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[relu]MAJ des mans de fakeroot et update-menus



Bonjour à tous...

Tout semble donc ok pour ces deux traductions (maj simplement)

-- 
Sylvain Cherrier <sylvain.cherrier@free.fr>
.\" Process this file with
.\" groff -man -Tascii foo.1
.\"
.\" "verbatim" environment (from strace.1)
.de CW
.sp
.nf
.ft CW
..
.de CE
.ft
.fi
.sp
..
.\"
.TH fakeroot 1 "9 mai 2003" "Projet Debian" "Manuel de Debian"
.\" Page d'aide par J.H.M. Dassen <jdassen@wi.LeidenUniv.nl>
.SH NOM
fakeroot \- lance une commande dans un environnement simulant les privilèges du
super-utilisateur pour la manipulation des fichiers.
.SH SYNOPSIS
.B fakeroot 
.B [\-l|\-\-lib
.IB bibliothèque] 
.B [\-\-faked
.IB binaire de simulation] 
.B [\-i
.IB fichier-lu ]
.B [\-s
.IB fichier-écrit ]
.B [\-u|\-\-unknown\-is\-real ]
.BI [\-\-]
.BI [commande]
.SH DESCRIPTION
.B fakeroot
lance une commande dans un environnement dans lequel cette commande obtient 
les droits de l'administrateur pour manipuler des fichiers. C'est
pratique pour permettre aux utilisateurs de créer des archives (tar, ar, .deb,
etc.) qui contiennent des fichiers appartenant à root.
Sans
.B fakeroot,
on serait obligé d'avoir les droits du super-utilisateur pour donner le bon
système de droits aux fichiers constituant l'archive, puis de
les assembler\ ; ou bien, on serait obligé de construire directement l'archive,
sans utiliser le programme d'archivage.

.B fakeroot
fonctionne en remplaçant les fonctions de la bibliothèque manipulant les
fichier (chmod(2), stat(2), etc.) par d'autres qui simulent les résultats que
la vraie bibliothèque aurait donnés si l'utilisateur avait été réellement le 
super-utilisateur.
Ces fonctions simulées sont dans la bibliothèque partagée 
.B /usr/lib/libfakeroot.so*
qui est chargée par le mécanisme
.B LD_PRELOAD
du chargeur dynamique (dynamic loader). (Voir
.BR ld.so (8))

Si vous désirez construire des paquets avec
.BR fakeroot ,
essayez, s'il vous plaît, de construire d'abord le paquet fakeroot\ : l'étape
«\ debian/rules build\ » réalise quelques tests
(principalement pour les bogues des vieilles versions fakeroot). Si ces tests
échouent (si vous avez par exemple certains programmes en libc5 sur votre
système), les autres paquets que vous fabriquerez avec fakeroot échoueront
certainement aussi, mais de façon parfois plus subtile.

De même, notez qu'il vaut mieux ne pas construire les binaires eux-mêmes sous
fakeroot. En particulier, configure et ses amis n'apprécient pas quand le
système se comporte différemment de ce qu'ils attendent (parfois, ils modifient
aléatoirement des variables d'environnement dont fakeroot a besoin).

.SH OPTIONS
.TP
\fB\-l\fR \fIbibliothèque\fR, \fB\-\-lib\fR \fIbibliothèque\fR
Spécifie une autre bibliothèque de substitution (wrapper library).
.TP
.BI \-\-faked \ binaire
Spécifie l'utilisation d'un autre démon que faked.
.TP
.BI [\-\-] \ commande
La commande à lancer sous fakeroot. Invoquez '\-\-' si des options de la
commande risque d'être confondues avec des options de fakeroot.
.TP
.BI \-s \ fichier-écrit
Enregistre l'environnement de fakeroot dans fichier-écrit lors son arrêt. Ce
fichier pourra servir plus tard à restaurer cette configuration grâce à l'option
\-i. Toutefois, cette option échouera et fakeroot se comportera par défaut
sauf si vous n'accédez pas aux fichiers manipulés par fakeroot en dehors de cet
environnement sauvegardé. Malgré cette restriction, cela peut être utile. Par
exemple, cela peut servir avec rsync(1) pour sauvegarder et restaurer toute une
arborescence de répertoires avec les informations de propriétaire, de groupe 
et de périphérique  sans avoir à être le super-utilisateur. Voir 
.I /usr/share/doc/fakeroot/README.saving
pour plus d'informations.
.TP
.BI \-i \ fichier-lu
recharge à partir de fichier-lu un environnement fakeroot préalablement
sauvegardé par \-s. Notez que cela ne sauvegardera pas automatiquement la 
configuration, vous devez repréciser -s dans ce but. L'utilisation du même nom
de fichier pour \-i et \-s dans une seule commande 
.BR fakeroot
\  ne pose pas de problème.
.TP
\fB\-u\fR, \fB\-\-unknown\-is\-real\fR
Utilise le véritable propriétaire des fichiers anciennement ignoré par fakeroot,
plutôt que de considérer qu'ils appartiennent à root:root.

.SH EXEMPLES
Voici un exemple d'utilisation de 
.BR fakeroot. 
Notez bien qu'à l'intérieur de l'environnement fakeroot, les manipulations de
fichiers qui requièrent les privilèges de l'administrateur ont lieu,
mais uniquement virtuellement. 
.CW
$  whoami
joost
$ fakeroot /bin/bash
#  whoami
root
# mknod hda3 b 3 1
# ls -ld hda3
brw-r--r--   1 root     root       3,   1 Jul  2 22:58 hda3
# chown joost:root hda3
# ls -ld hda3
brw-r--r--   1 joost    root       3,   1 Jul  2 22:58 hda3
# ls -ld /
drwxr-xr-x  20 root     root         1024 Jun 17 21:50 /
# chown joost:users /
# chmod a+w /
# ls -ld /
drwxrwxrwx  20 joost    users        1024 Jun 17 21:50 /
# exit
$ ls -ld /
drwxr-xr-x  20 root     root         1024 Jun 17 21:50 //
$ ls -ld hda3
-rw-r--r--   1 joost    users           0 Jul  2 22:58 hda3
.CE
Seule l'opération que l'utilisateur 
.B joost
avait le droit de réaliser a réellement aboutie. 

.B fakeroot
a été écrit spécifiquement pour permettre aux utilisateurs de créer des
paquets pour Debian GNU/Linux (au format
.BR deb(5)
) sans avoir à leur donner les privilèges du super-utilisateur.
Ceci peut être fait par des commandes telles que
.B dpkg-buildpackage \-rfakeroot
ou
.B debuild \-rfakeroot
(\-rfakeroot est maintenant utilisé par défaut pour debuild,
donc vous n'aurez pas besoin de cet argument).
.SH ASPECTS DE SÉCURITÉ 
.B fakeroot
est un programme normal, non setuid. Il n'augmente pas les privilèges de
l'utilisateur, et n'altère pas la sécurité du système.
.SH FICHIERS
.I /usr/lib/libfakeroot/libfakeroot.so*
La bibliothèque partagée qui contient les fonctions simulées.
.SH ENVIRONNEMENT
.B 
.IP FAKEROOTKEY
La clé utilisée pour communiquer avec le serveur fakeroot (le démon). Tout
programme qui démarre avec le bon 
.B LD_PRELOAD
et la
.B FAKEROOTKEY
d'un serveur actif se connectera automatiquement à ce démon, et aura la même
«\ fausse\ » vision des droits du système de fichiers (si le serveur et le
programme connecté ont bien été lancés par le même utilisateur).
.SH LIMITES
.B
.IP Versions des bibliothèques (libs)
Toute commande exécutée sous
.B fakeroot 
devra être liée à la même version de la bibliothèque C que 
.B fakeroot
lui-même. Comme la version «\ Potato\ » de la Debian ne se sert plus que de la
libc6(glibc2.1), ce n'est plus un problème aujourd'hui. 
.B
.IP open()/create()
fakeroot ne modifie pas open(), create(), etc. Donc si l'utilisateur
.B joost
tape soit
.CW
touch foo
fakeroot 
ls \-al foo
.CE
ou soit
.CW
fakeroot
touch foo
ls \-al foo
.CE
fakeroot n'aura aucun moyen de savoir que dans le premier cas, le
propriétaire de foo est réellement
.B joost
tandis que dans le second cas, il aurait dû être 
.BR root .
Pour un paquet Debian, il est toujours correct de donner à tous les fichiers
«\ inconnus\ » l'uid=gid=0. La vraie solution est de simuler 
.B open() 
et
.BR create() ,
mais cela soulève d'autres problèmes, comme démontré par le paquet
libtricks. Ce paquet simule beaucoup d'autres fonctions, et tente d'aller
plus loin que
.B fakeroot .
On peut s'apercevoir qu'une mise à jour minime de la libc (d'une version dans
laquelle la fonction 
.BR stat()
n'utilise pas 
.BR open()
à une nouvelle version dans laquelle la fonction
.BR stat()
utilise (dans certains cas)
.BR open() ),
causera d'inexplicables erreurs de segmentation (ainsi, le 
.BR stat()
de la libc6 appellera la fonction simulée 
.BR open() ,
qui à son tour appellera la fonction 
.BR stat() ,
de la libc6, etc.).
La correction n'a pas été facile, mais une fois corrigé, il faudra attendre
peu de temps avant qu'une autre fonction ne se mette à utiliser open().
Quant au portage sur un autre système d'exploitation, il n'a pas été envisagé.
J'ai donc décidé de limiter au maximum le nombre de fonctions simulées
par fakeroot, afin de limiter l'éventualité de ces «\ collisions\ ».
.B
.IP "GNU configure (et autres programmes du même genre)"
fakeroot, en fait, modifie le comportement du système. Les programmes qui
testent le système (tel que configure du GNU) peuvent être troublés par cela
(ou, s'ils ne le sont pas, ils risquent de solliciter fakeroot à un point tel
que celui-ci risque lui-même de s'y perdre). Il est donc préférable de ne pas
lancer «\ configure\ » dans un environnement fakeroot. Comme configure doit
être lancé par la cible build de debian/rules, l'utilisation de
«\ dpkg-buildpackage -rfakeroot\ » gère correctement ce problème.
.SH BOGUES
open() n'est pas simulé. Ce n'est pas si grave que cela, mais si un programme
invoque open("file", O_WRONLY, 000), écrit dans ce fichier «\ file\ », le ferme,
puis réessaye ensuite de l'ouvrir en lecture, alors cette tentative échouera,
car les droits du fichier seront 000. Le bogue, c'est que si root fait cette
opération, alors open() fonctionne, puisque les droits des fichiers ne 
sont pas du tout vérifiés pour root. J'ai choisi de ne pas simuler open(), car
open() est utilisé par nombre d'autres fonctions de la libc (dont certaines
qui sont déjà simulées par fakeroot), ce qui créerait des boucles 
(ou pourrait en créer quand l'implémentation des diverses fonctions de la libc
change).
.SH COPYRIGHT
.B fakeroot
est distribué sous la licence GNU General Public License.
(GPL 2.0 ou supérieure).
.SH AUTEUR
joost witteveen
.RI <joostje@debian.org>
.SH PAGE DE MANUEL
en majeure partie écrite par  J.H.M. Dassen 
.RI <jdassen@wi.LeidenUniv.nl> 
La plupart des ajouts et des modifications, par joost.
.SH "VOIR AUSSI"
.BR faked (1)
.BR dpkg\-buildpackage (1),
.BR debuild (1)
.BR /usr/share/doc/fakeroot/DEBUG
.SH TRADUCTION
Sylvain Cherrier <sylvain.cherrier@free.fr>.
.\" -*- nroff -*-
.TH UPDATE-MENUS 1 "Utilitaires Debian" "DEBIAN"
.SH NOM
update-menus \- génère les menus d'un système DEBIAN
.SH SYNOPSIS
.B update-menus [\-v] [\-d] [\-h|--help] [--menufilesdir <répertoire>] [--menumethod <méthode>] [--nodefaultdirs] [--stdout]
.SH DESCRIPTION
Avant l'utilisation de \fIupdate-menus\fP, quand l'administrateur système
installait un paquet sur un système Debian, il devait modifier de nombreux
fichiers de configuration des gestionnaires de fenêtres afin de rendre
accessible ce nouveau programme (les menus de fvwm, par exemple). Ces menus
pouvaient facilement ne plus lister les programmes effectivement accessibles,
certains éléments des menus ne fonctionnant pas, alors que d'autres programmes
n'étaient pas référencés.
.I update-menus
et le paquet Debian menu ont permis la résolution de ce problème.
.PP
.I update-menus 
génère automatiquement les menus pour les programmes installés dans les
gestionnaires de fenêtres et pour les autres programmes à menus. Il doit être
lancé à chaque fois qu'un fichier de menu (voir 
.BR menufile (5))
ou qu'un fichier de /etc/menu-method est modifié.
.I update-menus
sera automatiquement lancé dès qu'un paquet Debian contenant des fichiers
de menus sera installé ou supprimé du système.
.PP
.I update-menus
utilise les fichiers de menu fournis par le paquet (dans /usr/lib/menu)
pour obtenir ses informations concernant les menus (mais l'administrateur du
système ou un utilisateur peuvent modifier ce comportement, voir plus loin).
Si le fichier de menu est exécutable,
.I update-menus
invoque ce fichier, et utilise la sortie standard pour générer
la base de données du menu.

.SH OPTIONS
.IP "-v"
Mode bavard. Affiche tous les arguments des programmes /etc/menu-methods
.IP "-d"
Mode Debug. Génère un tas de messages inintelligibles.
.IP "-h, --help"
Affiche un message d'aide et s'arrête.
.IP "--menufilesdir <répertoire>" 
Ajoute le répertoire <répertoire> à la liste des répertoires dans laquelle on
recherche des fichiers de menu. 
.IP "--menumethod <méthode>" 
Traite uniquement le fichier <méthode> de /etc/menu-methods, et non la totalité
des scripts d'installation trouvés dans ce répertoire.
.IP "--nodefaultdirs"
Désactive la recherche de fichiers de menu dans les répertoires de menu
du système.
.IP "--stdout" 
Génère une liste de menu compatible avec le traitement par \fIinstall-menu\fP 
ou avec un fichier de /etc/menu-methods.
.SH CONFIGURATION
Il y a plusieurs façons de régler le fonctionnement d'update-menus\ :
.PP
.I par fichier de menu, dans /etc/menu/$paquet
.RS
Dans ce répertoire, l'administrateur système ou l'utilisateur peut passer
outre les réglages par défaut (lorsqu'un fichier /etc/menu/$paquet existe,
le fichier /usr/lib/menu/$paquet n'est plus consulté). Un utilisateur
qui veut modifier le réglage par défaut du système placera ses fichiers
dans le répertoire ~/.menu. Voir aussi
.BR menufile (5)
.RE	
.I par gestionnaire de fenêtres, dans /etc/menu-methods/$wm
.RS
Dans ces fichiers de configuration, on peut améliorer le fichier
système ."$wm"rc généré pour chacun des gestionnaires de fenêtres. Par 
exemple, on peut définir que le gestionnaire de fenêtres doit ignorer toute 
icône que le paquet pourrait fournir, ou définir le programme générique pour 
les applications en mode texte (normalement, c'est xterm qui est lancé pour 
accueillir une application en mode texte telle que vi). Les utilisateurs qui 
veulent passer outre les réglages par défaut du système déposent leurs fichiers
dans 
~/.menu-methods. Pour plus d'informations, consultez /usr/doc/menu/html. 
.RE
.I globalement, dans /etc/menu-methods/translate_menus
.RS
Ce fichier contient les transformations qui seront utilisées pour chaque entrée
de menu et dans chacun des gestionnaires de fenêtres. Vous pouvez définir des
points tels que\ : «\ Toutes les sections qui commencent par ``Apps/Jeux'' 
doivent être référencées par ``Jeux''\ », ou «\ l'entrée de menu ``gnuplot'' 
doit avoir le titre de ``GnuTeken''\ » (afin de traduire les titres dans 
d'autres langues).
Jetez un oeil au fichier par défaut /etc/menu-methods/translate_menus pour
prendre exemple. Les utilisateurs qui veulent passer outre le système de 
traduction par défaut le font dans ~/.menu-methods/translate_menus.
.BR Note\ :
ne pas utiliser pour une traduction complète du menu. Servez-vous des fichiers
po comme indiqué dans le paquet source.
.RE
.I pour les rapports d'erreurs, dans /etc/menu-methods/menu.config
.RS
Ce fichier contient des informations générales sur le comportement d'
update-menus. Pour le moment, vous ne pouvez régler que le niveau de bavardage
de la sortie standard du programme, ainsi que l'endroit où elle est envoyée.
La  quantité d'information est définie par «\ verbosity=VAL\ ». Choisissez
VAL=quiet pour empêcher update-menu d'afficher autre chose que les erreurs les
plus importantes, VAL=normal, VAL=verbose, VAL=debug pour des informations de
plus en plus détaillées.

Pour définir où le flux sortant doit aller, utilisez «\ method=stdout\ »,
«\ method=stderr\ » ou «\ method=syslog facility priorité\ ». «\ facility\ » est
soit  auth, authpriv, authcron, authdaemon, authkern, authlocal0, authlocal1,
authlocal2, authlocal3, authlocal4, authlocal5, authlocal6, authlocal7,authlpr,
authmail, authnews, authsyslog, authuser, ou authuucp. «\ priorité\ » est 
l'un des termes suivants\ :  emerg, alert, crit, err, warning, notice, info,
debug.
.RE
.SH FICHIERS
Fichiers de menu\ : (les répertoires cités en premier sont 
prioritaires sur ceux cités plus loin)
.RS
.I ~/.menu/*
.RS
Fichiers de menu ajoutés par l'utilisateur (ignorés si
l'administrateur lance update-menus)
.RE
.I /etc/menu/*
.RS
Fichiers de menu ajoutés par l'administrateur système.
.RE
.I /usr/lib/menu/*
.RS
Fichiers de menu fournis par d'autres paquets Debian.
.RE
.I /usr/share/menu/default/*
.RS
Fichiers de menu fournis par le paquet menu. (Ils existent pour les
paquets qui ne fournissent pas encore de menu. Si vous voyez (ou maintenez) un
paquet qui offre un fichier de menu dans /usr/lib/menu/, écrivez-moi s'il vous 
plaît, et je retirerai son équivalent de /usr/share/menu/default/).
.RE
.RE
Menu methods:
.RS
.I /etc/menu-methods/
.RS
Fichiers de configuration  exécutables ajoutés par les gestionnaires de
fenêtres et autres programmes à menus, qui sont exécutés par 
.I update-menus
afin de générer les menus pour ces différents programmes. Le fichier 
translate figure aussi dans ce répertoire, et sert aux réglages locaux du
modèle d'arborescence des menus.
.RE
.RE
.RS
.I ~/.menu-methods/
.RS
Permet aux utilisateurs d'outrepasser le comportement par défaut de
/etc/menu-methods. Si ce répertoire existe, aucun des fichiers de 
/etc/menu-methods n'est lu.
.RE
.RE
.SH DISTRIBUTION
La distribution est soumise à la licence publique GNU.
.SH BOGUES
.I update-menus
peut connaître des dysfonctionnements quand il est invoqué par un simple 
utilisateur pour générer ses propres menus. C'est souvent parce que le 
gestionnaire de fenêtres n'est pas prévu pour les fichiers système ."$wm"rc 
dans le répertoire (normalement ~/."$wm", à configurer dans /etc/menu-methods).
Si vous repérez quelque chose de ce genre, envoyez-moi un courrier à 
(menu@packages.debian.org). Cela doit parfaitement fonctionner pour fvwm et fvwm2\ :
je teste d'abord le paquet en tant que simple utilisateur.
.PP
.SH AUTEUR 
Joost Witteveen <joostje@debian.org>, sur une idée originale de
Lars Wirzenius <liw@iki.fi>
.SH REMERCIEMENTS
À Joey Hess, pour toutes ses bonnes idées et le test de la pré-version, et à
Tom Lees pour son update-menus en C natif (dont je n'ai utilisé qu'une fonction,
mais c'est la vie).
.PP
(page de manuel par Joey Hess, <joeyh@debian.org>)
.SH VOIR AUSSI
.BR menufile (5),
.BR /usr/doc/menu/html
.SH TRADUCTION
Sylvain Cherrier <sylvain.cherrier@free.fr>

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