse), important (importante), normal (normale), minor (mineure), et wishlist (souhait).

Les marques actuellement possibles sont patch (rustine), wontfix (ne sera pas résolu), moreinfo (plus d'info), unreproducible (non reproductible), fixed (résolu), security (sécurité), potato (potato), woody (woody) et sid (sid).


#use "otherpages.inc" #use "footer.inc" #use wml::debian::template title="Gestion des bogues Debian - serveur de requêtes" NOHEADER=yes NOCOPYRIGHT=true #use wml::debian::translation-check translation="1.13" translation_maintainer="Christian Couder "

Introduction au serveur de requêtes du système de gestion des bogues

Il y a un serveur de message qui peut envoyer des rapports de bogues et des index en texte seul à la demande.

Pour l'utiliser il faut envoyer un message à request@bugs.debian.org. L'Objet (Subject en anglais) du message est ignoré, sauf pour générer l'Objet de la réponse.

Le corps du message que vous envoyez doit être une série de commandes, une par ligne. Vous recevrez une réponse qui ressemblera à une transcription de votre message ayant été interprété, avec une réponse pour chaque commande. Aucune notification n'est envoyée à personne pour la plupart des commandes ; cependant, les messages sont enregistrés et rendus disponibles sur les pages web.

Tout texte d'une ligne commençant par un caractère dièse # est ignorée ; le serveur arrête de traiter un message lorsqu'il trouve une ligne commençant par quit, stop, thank ou deux traits d'union (pour éviter de traiter une signature). Il arrêtera aussi s'il rencontre trop de commandes inconnues ou mal formatées. Si aucune commande n'est traitée avec succès il enverra le texte d'aide du serveur.

Commandes disponibles

send NuméroDeBogue
send-detail NuméroDeBogue
Demande la transcription concernant le rapport de bogue spécifié. send-detail envoie tous les messages « ennuyeux » de la transcription, comme les diverses auto-confirmations (vous devriez généralement utiliser la commande send en même temps, car les messages intéressants ne sont pas envoyés par send-detail).
index [full]
index-summary by-package
index-summary by-number
Demande l'index complet (avec tous les détails, et incluant les rapports traités (« Done ») et transmis (« forwarded »), ou le sommaire trié par paquet ou par numéro, respectivement.
index-maint
Demande la page d'index donnant la liste des mainteneurs ayant des bogues (ouverts et récemment fermés) dans le système de gestion des bogues.
index maint Mainteneur
Demande les pages d'index des bogues du système pour tous les mainteneurs contenant la chaîne de caractère Mainteneur. Le terme recherché est une sous-chaîne insensible à la casse. L'index des bogues pour chaque mainteneur correspondant à la chaîne cherchée sera envoyé dans un message séparé.
index-packages
Demande la page d'index donnant la liste des paquets ayant des bogues (ouverts et récemment fermés) dans le système de gestion des bogues.
index packages Paquet
Demande les pages d'index des bogues du système pour tous les paquets contenant la chaîne de caractère Paquet. Le terme recherché est une sous chaîne insensible à la casse. L'index des bogues pour chaque paquet correspondant à la chaîne cherchée sera envoyé dans un message séparé.
send-unmatched [this|0]
send-unmatched last|-1
send-unmatched old|-2
Demande les enregistrements des messages non liés à un rapport de bogue particulier, pour cette semaine, la semaine dernière et la semaine d'avant. (Chaque semaine se termine un mercredi.)
getinfo NomDeFichier
Demande un fichier contenant les informations à propos d'un ou plusieurs paquets et/ou mainteneurs - les fichiers disponibles sont :
maintainers
Liste unifiée des mainteneurs de paquets, telle qu'elle est utilisée par le système de gestion des bogues. Elle est déduite des informations dans les fichiers Packages, les fichiers « override » et les fichiers de pseudo-paquets.
override.Distribution
override.Distribution.non-free
override.Distribution.contrib
override.experimental
Informations concernant les priorités, les sections des paquets et les données principales pour les mainteneurs. Ces informations sont utilisées par le processus qui génère les fichiers Packages dans l'archive FTP. Ces informations sont disponibles pour chacun des principaux arbres disponibles de la distribution à partir de leur nom de code.
pseudo-packages.description
pseudo-packages.maintainers
La liste des descriptions et des mainteneurs respectivement pour les pseudo paquets.
refcard
Demande que la carte de référence des serveurs de messages soit envoyée uniquement en ASCII.
help
Demande que ce document d'aide soit envoyé par courrier électronique uniquement en ASCII.
quit
stop
thank...
--...
Arrête le traitement à l'endroit courant dans le message. Après cette commande vous pouvez inclure n'importe quel texte que vous souhaitez, et il sera ignoré. Vous pouvez utiliser cela pour inclure de plus longs commentaires que ce qui est approprié avec #, par exemple pour le plus grand bénéfice des lecteurs humains de votre message (qui le lisent depuis les enregistrements du système de gestion ou à cause d'un Copies-A (« CC » en anglais) ou d'un Copies-Cachées-A (« BCC » en anglais).
#...
Commentaire d'une ligne. Le # doit être au début de la ligne.
debug Niveau
Configure le niveau de déboguage à Niveau, qui doit être un entier positif. 0 signifie pas de déboguage ; 1 est habituellement suffisant. Le résultat du déboguage apparaît dans la transcription. Il est peu probable que cela soit utile aux utilisateurs normaux du système de gestion des bogues.

Il y a une carte de référence du serveur de message, disponible sur la Toile, dans bug-mailserver-refcard.txt ou par courrier électronique en utilisant la commande refcard (voyez plus haut).

Si vous souhaitez manipuler les rapports de bogue vous devriez utiliser l'adresse control@bugs.debian.org, qui comprend un sur-ensemble des commandes listées plus haut. Cet ensemble de commandes est décrit dans un autre document, disponible sur la Toile, dans le fichier bug-maint-mailcontrol.txt, ou en envoyant la commande help à control@bugs.

Au cas où vous lisiez ceci dans un fichier en texte seul ou dans un message : une version HTML est disponible à partir de la page principale du système de gestion des bogues http://www.debian.org/Bugs/.


#use "otherpages.inc" #use "footer.inc" #use wml::debian::template title="Les pages Debian en coréen" NOHEADER="yes" #use wml::debian::translation-check translation="1.24" translation_maintainer="Christian Couder" # This contents of this page is completely the responsibility of # the translation team

Les pages Debian en coréen

Debian en coréen

  • Le projet Debian-KR, le projet pour ajouter le support du coréen à Debian.
  • Si vous voulez traduire les pages web Debian en coréen, voyez la page Comment traduire les pages web Debian en coréen et contactez le coordinateur des traductions en coréen, Seongtae Yoo <alloying@nownuri.net>.
  • Vous pouvez trouver un certain nombre de documents en coréen pour Debian et Linux à KLDP
#use wml::debian::template title="Que signifie libre?" NOHEADER="yes" #use wml::debian::translation-check translation="1.12" translation_maintainer="Christian Couder"

Que signifie libre ? ou Qu'entendez-vous par logiciel libre ?

Note : En février 1998, un groupe a décidé de remplacer le terme « logiciel libre » (Free Software) par « logiciel ouvert » (Open Source Software). Comme cela apparaîtra clairement dans la suite, ces termes font tous les deux référence à la même chose ou presque.

Beaucoup de néophytes des logiciels libres sont embrouillés car en anglais le mot « free » dans l'_expression_ « free software » (logiciel libre) a une autre signification, qui n'est pas celle qu'ils attendent. Pour eux, « free » signifie gratuit. Un dictionnaire anglais propose presque un vingtaine de sens au mot « free ». Un seul signifie gratuit. Les autres font référence à la liberté et à l'absence de contraintes. Lorsque l'on parle de Free Software ou de logiciel libre, nous parlons de liberté et non de prix.

NdT : En français, la traduction limite la confusion, mais elle existe dans les documents en anglais.

Un logiciel gratuit est rarement complètement libre. Il se peut qu'il soit interdit de le donner à quelqu'un et vous ne pouvez vraisemblablement pas l'améliorer. Les logiciels distribués gratuitement sont en général une arme dans une campagne marketing, pour promouvoir un produit apparenté, ou pour mener un concurrent plus petit à la faillite. Il n'y a aucune garantie que ce logiciel reste gratuit.

Les véritables logiciels libres demeurent toujours libres. Un logiciel placé dans le domaine public peut être récupéré et transformé en un logiciel non-libre. Toutes les améliorations faites alors sont perdues pour la société. Pour rester libres, les logiciels doivent posséder un copyright et une licence.

Pour les non-initiés, un logiciel est libre ou ne l'est pas. La réalité est bien plus complexe. Pour comprendre ce que les gens entendent lorsqu'ils qualifient un logiciel de libre, nous devons faire un petit détour vers les licences des logiciels.

Le copyright est une méthode pour protéger les droits du créateur de certains types d'oeuvre. Dans la plupart des pays, les logiciels que vous écrivez acquièrent automatiquement un copyright. Une licence est un moyen d'autoriser l'utilisation d'une création (le logiciel dans ce cas) par d'autres personnes, dans les conditions acceptables par l'auteur. C'est à lui d'ajouter une licence qui indique de quelles façons, le logiciel peut être utilisé. Pour une discussion précise (en anglais) sur le copyright, regardez http://lcweb.loc.gov/copyright/.

Bien sûr des circonstances différentes entraînent des licences différentes. Les sociétés de logiciels cherchent à protéger leurs intérêts, aussi elles ne publient que le code compilé (qui n'est pas humainement lisible) et imposent beaucoup de restrictions sur l'utilisation du logiciel. D'un autre côté, les auteurs de logiciels libres cherchent une combinaison des propriétés suivantes :

  • Ne pas autoriser l'utilisation de leur code dans un logiciel propriétaire. Puisqu'ils publient le code pour que tout le monde puisse l'utiliser, ils ne veulent pas voir quelqu'un d'autre le voler. Dans ce cas, l'utilisation du code est vue comme un accord basé sur la confiance : vous pouvez l'utiliser à condition de jouer suivant les mêmes règles.
  • Protéger la paternité du code. Les auteurs sont très fiers de leur oeuvre et ne veulent pas que quelqu'un vienne supprimer leur nom de celui-ci ou prétende l'avoir écrit.
  • La distribution du code source. Un des problèmes avec la plupart des codes commerciaux réside dans l'impossibilité de corriger les bogues ou de personnaliser le logiciel puisque les sources ne sont pas disponibles. Par ailleurs, l'entreprise peut décider d'arrêter la compatibilité avec votre matériel informatique. Beaucoup de licences libres permettent la distribution du code source. Ceci protège les utilisateurs en les autorisant à personnaliser les logiciels selon leurs besoins. Ceci a d'autres implications qui seront discutées ci-après.
  • Obliger toute oeuvre qui inclut une partie de leur travail (cette oeuvre est appelée oeuvre dérivée dans les discussions sur les copyrights) à utiliser la même licence.

De nombreuses personnes écrivent leur propre licence. Ceci est déconseillé, car écrire une licence correspondant à vos souhaits engendre des difficultés subtiles. Trop souvent les termes utilisés sont ambigus ou les conditions sont contradictoires. Écrire une licence juridiquement valide est encore plus difficile. Heureusement, de nombreuses licences déjà écrites répondent à vos besoins.

Trois des licences les plus répandues dans le monde sont :

Quelques unes des caractéristiques que ces licences ont en commun.

  • Vous pouvez installer le logiciel sur autant de machines que vous désirez.
  • Un nombre quelconque de personnes peuvent utiliser le logiciel en même temps.
  • Vous pouvez faire autant de copies du logiciel que vous voulez et les donner à qui vous voulez (redistribution libre).
  • Il n'y a aucune restriction sur les modifications des logiciels (sauf de garder inchangées certaines indications).
  • Il n'y a aucune restriction sur la distribution, ou même la vente du logiciel.

Ce dernier point, qui autorise la vente des logiciels semble aller contre l'idée générale des logiciels libres. C'est en fait, l'une de ses forces. Puisque les licences permettent une redistribution libre, une fois qu'une personne a récupéré une copie, elle peut la distribuer elle-même. Elle peut même essayer de la vendre. En pratique il ne coûte quasiment rien de faire des copies électroniques de logiciel. La règle de l'offre et la demande va maintenir des prix peu élevés. S'il est pratique pour un gros logiciel ou pour un ensemble de logiciels d'être distribués sur des supports, comme des CD-ROM, les vendeurs sont libres de faire payer ce qu'ils veulent. Cependant, si la marge de profit est trop importante, de nouveaux vendeurs apparaitront sur le marché et la concurrence entrainera une baisse des prix. En conséquence, vous pouvez acheter une distribution complète de Debian sur 3 CD-ROM pour seulement 6$ (45 francs français).

Bien que les logiciels libres ne soient pas complètement libres de contraintes (seule la mise dans le domaine public libère de toutes les contraintes), ils laissent à l'utilisateur la flexibilité de faire ce dont il a besoin pour accomplir son travail. En même temps, il protège les droits de l'auteur. C'est cela la liberté.

Debian GNU/Linux est un chaud partisan des logiciels libres. Et puisque plusieurs licences sont utilisées pour les logiciels, un ensemble de lignes directrices, les Directives Debian pour le logiciel libre (Debian Free Software Guidelines ou DFSG) ont été développées pour arriver à une définition correcte de ce qui constitue les logiciels libres. Seuls les logiciels qui obéissent aux règles du DFSG sont autorisés à figurer dans la distribution principale (main) de la Debian.

#use wml::debian::template title="Comparaison des Licences de logiciel"

#use wml::debian::translation-check translation="1.10" translation_maintainer="Christian Couder <chcouder@club-internet.fr>"


<P><STRONG>******Ce document est en cours de développement*******</STRONG>

<P>Les gens qui évoluent autour du Logiciel ouvert ont tendance à
développer une opinion très forte au sujet des licences.
Les débutants ne s'en soucient guère tant qu'ils sont plus concernés
par la fin du travail en cours et ne comprennent pas les implications
à long terme du choix pour un logiciel d'une licence plutôt qu'une
autre (il est douteux de penser qu'il y ait beaucoup de gens qui
comprennent les nuances des licences et n'aient pas d'opinions fortes
sur le sujet).

<P>Au cours des années un certain nombre de licences ont gagné
de l'importance en donnant aux auteurs de logiciels le type de
contrôle sur leurs créations que la plupart d'entre eux désiraient.
Il est encore courant de trouver du logiciel qui n'a pas de
copyright visible ou qui contient une unique licence développée par
son auteur. Ce dernier cas peut être assez ennuyeux pour les
distributeurs de logiciel (à la fois en ligne et ceux créant des CD)
car beaucoup de ces licences contiennent des
<A HREF="#mistakes">erreurs courantes</A> qui rendent le logiciel
difficile à distribuer.

<P>Ce qui suit est une liste des licences les plus courantes de
Logiciel libre (ouvert) et pour chacune quelques uns de leurs bons
et mauvais côtés.
Seuls les points de la licence intéressants pour la discussion
sont donnés.
De plus, beaucoup de points sont placés sous le simple titre
« BON/MAUVAIS ». Ce sont des points qui peuvent être bons ou
mauvais, selon le point de vue duquel on se trouve.

<UL>
<LI>La <A HREF="http://www.gnu.org/";>GNU General Public License (GPL)</A>
(Licence publique générale GNU).
	<BR>
	<B>RÉSUMÉ :</B> Le code source doit être rendu disponible ; le logiciel
	peut être vendu ; les travaux dérivés doivent utiliser la même licence.
	<BR>
	<B>BON :</B> Il y a de bonnes raisons pour lesquelles c'est la licence 
	la plus utilisée pour le Logiciel libre (ouvert). Elle permet une 
	bonne protection des droits des développeurs de logiciel et la 
	disponibilité du code source garantit que les utilisateurs n'auront 
	pas à se soucier de perdre le support dans le futur.
	<BR>
	<B>BON/MAUVAIS :</B> Le logiciel distribué en utilisant la GPL ne peut 
	être incorporé dans du logiciel propriétaire.
	La question de savoir si c'est en fait une bonne chose dépend de 
	votre point de vue. Les gens qui développent du logiciel propriétaire 
	se sentent souvent frustrés quand il y a une solution disponible qui 
	ne peut être utilisée à cause de conflits de licences. Bien sûr, rien 
	ne les empêche de contacter l'auteur et de voir s'ils peuvent acheter 
	une version utilisant une licence différente.
	La plupart des gens qui distribuent du logiciel avec la GPL ne 
	considèrent pas ces restrictions comme mauvaises, parce que cela 
	permet aux autres d'utiliser et d'améliorer le logiciel alors que 
	cela empêche (en pratique) les autres de se faire de l'argent à 
	partir de leur dur travail sans leur permission. 

<LI>La Licence artistique
	<A HREF="http://language.perl.com/misc/Artistic.html";>http://language.perl.com/misc/Artistic.html</A>.
	<BR>
	<B>RÉSUMÉ :</B> 
	<BR>
	<B>BON :</B> 
	<BR>
	<B>MAUVAIS :</B> 

<LI><A HREF="../misc/bsd.license">Les licences de type BSD</A>.
	<BR>
	<B>RÉSUMÉ :</B> Les binaires et le code source doivent contenir la 
		licence ; la publicité doit reconnaître le travail des 
		développeurs inscrits sur la licence.
	<BR>
	<B>BON/MAUVAIS :</B> Les entreprises qui veulent qu'un exécutable soit
		largement disponible (éventuellement gratuitement) sans 
		publier le code source utilisent souvent cette licence. Un 
		bon exemple est une entreprise qui veut distribuer un pilote 
		de carte graphique.
		Les avocats du logiciel « Open Source » préféreraient de toute 
		façon que l'entreprise distribue les spécifications 
		matérielles.
		Si le développement des pilotes pour XFree86 peut donner une
		indication, c'est que les meilleurs pilotes sont ceux écrit 
		avec le code source disponible. Les entreprises n'arrivent 
		qu'à faire apparaître comme mauvais leurs produits en 
		distribuant des pilotes propriétaires qui sont lents et 
		bogués. Elles peuvent aussi gagner sur les coûts de 
		développement en laissant les autres développer les
		pilotes pour eux.
	<BR>
	<B>BON/MAUVAIS :</B> N'importe qui peut récupérer le source, le modifier,
		et distribuer le résultat sans rendre public les changements.
		Trouver cela bon ou mauvais est une question de préférence
		personnelle.
</UL>

<HR>

<P><A NAME="mistakes">Quelques erreurs fréquentes dans les licences écrites 
soi-même</A> :
<UL>
<LI>Soit ne pas permettre, ou restreindre les ventes du logiciel à but 
	lucratif.
	Cela rend difficile la distribution du logiciel sur CD. Les gens font
	souvent l'erreur d'utiliser des termes qui ne sont pas bien définis,
	comme un « coût raisonnable ».
	Il vaut mieux simplement utiliser une des licences mentionnées 
	ci-dessus car elles reviennent au même sans avoir recours à de telles 
	phrases.   
	Par exemple, en permettant à n'importe qui de distribuer le logiciel, 
	la GPL maintient les prix suffisamment bas grâce aux forces 
	naturelles du marché. Si quelqu'un vend un CD avec une grosse marge 
	il ne faudra pas attendre longtemps avant que des concurrents 
	n'entrent sur le marché et le vendent à un prix plus bas.
	<BR>Note : la Licence Artistique utilise le terme « Cachet raisonnable 
	pour la copie », mais elle définit ce terme pour essayer de le rendre 
	moins vague.
<LI>Ne pas permettre la distribution de versions modifiées du logiciel.
	Cela empêche la distribution du logiciel par certains groupes. Par
	exemple, depuis que Debian distribue des logiciels compilés, il est
	souvent nécessaire de modifier le code source pour le compiler ou
	pour le rendre compatible avec la
	<A HREF="ftp://tsx-11.mit.edu/pub/linux/docs/linux-standards/fsstnd/";>FSSTND</A>.
	Mais en faisant cela, nous n'avons alors pas le droit de le distribuer.
<LI>Obliger à ce que tous les changements soient rapportés à l'auteur. Bien 
	que ce soit une bonne idée de rapporter à l'auteur les 
	modifications/améliorations afin qu'elles puissent être plus 
	largement distribuées, l'obliger peut entraîner des problèmes. 
	Combien de personnes savent où elles seront dans 5 ans ?
	Modifiez cela en « Les modifications au logiciel devraient être 
	rapportées à l'auteur ».
	La plupart des gens le feront.
	<BR>Cette clause est habituellement inclue pour empêcher que des 
	projets sous-branche se développent.
	L'histoire a montré que, tant que le développement sur le code 
	original ne s'interrompt pas, les sous-branches n'auront du succès 
	que si une autre force motive la séparation.
<LI>Déclarer que le logiciel est dans le domaine public, mais ensuite ajouter 
	des contraintes (comme le fait de ne pas autoriser la vente à but 
	lucratif).
	Soit une chose est dans le domaine public soit elle ne l'est pas - il 
	n'y a pas de milieu. De telles licences n'ont aucun sens et il est 
	probable que les conditions supplémentaires ne tiendront pas devant 
	un tribunal.
</UL>

#use wml::debian::template title="Mettre en place un serveur « Push »" #use wml::debian::translation-check translation="1.9" translation_maintainer="Christian Couder "

Mettre en place un serveur « Push » se résume à effectuer deux tâches relativement simples : mettre en place un accès rsync (comme pour faire un miroir « Pull » standard) et mettre en place un mécanisme déclencheur utilisant ssh (pour déclencher la mise à jour du miroir « Pull »).

(Pour plus d'information sur ce qu'est un serveur « Push », merci de lire l'explication des miroirs « Push ».)

Mettre en place rsync

Installez rsync 2.1.1 ou une version supérieure. Si votre site tourne sous Debian, installez simplement le dernier paquet rsync.

Créez un fichier rsyncd.conf et mettez quelque chose comme ceci dans celui-ci :

uid = nobody
gid = nogroup
max connections = 25
syslog facility = daemon
socket options = SO_KEEPALIVE

[debian]
  path = /org/ftp.debian.org/ftp
  comment = Archive FTP Debian (~24 Go)
  auth users = compte_authorise1,compte_authorise2,compte_authoriseN
  read _only_ = true
  secrets file = /etc/rsyncd/debian.secrets
[debian-web]
  path = /org/www.debian.org/debian.org
  comment = Site Web Debian (~400 Mo)
  auth users = compte_authorise1,compte_authorise2,compte_authoriseN
  read _only_ = true
  secrets file = /etc/rsyncd/debian.secrets

Pour chaque site dont vous faite un miroir « Push », ajoutez une entrée au fichier /etc/rsyncd/debian.secrets :

compte_authorise1:un_mot_de_passe
compte_authorise2:autre_mot_de_passe
compte_authoriseN:_mot_de_passe

Vous avez alors donné accès à l'archive se trouvant sur votre machine aux miroirs clients de votre machine.

Vous voudrez probablement lancer le démon rsync depuis inetd. Pour cela, vous devez d'abord ajouter le service rsync dans le fichier /etc/services (s'il n'y est pas déjà), comme ceci :

rsync           873/tcp
Pour lancer le démon avec inetd, ajoutez ce qui suit à votre fichier /etc/inetd.conf :
rsync      stream      tcp         nowait      root /usr/bin/rsync rsyncd --daemon
(N'oubliez pas d'envoyer à inetd un signal HUP pour lui dire de relire son fichier de configuration après que vous l'avez modifié.)

Mettre en place un mécanisme déclencheur ssh

Créez une nouvelle clé ssh pour le compte que vous utilisez pour faire un miroir de Debian. Faites attention à ne pas écraser votre clé ssh originale et pour cela utilisez l'option -f, par exemple :

ssh-keygen -f ~/.ssh/identite.monsite

Vérifiez que la nouvelle clé publique (~/.ssh/identite.monsite.pub) contient ceci au début du fichier :

no-port-forwarding,no-X11-forwarding,no-agent-forwarding,no-pty,command="~/websync &"

(remplacez « websync » par « ftpsync » ou « ftpsync-non-US » ou encore autre chose suivant le nom de la commande que vous utilisez pour lancer le processus de miroir)

Vous devez aussi mettre en place le script qui contactera les miroirs clients. Créez un fichier nommé signal, contenant ceci :

#!/bin/sh

# Ce script est appelé pour signaler à l'hôte distant qu'il est temps de
# mettre à jour le miroir à partir de l'archive.

echo Signalling $1
ssh -o"BatchMode yes" -o"user $2" "$1" -i $HOME/.ssh/identite.monsite sleep 1

Ce script va se loguer sur un hôte distant en utilisant la clé ssh spéciale que vous avez créée ci-dessus. Ce script lui-même ne fera rien d'utile sur l'hôte distant, la commande ~/websync (ou ~/ftpsync, ou ~/ftpsync-non-US) sera lancée à partir de la clé.

Pour déclencher effectivement les miroirs, vous devez ajouter des lignes du type ./signal <site> <nom_utilisateur> soit à la fin du script websync, soit si c'est plus simple pour vous, dans un nouveau script, et ensuite lancer ce script depuis websync.

Ce nouveau script, runmirrors, devrait contenir quelque chose comme ceci :

#!/bin/sh

# Ce script est appellé par websync pour déclencher les miroirs clients.

./signal un.autre.site archvsync
./signal et.un.autre.site autrecompte

De cette façon, dès que votre site a terminé de mettre à jour son miroir à partir de son serveur, vous allez déclencher la mise à jour des sites clients de votre serveur.

Si vous avez le moindre problème avec ceci, contactez-nous.#use wml::debian::basic title="Votes Debian - Soumettre une proposition" BARETITLE="true" #use wml::debian::votebar #use wml::debian::translation-check translation="1.6" translation_maintainer="Christian Couder "

Les directives

Ne pas suivre certaines de ces étapes n'entraînera pas la disqualification d'une proposition. Cependant, considérez celles-ci comme une politesse aidant les développeurs à trouver et comprendre votre proposition dans les listes de diffusion qui génèrent déjà d'énormes quantités de messages. Toutes les directives sont incluses dans ce modèle (qui devrait bientôt être ajouté).

Quand vous avez terminé votre proposition, envoyez-la à la liste de diffusion debian-vote ou directement à secretary@debian.org (qui la réexpédiera à -vote de toute façon). Les propositions ne seront pas prises en compte dans toute autre liste de diffusion ni à aucune autre adresse électronique. Ceci afin d'éviter que le secrétaire du projet ne rate une proposition parmi l'énorme volume de messages généré sur certaines de nos listes et aussi de lui éviter d'avoir à s'abonner à toutes les listes créées par le projet. Les noms des personnes soutenant une proposition doivent aussi être envoyés à la liste debian-vote ou à secretary@debian.org pour que les soutiens soient considérés comme valables.


L'objet

Tout d'abord, formattez le sujet du message comme ceci :
Subject: Proposal - {une description}
De cette façon, les gens peuvent filtrer les messages pour trouver les propositions.

Le texte

Si vous proposez une modification dans le texte d'un document, indiquez quel document et incluez les modifications de la même façon que pour un fichier diff contextuel (voyez : info diff (-c) pour plus de détails).
Autrement, essayez d'être aussi clair que vous le pouvez. Indiquez ce que vous voulez voir se réaliser et donnez les motifs des raisons sans entrer dans de longs détails. Vous pourrez toujours donner la version longue au cours de la discussion.


La discussion

Par courtoisie, commencez un nouveau fil de discussion pour votre proposition. Ce sera l'endroit où vous pourrez donner tous les détails relatifs à la proposition et essayer de convaincre tout le monde de « Quelle Bonne Idée(tm), celle là ! ». Mettez dans l'objet de votre message quelque chose comme

Discussion - {même description}
et essayez de maintenir la discussion sur ce fil et laissez les nouveaux fils à leurs sponsors.

Les messages

Sauf si l'on vous indique la liste de diffusion à utiliser, envoyez la proposition à -devel-announce et les discussions à -devel. La seule exigence est celle de la section 4.2.5 de la constitution qui dit que tout doit avoir lieu « sur une liste de diffusion électronique à accès public en lecture... » Évidemment, si la proposition est strictement relative à quelque chose, par exemple python, envoyez-la à -python et non pas à -www.

Si la proposition arrive à un point où un vote formel utilisant le système de vote Debian devient nécessaire, envoyez une copie de la proposition et les noms de ceux qui la soutiennent à secretary@vote.debian.org.


Les amendements

Les propositions peuvent être amendées à tout moment tant que le vote n'a pas commencé. Une proposition est automatiquement amendée si celui qui est à son origine et tous ceux qui la soutiennent sont d'accord avec l'amendement. Si l'un d'entre eux n'est pas d'accord, l'amendement doit avoir un nombre identique de gens qui le soutiennent. Quand arrive le moment de voter la proposition, celui qui est à son origine appelle à voter chaque amendement séparément ou tous ensemble ou encore tous ensemble avec la proposition originale.


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